Vendredi 18 octobre 2013, Marc Dufour, Président du Directoire de la SNCM, a expliqué, en conférence de presse que la compagnie enregistre une créance impayée due par l'assemblée territoriale corse qui devrait dépasser 65 millions d'euros au 31 décembre 2013.
"Nous avons tenté de négocier, sans succès. Nous avons donc obtenu, le 11 octobre, du tribunal de commerce de Marseille, en accord avec nos actionnaires, la désignation d'un conciliateur de justice afin de récupérer les sommes dues", explique-t-il.
De son côté, Paul-Marie Bartoli, Président de l'Office des transports de la Corse a estimé, dans un communiqué que « si la compagnie estimait que ces sommes lui étaient dues, elle devait agir en conséquence et saisir le tribunal administratif, seul juge compétent, pour qu'elles lui soient payées ; or, à ce jour, la SNCM n'a saisi le tribunal administratif que pour le prétendu surcoût carburant de l'année 2010 et réclame à la CTC, non pas 23 millions d'euros, mais 3,5 millions d'euros. »
Marc Dufour s'est également prononcé sur la condamnation de la compagnie, par la Commission européenne, à un remboursement de 220 millions d'euros d'aides publiques. « Nous avons les moyens de répondre avec efficacité sur le plan juridique », affirme-t-il.
"Nous avons tenté de négocier, sans succès. Nous avons donc obtenu, le 11 octobre, du tribunal de commerce de Marseille, en accord avec nos actionnaires, la désignation d'un conciliateur de justice afin de récupérer les sommes dues", explique-t-il.
De son côté, Paul-Marie Bartoli, Président de l'Office des transports de la Corse a estimé, dans un communiqué que « si la compagnie estimait que ces sommes lui étaient dues, elle devait agir en conséquence et saisir le tribunal administratif, seul juge compétent, pour qu'elles lui soient payées ; or, à ce jour, la SNCM n'a saisi le tribunal administratif que pour le prétendu surcoût carburant de l'année 2010 et réclame à la CTC, non pas 23 millions d'euros, mais 3,5 millions d'euros. »
Marc Dufour s'est également prononcé sur la condamnation de la compagnie, par la Commission européenne, à un remboursement de 220 millions d'euros d'aides publiques. « Nous avons les moyens de répondre avec efficacité sur le plan juridique », affirme-t-il.