Si j'en crois nos infos, TUI France s'apprêterait à mettre en place la phase II de son plan de restructuration.
Interrogée, la direction de TUI France n'a pas souhaité répondre.
Phase II qui, contrairement à ce que l'on pourrait supposer, n'est pas une franche surprise, Pascal de Izaguirre y ayant fait allusion fin 2011 ou début 2012 si j'ai bonne mémoire.
Normal, d'ailleurs, le Basque Bondissant respecte la feuille de route de ses actionnaires, lesquels, après avoir laissé doucement la boite s'enfoncer sous la compétente direction de Jean-Marc Siano, englouti des millions d'euros, constaté que leur modèle fonctionnait partout en Europe, se sont réveillés… brutalement !
Un premier plan social (484 personnes si je ne m'abuse) dans un premier temps. Fallait ensuite attendre le délai légal entre deux plans avant de passer à la seconde phase qui pourrait avoisiner les 400 personnes.
Ce qui devrait être fait dans quelques semaines et porterait le score à quasi 1000 salariés !
Marrant d'ailleurs de constater certaines similitudes entre le fonctionnement de Thomas Cook et celui de TUI France. L'un comme l'autre ont été plombés par un Wathier ou un Siano. Chacun sa croix (je sais, j'aurais pu écrire autre chose, mais je vous l'ai déjà dit, je vieillis...)
Chez l'un comme chez l'autre, on a toujours eu tendance à considérer que la distribution, ça coûtait cher et ça rapportait peu. Ouais, c'est tendance, mais j'en suis pas si sûr.
Interrogée, la direction de TUI France n'a pas souhaité répondre.
Phase II qui, contrairement à ce que l'on pourrait supposer, n'est pas une franche surprise, Pascal de Izaguirre y ayant fait allusion fin 2011 ou début 2012 si j'ai bonne mémoire.
Normal, d'ailleurs, le Basque Bondissant respecte la feuille de route de ses actionnaires, lesquels, après avoir laissé doucement la boite s'enfoncer sous la compétente direction de Jean-Marc Siano, englouti des millions d'euros, constaté que leur modèle fonctionnait partout en Europe, se sont réveillés… brutalement !
Un premier plan social (484 personnes si je ne m'abuse) dans un premier temps. Fallait ensuite attendre le délai légal entre deux plans avant de passer à la seconde phase qui pourrait avoisiner les 400 personnes.
Ce qui devrait être fait dans quelques semaines et porterait le score à quasi 1000 salariés !
Marrant d'ailleurs de constater certaines similitudes entre le fonctionnement de Thomas Cook et celui de TUI France. L'un comme l'autre ont été plombés par un Wathier ou un Siano. Chacun sa croix (je sais, j'aurais pu écrire autre chose, mais je vous l'ai déjà dit, je vieillis...)
Chez l'un comme chez l'autre, on a toujours eu tendance à considérer que la distribution, ça coûtait cher et ça rapportait peu. Ouais, c'est tendance, mais j'en suis pas si sûr.
Néanmoins, les grands penseurs actionnaires européens en ont décidé ainsi et c'est comme ça, circulez, y'a rien à voir.
Encore une erreur. Et, dans le cas de TUI France, le fait de penser "absolument" internet, quitte à offrir des rabais pouvant atteindre 10% en réservant en ligne (c'est authentique, c'est vérifié) me semble un pari extrêmement risqué.
Thomas Cook, après avoir racheté Jet Tours, s'est empressé de détruire cette belle marque… Ou du moins de tenter de la noyer dans son fameux mainstream (je ne sais toujours pas ce que ça veut dire).
Et puis, finalement, tente maintenant de le faire renaitre de ses cendres, ce qui me parait loin d'être évident.
Copieur, TUI France a racheté Marmara (encore un fleuron du marché français), puis de le noyer aussi dans son mainstream.
Ben, si j'en crois le marché, c'est encore une brillante réussite. Je n'ose pas penser à ce que pourrait devenir la marque Nouvelles Frontières…
Et, comme rien n'arrête les brillants stratèges actionnaires, tant chez TUI France que TC, on va également passer un vaste coup de balai sur cette distribution, particulièrement la distribution "intégrée".
Trop cher en France ? Ben c'est vrai qu'en Europe, TUI ou TC sont quasi à égalité, une sorte de duopole en quelque sorte...
En France, non. C'est vrai que chez nous, le marché est différent. La fameuse exception française, dont nous sommes si fiers. Et, pour laquelle, je l'avoue, j'ai quand même un faible.
Le patron de TUI France en est bien conscient, mais je le crois quand même un peu coincé entre ses propres convictions et la "directive européenne" de ses actionnaires. Pas facile…
Reste maintenant à savoir si ces brillantes stratégies vont fonctionner. Encore une fois, la spécificité du marché demeure… et le manque de créativité.
Je n'oublie quand même pas que, TUI comme TC en débarquant sur le marché français, allaient "casser la baraque".
Le géant a malgré tout les pieds d'argile…
Encore une erreur. Et, dans le cas de TUI France, le fait de penser "absolument" internet, quitte à offrir des rabais pouvant atteindre 10% en réservant en ligne (c'est authentique, c'est vérifié) me semble un pari extrêmement risqué.
Thomas Cook, après avoir racheté Jet Tours, s'est empressé de détruire cette belle marque… Ou du moins de tenter de la noyer dans son fameux mainstream (je ne sais toujours pas ce que ça veut dire).
Et puis, finalement, tente maintenant de le faire renaitre de ses cendres, ce qui me parait loin d'être évident.
Copieur, TUI France a racheté Marmara (encore un fleuron du marché français), puis de le noyer aussi dans son mainstream.
Ben, si j'en crois le marché, c'est encore une brillante réussite. Je n'ose pas penser à ce que pourrait devenir la marque Nouvelles Frontières…
Et, comme rien n'arrête les brillants stratèges actionnaires, tant chez TUI France que TC, on va également passer un vaste coup de balai sur cette distribution, particulièrement la distribution "intégrée".
Trop cher en France ? Ben c'est vrai qu'en Europe, TUI ou TC sont quasi à égalité, une sorte de duopole en quelque sorte...
En France, non. C'est vrai que chez nous, le marché est différent. La fameuse exception française, dont nous sommes si fiers. Et, pour laquelle, je l'avoue, j'ai quand même un faible.
Le patron de TUI France en est bien conscient, mais je le crois quand même un peu coincé entre ses propres convictions et la "directive européenne" de ses actionnaires. Pas facile…
Reste maintenant à savoir si ces brillantes stratégies vont fonctionner. Encore une fois, la spécificité du marché demeure… et le manque de créativité.
Je n'oublie quand même pas que, TUI comme TC en débarquant sur le marché français, allaient "casser la baraque".
Le géant a malgré tout les pieds d'argile…
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