Après l'appel à la grève des syndicats de cheminots de la SNCF contre la réforme ferroviaire, Frédéric Cuvillier, ministre délégué aux Transports, dans les couloirs de l'Assemblée nationale, a souhaité "rassurer" face aux "inquiétudes" exprimées, selon l'AFP.
La CGT, UNSA, Sud-Rail et la CFDT ont appelé les salariés de la compagnie à cesser le travail de mercredi 12 juin 2013 à 19 heures jusqu'à vendredi 14 juin 2013 à 8 heures.
"Les inquiétudes exprimées à l'occasion de ce préavis de grève dans les domaines de l'emploi, du social ou de la sécurité ne sauraient concerner uniquement la réforme", a déclaré M. Cuvillier.
Il a ajouté qu'il n'y a"en aucun cas refus de la réforme, car tout le monde, y compris tous les syndicats, est unanime sur la nécessité d'une réforme face à un risque pour l'avenir du ferroviaire en France."
La CGT, UNSA, Sud-Rail et la CFDT ont appelé les salariés de la compagnie à cesser le travail de mercredi 12 juin 2013 à 19 heures jusqu'à vendredi 14 juin 2013 à 8 heures.
"Les inquiétudes exprimées à l'occasion de ce préavis de grève dans les domaines de l'emploi, du social ou de la sécurité ne sauraient concerner uniquement la réforme", a déclaré M. Cuvillier.
Il a ajouté qu'il n'y a"en aucun cas refus de la réforme, car tout le monde, y compris tous les syndicats, est unanime sur la nécessité d'une réforme face à un risque pour l'avenir du ferroviaire en France."