
''Au cours de la prochaine réunion qui aura lieu le 19 mai nous allons aborder la question des regroupements de chambres régionales en suivant l’exemple de ce qui a été fait par le SNAV Méditerranée. ''
TourMaG.com : Vous avez été élu par vos pairs à la présidence des régions mais pas au conseil d’administration national. N’est ce pas paradoxal et cela ne tient-il pas à l’organisation complexe du syndicat ?
Jean-Luc Dufrenne : C’est vrai qu’à première vue, un président des régions qui ne siège pas au conseil d’administration, cela peut paraître bizarre mais le vote en a décidé autrement. Le règlement veut que les présidents de régions élisent trois représentants au conseil d’administration.
Il faut se ranger au vote, c‘est la démocratie. Et puis, un engagement syndical se joue sur le long terme. Mon tour viendra. En attendant, j’ai tout de même une voix consultative.
Cela dit, l’organisation du SNAV est peut-être complexe mais on revient de loin. Il y a quatre ans lorsque le conseil d’administration comptait 56 membres, il était difficile de prendre des décisions. La nouvelle organisation gagne en efficacité.
Jean-Luc Dufrenne : C’est vrai qu’à première vue, un président des régions qui ne siège pas au conseil d’administration, cela peut paraître bizarre mais le vote en a décidé autrement. Le règlement veut que les présidents de régions élisent trois représentants au conseil d’administration.
Il faut se ranger au vote, c‘est la démocratie. Et puis, un engagement syndical se joue sur le long terme. Mon tour viendra. En attendant, j’ai tout de même une voix consultative.
Cela dit, l’organisation du SNAV est peut-être complexe mais on revient de loin. Il y a quatre ans lorsque le conseil d’administration comptait 56 membres, il était difficile de prendre des décisions. La nouvelle organisation gagne en efficacité.
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TourMaG.com : Sur quels thèmes allez-vous baser votre programme de président des régions ?
Jean-Luc Dufrenne : Au cours de la prochaine réunion qui aura lieu le 19 mai nous allons aborder la question des regroupements de chambres régionales en suivant l’exemple de ce qui a été fait par le SNAV Méditerranée.
Il y a certaines régions qui se sentent trop faibles et qui souhaiteraient se fondre dans une chambre plus importante.
Par exemple Champagne-Ardennes qui pourrait avoir le choix entre la chambre Nord-Picardie ou bien la chambre Est. Bien sûr, tout cela va se faire sur la base du volontariat.
Il n’est pas question de brusquer ou d’imposer quoi que ce soit. Il faut qu’il y ait une communauté historique d’esprit entre deux régions qui se regroupent ou bien un intérêt économique comme par exemple l’utilisation d’une même plate-forme aéroportuaire.
Mais, bien sûr, tout cela sera sujet à débats.
Jean-Luc Dufrenne : Au cours de la prochaine réunion qui aura lieu le 19 mai nous allons aborder la question des regroupements de chambres régionales en suivant l’exemple de ce qui a été fait par le SNAV Méditerranée.
Il y a certaines régions qui se sentent trop faibles et qui souhaiteraient se fondre dans une chambre plus importante.
Par exemple Champagne-Ardennes qui pourrait avoir le choix entre la chambre Nord-Picardie ou bien la chambre Est. Bien sûr, tout cela va se faire sur la base du volontariat.
Il n’est pas question de brusquer ou d’imposer quoi que ce soit. Il faut qu’il y ait une communauté historique d’esprit entre deux régions qui se regroupent ou bien un intérêt économique comme par exemple l’utilisation d’une même plate-forme aéroportuaire.
Mais, bien sûr, tout cela sera sujet à débats.
TourMaG.com : S’il existe des chambres plus faibles, n’est-ce pas du à un problème plus général de manque d’adhérents ?
Jean-Luc Dufrenne : Le recrutement de nouveaux adhérents, c’est une de mes priorités.
Lorsque l’on sait que l’APST compte 2 500 licences et que le SNAV n’en a que 1400, cela veut dire que nous avons un potentiel de recrutement d’un millier d’agences.
Il faut que les agences prennent conscience de la chance qu’elles ont d’avoir un organisme de représentativité face aux autorités de tutelle.
Et ce n’est pas une question de budget puisque la première année, les nouveaux adhérents ne s’acquittent que de 50% de la cotisation.
Dans ma région, nous invitons même les non-adhérents à certaines de nos réunions. Il me semble que c’est parmi les petites agences que nous avons le plus de chance de trouver de nouvelles adhésions.
Et puis, celles qui sont membres de l’APST devraient logiquement adhérer au syndicat.
Jean-Luc Dufrenne : Le recrutement de nouveaux adhérents, c’est une de mes priorités.
Lorsque l’on sait que l’APST compte 2 500 licences et que le SNAV n’en a que 1400, cela veut dire que nous avons un potentiel de recrutement d’un millier d’agences.
Il faut que les agences prennent conscience de la chance qu’elles ont d’avoir un organisme de représentativité face aux autorités de tutelle.
Et ce n’est pas une question de budget puisque la première année, les nouveaux adhérents ne s’acquittent que de 50% de la cotisation.
Dans ma région, nous invitons même les non-adhérents à certaines de nos réunions. Il me semble que c’est parmi les petites agences que nous avons le plus de chance de trouver de nouvelles adhésions.
Et puis, celles qui sont membres de l’APST devraient logiquement adhérer au syndicat.