attirer les utilisateurs dans les agences pour voir des experts - photo domaine public
Comment faire revenir les voyageurs vers les agences ? En s’adaptant aux nouvelles habitudes d’achat et en proposant un format nouveau, plus axé nouvelles technologies.
David Bernin, directeur général chargé de la distribution du groupe Marietton Développement, Mathilde Carpentier, directrice des réseaux et Rémi Ravier, responsable d’agence à Romans-sur-Isère ont développé un concept de salon virtuel.
Le premier salon virtuel du voyage, qu’ils ont appelé « allez voir Ailleurs », se tiendra du 11 au 14 octobre 2017 dans la Drôme, dans les agences dédiées à Valence et Romans-sur-Isère.
Le client se connecte sur le site ou bien se rend directement en agence. Un accès réservé sur un espace dédié lui permet de prendre rendez-vous avec un tour-opérateur (TO).
Outre la visioconférence, les clients auront l’occasion de tester de nombreux outils numériques, comme des lunettes 3D ou des pouces NFC.
L’idée est d’approcher des technophiles.
« Je ne peux pas parler de classe d’âge mais plutôt de typologie de clients. Ce sont des personnes qui ont l’habitude de réserver sur internet et ne se déplacent pas. On veut les faire venir, ou plutôt les faire revenir » explique David Bernin.
Le coût pour les organisateurs est moindre et les TO gagnent au change : un salon virtuel ne mobilise pas des commerciaux et il n’y a pas de déplacement à prévoir . De leur côté, les clients y gagnent parce qu'ils accèdent directement aux conseils des experts.
David Bernin, directeur général chargé de la distribution du groupe Marietton Développement, Mathilde Carpentier, directrice des réseaux et Rémi Ravier, responsable d’agence à Romans-sur-Isère ont développé un concept de salon virtuel.
Le premier salon virtuel du voyage, qu’ils ont appelé « allez voir Ailleurs », se tiendra du 11 au 14 octobre 2017 dans la Drôme, dans les agences dédiées à Valence et Romans-sur-Isère.
Le client se connecte sur le site ou bien se rend directement en agence. Un accès réservé sur un espace dédié lui permet de prendre rendez-vous avec un tour-opérateur (TO).
Outre la visioconférence, les clients auront l’occasion de tester de nombreux outils numériques, comme des lunettes 3D ou des pouces NFC.
L’idée est d’approcher des technophiles.
« Je ne peux pas parler de classe d’âge mais plutôt de typologie de clients. Ce sont des personnes qui ont l’habitude de réserver sur internet et ne se déplacent pas. On veut les faire venir, ou plutôt les faire revenir » explique David Bernin.
Le coût pour les organisateurs est moindre et les TO gagnent au change : un salon virtuel ne mobilise pas des commerciaux et il n’y a pas de déplacement à prévoir . De leur côté, les clients y gagnent parce qu'ils accèdent directement aux conseils des experts.
A terme, être présent dans tout le réseau d’agence
Le salon d’octobre 2017 est donc un test, qu’Ailleurs Voyages a décidé d’installer dans 4 agences, à Valence et à Romans-sur-Isère.
« On organisait déjà un salon de voyage dans la Drôme, explique David Bernin, mais malgré de bons résultats, il avait tendance à s’essouffler. On a donc décidé de l’arrêter et d’en profiter pour, à la place, créer un salon virtuel ».
Le salon « physique » rapportait au réseau 350 000€ de volume d’affaires, avec une trentaine d’exposants et environ 1200 visiteurs (dont la moitié d’habitués). Les organisateurs espèrent donc les mêmes résultats, a minima.
« C’est un test sur 2 ans : on prendra en compte les erreurs de cette année pour rectifier le tir mais le but est non seulement de durer mais de s’exporter sur tout le réseau » annonce David Bernin.
Un salon général sur tout le réseau ? Plutôt plusieurs, selon le territoire, les besoins et attentes des clients et des professionnels. L’idée est de rester flexible et s’adapter aux évolutions des habitudes d’achats, pour ne pas que les clients aillent « voir ailleurs ».
« On organisait déjà un salon de voyage dans la Drôme, explique David Bernin, mais malgré de bons résultats, il avait tendance à s’essouffler. On a donc décidé de l’arrêter et d’en profiter pour, à la place, créer un salon virtuel ».
Le salon « physique » rapportait au réseau 350 000€ de volume d’affaires, avec une trentaine d’exposants et environ 1200 visiteurs (dont la moitié d’habitués). Les organisateurs espèrent donc les mêmes résultats, a minima.
« C’est un test sur 2 ans : on prendra en compte les erreurs de cette année pour rectifier le tir mais le but est non seulement de durer mais de s’exporter sur tout le réseau » annonce David Bernin.
Un salon général sur tout le réseau ? Plutôt plusieurs, selon le territoire, les besoins et attentes des clients et des professionnels. L’idée est de rester flexible et s’adapter aux évolutions des habitudes d’achats, pour ne pas que les clients aillent « voir ailleurs ».
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