Durant sa visite en Chine, d'abord à Chongqing, une ville de 33 millions d'habitants et d'une superficie égale à la Belgique, François Hollande n'a pas ménagé ses efforts afin d'attirer les investisseurs de l'Empire du Milieu vers nos belles entreprises de tourisme, entre autres - DR : jpldesigns - Fotolia.com
Bon, d'accord, apparemment, ces mêmes Chinois n'investiront pas du côté de chez Fram…
Faut croire qu'ils n'ont pas eu suffisamment confiance, ce qui peut paraître dommage, à moins que tout ceci et depuis le début, n'ait été qu'une vaste opération d'enfumage.
Toujours est-il, ainsi que le rapporte notre confrère Tour Hebdo, que durant sa visite en Chine, d'abord à Chongqing, une ville de 33 millions d'habitants et d'une superficie égale à la Belgique, François Hollande n'a pas ménagé ses efforts afin d'attirer les investisseurs de l'Empire du Milieu vers nos belles entreprises de tourisme, entre autres.
Et c'est vrai que ces chinois, qui détiennent d'ailleurs pratiquement toute la dette des Etats-Unis, semblent sacrément désireux d'investir en France. Oh, bien sûr, dans le nucléaire civil (on parle d'une possible entrée dans le capital d'Areva), mais aussi et beaucoup dans le tourisme.
Faut dire que notre bon président fait figure d'excellent représentant de commerce.
Si j'en juge par ses propos, rapportés par Tour Hebdo, en France, "nous n'avons peur de rien, pas même des investissements qui pourraient venir d'ici (la Chine, ndDG). Nous avons suffisamment confiance en nous pour savoir que ces investissements, s'ils sont durables, vont venir nous renforcer".
Faut croire qu'ils n'ont pas eu suffisamment confiance, ce qui peut paraître dommage, à moins que tout ceci et depuis le début, n'ait été qu'une vaste opération d'enfumage.
Toujours est-il, ainsi que le rapporte notre confrère Tour Hebdo, que durant sa visite en Chine, d'abord à Chongqing, une ville de 33 millions d'habitants et d'une superficie égale à la Belgique, François Hollande n'a pas ménagé ses efforts afin d'attirer les investisseurs de l'Empire du Milieu vers nos belles entreprises de tourisme, entre autres.
Et c'est vrai que ces chinois, qui détiennent d'ailleurs pratiquement toute la dette des Etats-Unis, semblent sacrément désireux d'investir en France. Oh, bien sûr, dans le nucléaire civil (on parle d'une possible entrée dans le capital d'Areva), mais aussi et beaucoup dans le tourisme.
Faut dire que notre bon président fait figure d'excellent représentant de commerce.
Si j'en juge par ses propos, rapportés par Tour Hebdo, en France, "nous n'avons peur de rien, pas même des investissements qui pourraient venir d'ici (la Chine, ndDG). Nous avons suffisamment confiance en nous pour savoir que ces investissements, s'ils sont durables, vont venir nous renforcer".
Ben, dans le cas de Fram, indéniablement, c'est gagné. Pour le renfort, faudra surement repasser, mais ne dit-on pas, dans Lucky Luke, que les blanchisseurs chinois sont des grands experts ?
Enfin, soyons contents : nous n'avons, tels des chevaliers Bayard, peur de rien.
Et Club Med encore mois, puisque, selon mon excellent confrère des Echos, le Groupe Fosun va définitivement faire passer le TO sexagénaire sous couleurs chinoises, grâce à son OPA menée "en surenchère" du groupement Gaillon Invest.
Du coup, Bonomi et le fils du créateur de Club Med, Serge, vont devoir abandonner définitivement la partie et laisser filer la marque vers des cieux… différents !
En espérant que, enfin, la marque aux Tridents va enfin pouvoir dégager quelques profits. En tout cas, une excellent affaire pour son Président actuel, le fils Giscard, lequel à défaut d'avoir pu conduire le Club sur la voie de la rentabilité, aura au moins pu valoriser les quelques actions et stock-options dont il dispose.
Un bienfait n'est jamais perdu…
Enfin, soyons contents : nous n'avons, tels des chevaliers Bayard, peur de rien.
Et Club Med encore mois, puisque, selon mon excellent confrère des Echos, le Groupe Fosun va définitivement faire passer le TO sexagénaire sous couleurs chinoises, grâce à son OPA menée "en surenchère" du groupement Gaillon Invest.
Du coup, Bonomi et le fils du créateur de Club Med, Serge, vont devoir abandonner définitivement la partie et laisser filer la marque vers des cieux… différents !
En espérant que, enfin, la marque aux Tridents va enfin pouvoir dégager quelques profits. En tout cas, une excellent affaire pour son Président actuel, le fils Giscard, lequel à défaut d'avoir pu conduire le Club sur la voie de la rentabilité, aura au moins pu valoriser les quelques actions et stock-options dont il dispose.
Un bienfait n'est jamais perdu…
Autres articles
-
Club Med La Palmyre : 150 postes à pourvoir pour la saison 2024
-
200 chefs d'entreprise attendus pour le 2e Sommet Destination France
-
Karavel - Fram : bientôt un fonds d'Abu Dhabi au capital ?
-
Club Med La Palmyre : 185 postes sont à pourvoir
-
Fram : une centaine de postes à pourvoir pour la saison 2024
Comme quoi, la Chine a bien décidé de lancer sa grande OPA touristique vers la France, et pas seulement sur Club Med. Pour le moment, l'aéroport de Toulouse, une foultitude d'hôtes (et pas des moindres) et bientôt, toujours selon les Echos, un partenariat extrêmement fort avec le Groupe Odalys, le grand bâtisseur de résidences de tourisme.
Selon les Echos, tout ceci devrait être bouclé et opérationnel dès l'été 2016, c’est-à-dire demain.
En France, Odalys se consacrerait à une activité quasi réceptive vis-à-vis de ces millions de chinois touristes qui bougent de plus en plus et se répandent sur l'Europe telle ces pauvres migrants que l'Europe se refuse à accueillir.
"Nous n'avons peur de rien", annonçait François Hollande. Non, pas même de changer les règles de TVA pour les réceptifs, surtout si ceux-ci passent sous le contrôle des chinois?
C'était une question…
Selon les Echos, tout ceci devrait être bouclé et opérationnel dès l'été 2016, c’est-à-dire demain.
En France, Odalys se consacrerait à une activité quasi réceptive vis-à-vis de ces millions de chinois touristes qui bougent de plus en plus et se répandent sur l'Europe telle ces pauvres migrants que l'Europe se refuse à accueillir.
"Nous n'avons peur de rien", annonçait François Hollande. Non, pas même de changer les règles de TVA pour les réceptifs, surtout si ceux-ci passent sous le contrôle des chinois?
C'était une question…
