C'est en effet par l'Assemblée Générale du Syndicat National des Agents de Voyages que débutait cette journée traditionnelle pour la profession.
Moi qui suis plutôt d'un naturel optimiste, je vous avoue que j'en ai ressenti une grande tristesse.
Quasi d'ailleurs un sentiment de malaise.
C'est vrai que la séance démarrait à 9h le matin et que la circulation dans la capitale, concoctée avec une telle incompétence par la Mairie de Paris, a pu occasionner un certain retard de la part des adhérents.
N'empêche que la salle était à moitié pleine (observez le côté positif).
Bien sûr que le Syndicat a travaillé durant cette année, extrêmement difficile pour la profession. Le rapport moral en témoigne…
Mais, du moins c'est mon sentiment, sans aucun enthousiasme et pour tout vous dire, avec une certaine résignation.
Une sorte de routine… de la part d'une institution qui peine à se remettre en cause et à se tourner vers l'avenir.
Là, j'avais (et j'ai toujours) l'impression que l'on regarde éternellement vers le passé, sans grande vision pour l'avenir.
Pour les prochains candidats, va falloir faire preuve d'initiative et de volonté…
Moi qui suis plutôt d'un naturel optimiste, je vous avoue que j'en ai ressenti une grande tristesse.
Quasi d'ailleurs un sentiment de malaise.
C'est vrai que la séance démarrait à 9h le matin et que la circulation dans la capitale, concoctée avec une telle incompétence par la Mairie de Paris, a pu occasionner un certain retard de la part des adhérents.
N'empêche que la salle était à moitié pleine (observez le côté positif).
Bien sûr que le Syndicat a travaillé durant cette année, extrêmement difficile pour la profession. Le rapport moral en témoigne…
Mais, du moins c'est mon sentiment, sans aucun enthousiasme et pour tout vous dire, avec une certaine résignation.
Une sorte de routine… de la part d'une institution qui peine à se remettre en cause et à se tourner vers l'avenir.
Là, j'avais (et j'ai toujours) l'impression que l'on regarde éternellement vers le passé, sans grande vision pour l'avenir.
Pour les prochains candidats, va falloir faire preuve d'initiative et de volonté…
Et, malgré son brillant discours de clôture, on sent clairement la fatigue du Président qui entame sa dernière année de mandat.
Fatigue, on peut le comprendre aisément et je tiens à saluer le courage de cet homme qui refuse encore de baisser les bras.
Mais, sincèrement, il faut parfois faire des choix… Difficiles !
Contraste étonnant lors de l'Assemblée Générale de l'APST, durant laquelle, clairement, j'ai ressenti une claire volonté d'aller de l'avant.
Un regard largement tourné vers l'avenir et l'évolution profonde de cette profession. Un enthousiasme évident face aux défis de la technologie moderne, des idées de rénovation, une gestion efficace et drastique.
Et, il faut bien le reconnaître, une participation de l'ensemble des adhérents… participante ! (Oui, je sais, j'adore martyriser la langue, c'est mon plaisir et c'est comme ça).
Et c'est aussi un hommage appuyé que je veux rendre au Président de cette Association indispensable à la bonne marche de la profession.
Parce que, lui non plus, il n'est pas tout jeune, le père Nabet. Il a dû batailler ferme lors de son arrivée à la tête de l'institution.
Il a dû en avaler des couleuvres et déjouer les pièges tendus par certains de ses "amis". Il s'en est largement sorti. Benoitement…
Il a su y faire, affichant volontiers une attitude pas fufute… mais tellement maline. Redoutable politique (même si nous ne sommes pas d'accord parfois dans le choix de certaines de ses convictions !), il a su aisément poursuivre et moderniser l'œuvre de ses prédécesseurs, lesquels, sans vouloir minimiser leur boulot, ont eu la chance d'opérer durant les années glorieuses.
Et, si la Grande Maison du Tourisme voit le jour un jour (vous l'avez voulu, vous l'avez !), cet homme me semble fort capable de rassembler l'ensemble des acteurs.
Tous, sans exception !
Fatigue, on peut le comprendre aisément et je tiens à saluer le courage de cet homme qui refuse encore de baisser les bras.
Mais, sincèrement, il faut parfois faire des choix… Difficiles !
Contraste étonnant lors de l'Assemblée Générale de l'APST, durant laquelle, clairement, j'ai ressenti une claire volonté d'aller de l'avant.
Un regard largement tourné vers l'avenir et l'évolution profonde de cette profession. Un enthousiasme évident face aux défis de la technologie moderne, des idées de rénovation, une gestion efficace et drastique.
Et, il faut bien le reconnaître, une participation de l'ensemble des adhérents… participante ! (Oui, je sais, j'adore martyriser la langue, c'est mon plaisir et c'est comme ça).
Et c'est aussi un hommage appuyé que je veux rendre au Président de cette Association indispensable à la bonne marche de la profession.
Parce que, lui non plus, il n'est pas tout jeune, le père Nabet. Il a dû batailler ferme lors de son arrivée à la tête de l'institution.
Il a dû en avaler des couleuvres et déjouer les pièges tendus par certains de ses "amis". Il s'en est largement sorti. Benoitement…
Il a su y faire, affichant volontiers une attitude pas fufute… mais tellement maline. Redoutable politique (même si nous ne sommes pas d'accord parfois dans le choix de certaines de ses convictions !), il a su aisément poursuivre et moderniser l'œuvre de ses prédécesseurs, lesquels, sans vouloir minimiser leur boulot, ont eu la chance d'opérer durant les années glorieuses.
Et, si la Grande Maison du Tourisme voit le jour un jour (vous l'avez voulu, vous l'avez !), cet homme me semble fort capable de rassembler l'ensemble des acteurs.
Tous, sans exception !
