En dépit de la baisse des étrangers en transit, la France reste la première destination touristique mondiale.
Parmi les 80 millions d'arrivées de visiteurs, 11 millions étaient en transit contre 13,9 millions en 2007. Selon le ministère, la baisse était directement imputable à l'augmentation du prix des carburants durant les deuxième et troisième trimestres.
Hors transit, les arrivées de touristes étaient de 68 millions d'entrées comme en 2007.
Parmi les 80 millions d'arrivées de visiteurs, 11 millions étaient en transit contre 13,9 millions en 2007. Selon le ministère, la baisse était directement imputable à l'augmentation du prix des carburants durant les deuxième et troisième trimestres.
Hors transit, les arrivées de touristes étaient de 68 millions d'entrées comme en 2007.
Hors transit les européens n'ont chuté que de 1 %
Les Européens qui représentent la clientèle la plus important étaient, globalement, en recul de 4 %. Ce recul était particulièrement marqué pour les visiteurs en transit résidant en Allemagne, au Benelux et dans les îles Britanniques. Hors transit, la baisse des clientèles européennes n'est que de 1 %.
Les marchés émetteurs d'origine plus lointaine sont restés en progression en dépit d'une baisse en provenance des marchés d'Amérique du Nord, d'Asie du Nord-est et d'Océanie. Les Australiens sont de ceux qui ont enregistré la plus importante progression.
Les marchés émetteurs d'origine plus lointaine sont restés en progression en dépit d'une baisse en provenance des marchés d'Amérique du Nord, d'Asie du Nord-est et d'Océanie. Les Australiens sont de ceux qui ont enregistré la plus importante progression.
L'hôtellerie de plein air sort gagnante
La proportion des touristes français par rapport aux étrangers est restée stable. Il semble que les Français ont procédé à certains arbitrages liés à l'évolution des coûts de transport et à leur pouvoir d'achat. Ces arbitrages se sont traduits par des destinations hors métropole moins fréquentes, par une diminution de l'hébergement marchand et par une baisse des très courts séjours.
C'est l'hôtellerie de tourisme qui a le plus subi, depuis août 2008, les effets du retournement de conjoncture. Elle a enregistre 198 millions de nuitées soit 0,6 % de moins qu'en 2007. Globalement le taux d'occupations des hôtels a diminué de 0,6 points par rapport à 2007 pour s'établir à 61,4 %.
En revanche, l'hôtellerie de plein air a bien tiré son épingle du jeu avec près de 99 millions de nuitées de mai à septembre soit 1,2 % de plus que lors de la saison été 2007. Cette hôtellerie a été bonne pour tous les espaces touristiques à l'exception de quelques régions en baisse, Nord-Pas-de-Calais, Bretagne, Corse, Midi Pyrénées et Basse-Normandie.
C'est l'hôtellerie de tourisme qui a le plus subi, depuis août 2008, les effets du retournement de conjoncture. Elle a enregistre 198 millions de nuitées soit 0,6 % de moins qu'en 2007. Globalement le taux d'occupations des hôtels a diminué de 0,6 points par rapport à 2007 pour s'établir à 61,4 %.
En revanche, l'hôtellerie de plein air a bien tiré son épingle du jeu avec près de 99 millions de nuitées de mai à septembre soit 1,2 % de plus que lors de la saison été 2007. Cette hôtellerie a été bonne pour tous les espaces touristiques à l'exception de quelques régions en baisse, Nord-Pas-de-Calais, Bretagne, Corse, Midi Pyrénées et Basse-Normandie.
En hausse, le tourisme urbain
Le manque de lisibilité actuel fait loi. Néanmoins, selon un sondage TNS-Sofres réalisé pour ODIT France sur février 2009 et les prévisions mars et avril il ressort que 24 % des Français avaient l'intention de voyager en mars et 26 % en avril.
Ils ne seraient que 5 et 6 % en Belgique, 2 et 1 % en Italie et en Allemagne. La clientèle étrangère devrait majoritairement se loger dans des hébergement marchands, de 54 % pour les Belges à 79 % pour les Néerlandais en avril.
La ville restera l'espace visité en premier lieu. Le Sud-est est la principale destination sollicitée sauf par les Italiens qui préfèrent massivement la région parisienne.
Ils ne seraient que 5 et 6 % en Belgique, 2 et 1 % en Italie et en Allemagne. La clientèle étrangère devrait majoritairement se loger dans des hébergement marchands, de 54 % pour les Belges à 79 % pour les Néerlandais en avril.
La ville restera l'espace visité en premier lieu. Le Sud-est est la principale destination sollicitée sauf par les Italiens qui préfèrent massivement la région parisienne.