L'association des Iles Vanille qui regroupe Madagascar, Seychelles, Maurice, Réunion, Maldives, Comores et Mayotte porte le concept de promotion de combinés d'îles auprès de visiteurs internationaux.
Aujourd'hui, 25% des visiteurs visitent au moins deux îles, notamment Réunion et Maurice, et la progression sera encore de plus de 12% cette année.
Pour autant, les dirigeants des entités touristiques ne visent pas seulement la croissance du nombre de touristes mais aussi la préservation du potentiel touristique de chacune de ces îles.
Le changement climatique est une menace à prendre suffisamment au sérieux pour que l'association a fait entrer dans le jeu de la réflexion le WWF.
Aujourd'hui, 25% des visiteurs visitent au moins deux îles, notamment Réunion et Maurice, et la progression sera encore de plus de 12% cette année.
Pour autant, les dirigeants des entités touristiques ne visent pas seulement la croissance du nombre de touristes mais aussi la préservation du potentiel touristique de chacune de ces îles.
Le changement climatique est une menace à prendre suffisamment au sérieux pour que l'association a fait entrer dans le jeu de la réflexion le WWF.
"Ne pas trop abîmer notre fond de commerce"
Des stratégies d'écotourisme se mettent en place avec des chartes de qualité, notamment autour du développement hôtelier. La sensibilisation du grand public comme des acteurs économiques locaux.
Bref, "ne pas trop abîmer notre fond de commerce" et "faire une opportunité du changement climatique" est dans toutes les têtes, "à condition de savoir anticiper".
Des actions sont déjà en place : obligations européennes sur le développement hôtelier à la Réunion, reboisement aux Seychelles, aucune ouverture d'hôtels à Maurice d'ici à décembre 2016, interdiction des sacs plastiques à Maurice à partir de janvier prochain, conservation des communautés locales à Madagascar, préserver le lagon et sa barrière de Corail à Mayotte...
La Déclaration des Iles sur le changement climatique sera prête dans quelques jours.
Mais le tourisme continuera d'y croître.
A la Réunion, qui recevra 450 000 touristes cette année, le potentiel de croissance serait encore d'au moins 300 000 visiteurs.
Le président du tourisme mauricien Arnaud Martin compte sur l'apport de croisiéristes. De 12 000 cette année, l'objectif est d'atteindre 17 000 croisiéristes en 2017.
"Le développement de l'emploi pour les jeunes et la génération de richesse que créée l'industrie touristique est important".
Bref, "ne pas trop abîmer notre fond de commerce" et "faire une opportunité du changement climatique" est dans toutes les têtes, "à condition de savoir anticiper".
Des actions sont déjà en place : obligations européennes sur le développement hôtelier à la Réunion, reboisement aux Seychelles, aucune ouverture d'hôtels à Maurice d'ici à décembre 2016, interdiction des sacs plastiques à Maurice à partir de janvier prochain, conservation des communautés locales à Madagascar, préserver le lagon et sa barrière de Corail à Mayotte...
La Déclaration des Iles sur le changement climatique sera prête dans quelques jours.
Mais le tourisme continuera d'y croître.
A la Réunion, qui recevra 450 000 touristes cette année, le potentiel de croissance serait encore d'au moins 300 000 visiteurs.
Le président du tourisme mauricien Arnaud Martin compte sur l'apport de croisiéristes. De 12 000 cette année, l'objectif est d'atteindre 17 000 croisiéristes en 2017.
"Le développement de l'emploi pour les jeunes et la génération de richesse que créée l'industrie touristique est important".