La tendance n'est pas démentie par Air France qui constate, elle aussi, une forte progression de ses ventes sur Internet et qui a décidé de tordre le cou à ses propres "canards boïteux" en fermant systématiquement toutes les agences maison non rentables.
Voilà qui devrait convaincre les derniers sceptiques du fait que la vente de la billetterie n'est pas l'avenir de l'agent de voyages. D'ailleurs, en reste-t-il vraiment ?
Il est clair qu'en dehors des réseaux fortement spécialisés dans la clientèle entreprise, il urge pour les agences de trouver d'autres pistes de rentabilité. Mais nombre de professionnels estiment que c'est plus facile à dire qu'à faire.
En effet, lorsqu'on réalise 75% de son chiffre d'affaires en billetterie, pas évident de se reconvertir du jour en lendemain en spécialiste du forfait, du voyage à la carte, de la croisières ou de la destination France...
Une consolidation des fonds propres
Le challenge est de taille pour beaucoup d'entreprises qui guettent avec appréhension l'échéance de leur BSP mensuel. Des entreprises qui manquent de la trésorerie nécessaire pour amorcer le changement de braquet indispensable à leur survie.
Les adhérents des réseaux semblent certes mieux armés que les autres pour résister à la tentation de "vendre à perte", en faisant payer des frais insuffisants. Mais face à la concurrence du Net, combien de temps tiendront-ils encore ?
Rappelons que l'année écoulée n'a pas été rose pour l'APS qui a constaté une aggravation des défaillances. Bref. Pour éviter une fragilisation du secteur et permettre aux agences d'amorcer des virages stratégiques, il urge de se pencher sur une consolidation de leurs fonds propres.
Encore faudrait-il trouver des financiers qui acceptent d'investir dans un secteur qui, malgré son dynamisme, n'a guère la côte auprès des banques...
Voilà qui devrait convaincre les derniers sceptiques du fait que la vente de la billetterie n'est pas l'avenir de l'agent de voyages. D'ailleurs, en reste-t-il vraiment ?
Il est clair qu'en dehors des réseaux fortement spécialisés dans la clientèle entreprise, il urge pour les agences de trouver d'autres pistes de rentabilité. Mais nombre de professionnels estiment que c'est plus facile à dire qu'à faire.
En effet, lorsqu'on réalise 75% de son chiffre d'affaires en billetterie, pas évident de se reconvertir du jour en lendemain en spécialiste du forfait, du voyage à la carte, de la croisières ou de la destination France...
Une consolidation des fonds propres
Le challenge est de taille pour beaucoup d'entreprises qui guettent avec appréhension l'échéance de leur BSP mensuel. Des entreprises qui manquent de la trésorerie nécessaire pour amorcer le changement de braquet indispensable à leur survie.
Les adhérents des réseaux semblent certes mieux armés que les autres pour résister à la tentation de "vendre à perte", en faisant payer des frais insuffisants. Mais face à la concurrence du Net, combien de temps tiendront-ils encore ?
Rappelons que l'année écoulée n'a pas été rose pour l'APS qui a constaté une aggravation des défaillances. Bref. Pour éviter une fragilisation du secteur et permettre aux agences d'amorcer des virages stratégiques, il urge de se pencher sur une consolidation de leurs fonds propres.
Encore faudrait-il trouver des financiers qui acceptent d'investir dans un secteur qui, malgré son dynamisme, n'a guère la côte auprès des banques...