En septembre, la destination lancera une grande campagne de communication intitulée « Rediscover Sri Lanka »
« Le premier bilan de la campagne « 1 pour 2 » est globalement positif », se félicite Dileep Mudadenyia, directeur de l’office de tourisme du Sri Lanka en France.
Initiée dans 5 marché européens majeurs, c’est, cocorico, le marché français qui, pour une fois se distingue. « Il est en hausse de 6 % en cumul à fin mai avec 11 953 français contre 11 200 l’an dernier à pareille époque.
Alors que la campagne s’arrête aujourd’hui, 4 500 packages ont été réalisés en France. Mais comme l’on reconnu les tour opérateurs, les ventes ont stoppé net le jour même de l’arrêt de l’opération. Sri Lankan Airlines a continué d’ailleurs à animer seule le marché en offrant 20 % de réduction sur tout séjour acheté.
Mais de l’aveu de Dany Schepers, le directeur général France, Benelux et péninsule Ibérique, « les résultats ne sont pas ceux que l’on attendait. La réduction de 20 % était sur l’aérien et a été peu suivie par les réceptifs. »
Une remise à neuf du parc hôtelier
Et les touristes pourront bénéficier de nouvelles infrastructures. « Sur les 242 hôtels que compte le Sri Lanka, 235 sont actuellement 100 % opérationnels. Des établissements comme le Kandalama où le Triton ont été entièrement refaits. Même des hôtels qui n’ont pas été touché comme le Sigiriya ont rénové entièrement.
De nouveaux établissements de chaînes sont également venus s’installer sur la destination. « Le Hyatt, la chaîne Amada qui a ouvert il y a 2 mois, ou encore le Sheraton et Banyan Tree qui ouvriront bientôt montrent l’intérêt du Sri Lanka pour les acteurs du tourisme », confirme Dileep Madadeniya qui attend de nouveaux tour opérateurs français programmant le Sri Lanka cet hiver.
Ils pourront s’appuyer sur la compagnie Sri Lankan Airlines qui propose 5 vols au départ de France via Francfort à l’aller (Seul le vol du jeudi est direct Colombo). « Nous continuons de réclamer auprès des autorités françaises une liaison quotidienne depuis la France. Le potentiel de marché est suffisant pour ces 2 vols supplémentaires », insiste Peter Hill, pdg de la compagnie.
1ère campagne télé
Mais conscients qu’il leur faut sans cesse travailler le marché, les responsables du Sri Lanka Tourist Board et de Sri Lankan Airlines lanceront en septembre une grande campagne de communication intitulée « Rediscover Sri Lanka ». D’un coût de 4,1 M$, elle doit redynamiser un marché dans une période creuse avant la haute saison d’hiver.
« Nous sommes confiants et pensons que cette campagne changera la perception des acteurs du tourisme et des visiteurs sur la destination et qu’elle leur montrera qu’ils peuvent passer de merveilleuses vacances là-bas », explique Peter Hill.
La compagnie aérienne financera à hauteur de 2,1 M$ les 2 premùiers mois de la campagne, le reste, soit 1 mois et demi sera fiannacé par le Sri Lanka Tourist Board et le groupement des professionnels du tourisme.
« Le tsunami a été dévastateur, mais nous allons de l’avant. Ainsi nous pourrons donner une image de la situation telle qu’elle est réellement », confirme Chandana de Silva, responsable de la communication de la compagnie. Une compagnie qui, de l’aveu de son pdg, enregistra quand même un « petit » résultat net bénéficiaire.
Initiée dans 5 marché européens majeurs, c’est, cocorico, le marché français qui, pour une fois se distingue. « Il est en hausse de 6 % en cumul à fin mai avec 11 953 français contre 11 200 l’an dernier à pareille époque.
Alors que la campagne s’arrête aujourd’hui, 4 500 packages ont été réalisés en France. Mais comme l’on reconnu les tour opérateurs, les ventes ont stoppé net le jour même de l’arrêt de l’opération. Sri Lankan Airlines a continué d’ailleurs à animer seule le marché en offrant 20 % de réduction sur tout séjour acheté.
Mais de l’aveu de Dany Schepers, le directeur général France, Benelux et péninsule Ibérique, « les résultats ne sont pas ceux que l’on attendait. La réduction de 20 % était sur l’aérien et a été peu suivie par les réceptifs. »
Une remise à neuf du parc hôtelier
Et les touristes pourront bénéficier de nouvelles infrastructures. « Sur les 242 hôtels que compte le Sri Lanka, 235 sont actuellement 100 % opérationnels. Des établissements comme le Kandalama où le Triton ont été entièrement refaits. Même des hôtels qui n’ont pas été touché comme le Sigiriya ont rénové entièrement.
De nouveaux établissements de chaînes sont également venus s’installer sur la destination. « Le Hyatt, la chaîne Amada qui a ouvert il y a 2 mois, ou encore le Sheraton et Banyan Tree qui ouvriront bientôt montrent l’intérêt du Sri Lanka pour les acteurs du tourisme », confirme Dileep Madadeniya qui attend de nouveaux tour opérateurs français programmant le Sri Lanka cet hiver.
Ils pourront s’appuyer sur la compagnie Sri Lankan Airlines qui propose 5 vols au départ de France via Francfort à l’aller (Seul le vol du jeudi est direct Colombo). « Nous continuons de réclamer auprès des autorités françaises une liaison quotidienne depuis la France. Le potentiel de marché est suffisant pour ces 2 vols supplémentaires », insiste Peter Hill, pdg de la compagnie.
1ère campagne télé
Mais conscients qu’il leur faut sans cesse travailler le marché, les responsables du Sri Lanka Tourist Board et de Sri Lankan Airlines lanceront en septembre une grande campagne de communication intitulée « Rediscover Sri Lanka ». D’un coût de 4,1 M$, elle doit redynamiser un marché dans une période creuse avant la haute saison d’hiver.
« Nous sommes confiants et pensons que cette campagne changera la perception des acteurs du tourisme et des visiteurs sur la destination et qu’elle leur montrera qu’ils peuvent passer de merveilleuses vacances là-bas », explique Peter Hill.
La compagnie aérienne financera à hauteur de 2,1 M$ les 2 premùiers mois de la campagne, le reste, soit 1 mois et demi sera fiannacé par le Sri Lanka Tourist Board et le groupement des professionnels du tourisme.
« Le tsunami a été dévastateur, mais nous allons de l’avant. Ainsi nous pourrons donner une image de la situation telle qu’elle est réellement », confirme Chandana de Silva, responsable de la communication de la compagnie. Une compagnie qui, de l’aveu de son pdg, enregistra quand même un « petit » résultat net bénéficiaire.
