L'hôtellerie française reprend des couleurs en mars, selon le cabinet Deloitte. Les hôtels 3 et 4 étoiles ont enregistré une "croissance prononcée de leur chiffre d’affaires hébergement."
A Paris, le regain d’activité a été significatif sur le marché 4 étoiles, le taux d’occupation progressant en moyenne de 11%. Pour les établissements les plus luxueux la progression atteint 24%. Idem pour les grandes villes françaises qui affichent de belles progressions (Bordeaux, Lyon, Montpellier, Nice et Toulouse.)
Pour l’hôtellerie 2 étoiles la tendance est beaucoup plus contrastée. "La fréquentation semble avoir tiré vers le haut le chiffre d’affaires hébergement (RevPAR)", mais pas toujours. Pour certains établissements, "c’est le levier plus traditionnel du prix moyen qui a assuré la hausse du RevPAR."
De son côté, l’hôtellerie économique a continué de tirer profit de prix moyens (RMC) plus élevés. Pour Deloitte ne se risque pas dans des prévisions précisant "que l’économie européenne reste encore fragile et que le marché hôtelier est confronté à des défis sur lesquels il a peu de prise."
A Paris, le regain d’activité a été significatif sur le marché 4 étoiles, le taux d’occupation progressant en moyenne de 11%. Pour les établissements les plus luxueux la progression atteint 24%. Idem pour les grandes villes françaises qui affichent de belles progressions (Bordeaux, Lyon, Montpellier, Nice et Toulouse.)
Pour l’hôtellerie 2 étoiles la tendance est beaucoup plus contrastée. "La fréquentation semble avoir tiré vers le haut le chiffre d’affaires hébergement (RevPAR)", mais pas toujours. Pour certains établissements, "c’est le levier plus traditionnel du prix moyen qui a assuré la hausse du RevPAR."
De son côté, l’hôtellerie économique a continué de tirer profit de prix moyens (RMC) plus élevés. Pour Deloitte ne se risque pas dans des prévisions précisant "que l’économie européenne reste encore fragile et que le marché hôtelier est confronté à des défis sur lesquels il a peu de prise."