Mickey va mal, en France.
Rien à faire, il n'arrive plus à joindre les deux bouts, à tel point que les oncles et tantes d'Amérique sont obligés de venir à son secours.
Faut dire que Disneyland Paris accumule les dettes depuis quelques années. Si j'en crois les bonnes gazettes, ce sont quelque 1.7 milliards d'Euros de dette qui s'accumulent.
Du coup, Picsou, sans enthousiasme aucun, doit remettre au pot environ 1 milliard d'euros, en espérant sortir son neveu de son marasme.
Damned Europe, grognait-on de l'autre côté de l'Atlantique, du côté de chez Donald.
Pourtant, il parait qu'en France, les Parcs d'attraction, ça marche le feu de dieu… ou du diable.
Rien à faire, il n'arrive plus à joindre les deux bouts, à tel point que les oncles et tantes d'Amérique sont obligés de venir à son secours.
Faut dire que Disneyland Paris accumule les dettes depuis quelques années. Si j'en crois les bonnes gazettes, ce sont quelque 1.7 milliards d'Euros de dette qui s'accumulent.
Du coup, Picsou, sans enthousiasme aucun, doit remettre au pot environ 1 milliard d'euros, en espérant sortir son neveu de son marasme.
Damned Europe, grognait-on de l'autre côté de l'Atlantique, du côté de chez Donald.
Pourtant, il parait qu'en France, les Parcs d'attraction, ça marche le feu de dieu… ou du diable.
La Gaulois n'a jamais connu de meilleure saison, le Parc du fou du bocage rafle prix sur prix et pourrait s'exporter du côté de la Volga… Quant à Futuroscope, de loin mon préféré, tout semble aller très bien.
Alors quoi, menace Minnie envers son Mickey qui ne comprend plus ?
Ben faut dire que la crise, quoi qu'on en dise, ça touche toute l'Europe. Et même, si chez nos voisins, on commence à retrouver un peu d'espoir, c'est pas la joie quand même.
Parce que, malgré les propos très rassurants de Mark Stead (c'est le coach financier de Picsou, DGA Finances de Disney), tout ceci est préoccupant.
D'ailleurs, Mark Stead est un peu gonflé, lorsqu'il annonce que "Disney est un succès commercial avec quelque 300 millions de visiteurs (…) mais qui ne s'est jamais traduit en succès financier" !
Faut dire aussi que ce pauvre Mickey en France n'a jamais failli à son devoir envers son "parrain" d'Amérique. La protection, ça coûte cher et il n'était pas question de déroger au versement de la petite enveloppe...
Tiens, au passage, Mickey constate qu'il lui manque environ 10% de visiteurs par rapport à l'année dernière…
Ah bon. Et donc Mickey est un philanthrope, si je puis me permettre… Me voilà rassuré.
Et puis, en fait, tout ceci va être très bénéfique, puisqu'il s'agit de recapitaliser l'entreprise. En clair, c'est une augmentation de capital, donc de nouvelles actions… A quel prix ?
Et les petits porteurs alors ? Ceux qui déjà avaient été sacrément échaudés, il y a quelques années déjà, alors que Mickey faisait déjà appel à Oncle Picsou.
Ça me rappelle mon vieux beau-papa qui ne loupait jamais une bonne affaire. Il avait déjà investi massivement dans les actions Eurotunnel de l'époque et y avait laissé au moins trois chemises et deux costars…
Il avait bien entendu, en malin financier qu'il n'était pas, pris un petit paquet d'actions de Mickey. Là, il avait encore laissé un certain nombre de plumes dans l'histoire et avait juré qu'on ne l'y prendrai plus.
Il avait failli, tant qu'il y était, prendre aussi quelques actions chez Air France. D'accord, Juju les Bretelles (merci au Canard Enchainé qui surnomme ainsi Alexandre de Juniac) n'était pas encore arrivé, et puis il n'a pas eu le temps.
Il s'est envolé dans un autre pays où le rêve est peut-être une vraie réalité.
Mais je suis sûr que, cette fois-ci, il n'aurait pas joué.
Pauvre Mickey, c'est dommage, moi j'aime bien…
Alors quoi, menace Minnie envers son Mickey qui ne comprend plus ?
Ben faut dire que la crise, quoi qu'on en dise, ça touche toute l'Europe. Et même, si chez nos voisins, on commence à retrouver un peu d'espoir, c'est pas la joie quand même.
Parce que, malgré les propos très rassurants de Mark Stead (c'est le coach financier de Picsou, DGA Finances de Disney), tout ceci est préoccupant.
D'ailleurs, Mark Stead est un peu gonflé, lorsqu'il annonce que "Disney est un succès commercial avec quelque 300 millions de visiteurs (…) mais qui ne s'est jamais traduit en succès financier" !
Faut dire aussi que ce pauvre Mickey en France n'a jamais failli à son devoir envers son "parrain" d'Amérique. La protection, ça coûte cher et il n'était pas question de déroger au versement de la petite enveloppe...
Tiens, au passage, Mickey constate qu'il lui manque environ 10% de visiteurs par rapport à l'année dernière…
Ah bon. Et donc Mickey est un philanthrope, si je puis me permettre… Me voilà rassuré.
Et puis, en fait, tout ceci va être très bénéfique, puisqu'il s'agit de recapitaliser l'entreprise. En clair, c'est une augmentation de capital, donc de nouvelles actions… A quel prix ?
Et les petits porteurs alors ? Ceux qui déjà avaient été sacrément échaudés, il y a quelques années déjà, alors que Mickey faisait déjà appel à Oncle Picsou.
Ça me rappelle mon vieux beau-papa qui ne loupait jamais une bonne affaire. Il avait déjà investi massivement dans les actions Eurotunnel de l'époque et y avait laissé au moins trois chemises et deux costars…
Il avait bien entendu, en malin financier qu'il n'était pas, pris un petit paquet d'actions de Mickey. Là, il avait encore laissé un certain nombre de plumes dans l'histoire et avait juré qu'on ne l'y prendrai plus.
Il avait failli, tant qu'il y était, prendre aussi quelques actions chez Air France. D'accord, Juju les Bretelles (merci au Canard Enchainé qui surnomme ainsi Alexandre de Juniac) n'était pas encore arrivé, et puis il n'a pas eu le temps.
Il s'est envolé dans un autre pays où le rêve est peut-être une vraie réalité.
Mais je suis sûr que, cette fois-ci, il n'aurait pas joué.
Pauvre Mickey, c'est dommage, moi j'aime bien…
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