Les pirates du XVIIIe siècle avaient déjà repéré la beauté et le calme de ce havre au milieu de l’océan Indien.
Beaucoup d’entre eux s’y retirèrent en cessant la course et leurs descendants mulâtres sont nombreux.
Le caporal La Bigorne, dont les aventures rocambolesques ont inspiré un roman à Pierre Nord, épousa l’une d’elles, la princesse Betty.
L’histoire dit que leur union déboucha sur le rattachement de l’île à la France en 1750. Après quelques sursauts d’occupation britannique, Sainte-Marie a rejoint Madagascar en 1896.
Même s’il semble que le premier décret d’annexion n’ait jamais été officiellement radié et que jusqu’à très récemment, les habitants disposaient d’un statut spécifique en tant que citoyens de droit commun français.
Beaucoup d’entre eux s’y retirèrent en cessant la course et leurs descendants mulâtres sont nombreux.
Le caporal La Bigorne, dont les aventures rocambolesques ont inspiré un roman à Pierre Nord, épousa l’une d’elles, la princesse Betty.
L’histoire dit que leur union déboucha sur le rattachement de l’île à la France en 1750. Après quelques sursauts d’occupation britannique, Sainte-Marie a rejoint Madagascar en 1896.
Même s’il semble que le premier décret d’annexion n’ait jamais été officiellement radié et que jusqu’à très récemment, les habitants disposaient d’un statut spécifique en tant que citoyens de droit commun français.
Toute la beauté des paradis tropicaux sans le bitume

A Sainte-Marie de Mada, pas de routes mais des sourires chaleureux - DR : A.P.
L’île se parcourt à pied, en buggy ou en quad. Seuls quelques kilomètres sont goudronnés.
Le reste des sentiers serpente entre les vergers, les cocoteraies, la forêt et les villages de cases en ravinala. Les plages sont lumineuses et bordées de turquoise transparente où s’ébat la faune multicolore des eaux tropicales.
Manioc, riz, poissons, fruits, forment la subsistance de base. Vanille et girofle sont exportés.
Mais la grande richesse de l’île, celle qui remplit les 900 lits que proposent les 70 unités d’hébergement, sont les baleines à bosse.
De fin juin à mi septembre, ces magnifiques animaux remontés de l’Antarctique viennent se reproduire dans les eaux chaudes et peu profondes du canal.
Les observateurs foisonnent alors et la proximité des cétacés a permis de nombreuses avancées dans la compréhension de leur comportement et modes de vie. (www.cetamada.com)
Le reste des sentiers serpente entre les vergers, les cocoteraies, la forêt et les villages de cases en ravinala. Les plages sont lumineuses et bordées de turquoise transparente où s’ébat la faune multicolore des eaux tropicales.
Manioc, riz, poissons, fruits, forment la subsistance de base. Vanille et girofle sont exportés.
Mais la grande richesse de l’île, celle qui remplit les 900 lits que proposent les 70 unités d’hébergement, sont les baleines à bosse.
De fin juin à mi septembre, ces magnifiques animaux remontés de l’Antarctique viennent se reproduire dans les eaux chaudes et peu profondes du canal.
Les observateurs foisonnent alors et la proximité des cétacés a permis de nombreuses avancées dans la compréhension de leur comportement et modes de vie. (www.cetamada.com)
Un tourisme nécessairement solidaire et respectueux
Les quelques entrepreneurs étrangers tombés amoureux de l’île se sont bien sûr tournés vers le tourisme. À tendance responsable et éthique. Car il n’est pas question de bouleverser ce fragile écosystème.
« Oui, nous circulons en quad, mais à chaque sortie moteur, nous en faisons le bilan carbone et nous replantons des arbres en conséquence. » (www.quadsaintemarie.com)
En parallèle, des réseaux solidaires aident à la reforestation, au recensement et à l’exploitation locale des espèces médicinales. (www.valamada.com)
Pas de complexes hôteliers démesurés non plus. Les hôtels sont familiaux, à taille humaine, des 2* de charme où le visiteur se sent chez lui.
Pour la première année, quatre d’entre eux (*) se sont regroupés pour Top Résa pour essayer de se faire connaître en dehors de leur grande sœur.
Cases nichées sous les cocotiers, pontons face aux magnifiques couchers de soleil, plages de sable corallien, ambiance bon enfant, punch coco, la vie y coule douce et naturelle.
Des séjours à réserver aux véritables amoureux des tropiques d’antan, ces havres perdus dans l’océan qui ont su attirer et capturer les cœurs des farouches pirates des temps jadis.
« Oui, nous circulons en quad, mais à chaque sortie moteur, nous en faisons le bilan carbone et nous replantons des arbres en conséquence. » (www.quadsaintemarie.com)
En parallèle, des réseaux solidaires aident à la reforestation, au recensement et à l’exploitation locale des espèces médicinales. (www.valamada.com)
Pas de complexes hôteliers démesurés non plus. Les hôtels sont familiaux, à taille humaine, des 2* de charme où le visiteur se sent chez lui.
Pour la première année, quatre d’entre eux (*) se sont regroupés pour Top Résa pour essayer de se faire connaître en dehors de leur grande sœur.
Cases nichées sous les cocotiers, pontons face aux magnifiques couchers de soleil, plages de sable corallien, ambiance bon enfant, punch coco, la vie y coule douce et naturelle.
Des séjours à réserver aux véritables amoureux des tropiques d’antan, ces havres perdus dans l’océan qui ont su attirer et capturer les cœurs des farouches pirates des temps jadis.
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