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Portugalia Airlines emploie environ 700 salariés, dont une trentaine en France. Le rachat par le Groupe TAP pourrait se solder rapidement par la suppression des emplois des effectifs français. En effet, la compagnie mène divers pourparlers et négociations au niveau de son organisation et de sa logistique hexagonale qui auraient mis la puce à l’oreille aux syndicats.
Ceci alors même que la concrétisation du rachat et sa décision définitive devrait être annoncée avant le 15 juin prochain, selon un communiqué récent de la Compagnie qui avait annoncé le rachat de la filiale transport du Groupe Espirito Santo le 6 novembre 2006 pour un montant de 140 millions d’Euros.
Selon les informations données à ce moment là, « PGA devrait garder sa propre identité et son autonomie de gestion ainsi que ses programmes d’opérations, même lorsque la décision de l’AdC sera connue. »
Portugalia Airlines, initialement alliée de l’alliance Sky Team, rivale de celle de TAP (Star Alliance) était convoitée pour la qualité de son maillage du territoire. Les départs de Paris et des régions (Marseille, Bordeaux, Nice, Lyon, Toulouse) et les liaisons Porto en code-share avec Air France, avaient permis une solide implantation, là où la grande sœur avait échoué.
En 2006, la petite compagnie avait transporté en France 15% de passagers en plus qu'en 2005 (17 000) et son coefficent de remplissage cru de 6%.
Ceci alors même que la concrétisation du rachat et sa décision définitive devrait être annoncée avant le 15 juin prochain, selon un communiqué récent de la Compagnie qui avait annoncé le rachat de la filiale transport du Groupe Espirito Santo le 6 novembre 2006 pour un montant de 140 millions d’Euros.
Selon les informations données à ce moment là, « PGA devrait garder sa propre identité et son autonomie de gestion ainsi que ses programmes d’opérations, même lorsque la décision de l’AdC sera connue. »
Portugalia Airlines, initialement alliée de l’alliance Sky Team, rivale de celle de TAP (Star Alliance) était convoitée pour la qualité de son maillage du territoire. Les départs de Paris et des régions (Marseille, Bordeaux, Nice, Lyon, Toulouse) et les liaisons Porto en code-share avec Air France, avaient permis une solide implantation, là où la grande sœur avait échoué.
En 2006, la petite compagnie avait transporté en France 15% de passagers en plus qu'en 2005 (17 000) et son coefficent de remplissage cru de 6%.