SkyEurope Airlines, la plus importante compagnie low-cost d’Europe Centrale, s’est ouverte ces derniers mois à la vente via les quatre GDS, en coopération avec le consolidateur Hahn Air (code HR).
En France la vente par leur intermédiaire se généralisera dans les prochains mois ; elle est en phase de test depuis trois mois (jusqu’à fin mars), sur les lignes entre Paris et Budapest, Prague, Cracovie et Varsovie, et dans les prochains jours à destination de sa nouvelle base de Vienne depuis Paris et Nice.
«Nous sommes très contents des premiers résultats. La France représente dès à présent 40% de l’ensemble des réservations de notre compagnie via les GDS», constate Petra Déchaux, directrice commerciale et marketing France de SkyEurope. Les ventes via les GDS n’en resteront pas moins minoritaires.
Prague et Budapest, dessertes les plus populaires
En France la vente par leur intermédiaire se généralisera dans les prochains mois ; elle est en phase de test depuis trois mois (jusqu’à fin mars), sur les lignes entre Paris et Budapest, Prague, Cracovie et Varsovie, et dans les prochains jours à destination de sa nouvelle base de Vienne depuis Paris et Nice.
«Nous sommes très contents des premiers résultats. La France représente dès à présent 40% de l’ensemble des réservations de notre compagnie via les GDS», constate Petra Déchaux, directrice commerciale et marketing France de SkyEurope. Les ventes via les GDS n’en resteront pas moins minoritaires.
Prague et Budapest, dessertes les plus populaires

«Le GDS est un canal de distribution complémentaire, précise-t-elle. Internet reste de loin notre principal outil de vente avec surtout la commercialisation en direct par le biais de notre site skyeurope.com. D’ailleurs, nos promotions coup de poing ne sont proposées que sur internet».
En y incluant les ventes en btob et les allotements, Petra Déchaux note que 15 à 20% de l’activité de la compagnie en France passe aujourd’hui par les TO et agences de voyages : «La vente par GDS permettra une hausse des ventes par l’intermédiaire de ces dernières, mais cette hausse restera limitée».
SkyEurope est aujourd’hui très bien implantée dans l’hexagone. «Le marché français se porte bien, se félicite Petra Déchaux. Sur l’année 2006, nos chiffres sont très satisfaisants. Prague et Budapest sont nos deux dessertes les plus populaires. Et nous fondons de grands espoirs sur Vienne».
SkyEurope, outre les dessertes de sa nouvelle base de Vienne (un quotidien depuis Paris et trois vols par semaine depuis Nice), opèrera ce printemps depuis Orly dix vols hebdomadaires sur Prague et Budapest, six sur Cracovie et Varsovie, douze sur Bratislava.
www.skyeurope.com
En y incluant les ventes en btob et les allotements, Petra Déchaux note que 15 à 20% de l’activité de la compagnie en France passe aujourd’hui par les TO et agences de voyages : «La vente par GDS permettra une hausse des ventes par l’intermédiaire de ces dernières, mais cette hausse restera limitée».
SkyEurope est aujourd’hui très bien implantée dans l’hexagone. «Le marché français se porte bien, se félicite Petra Déchaux. Sur l’année 2006, nos chiffres sont très satisfaisants. Prague et Budapest sont nos deux dessertes les plus populaires. Et nous fondons de grands espoirs sur Vienne».
SkyEurope, outre les dessertes de sa nouvelle base de Vienne (un quotidien depuis Paris et trois vols par semaine depuis Nice), opèrera ce printemps depuis Orly dix vols hebdomadaires sur Prague et Budapest, six sur Cracovie et Varsovie, douze sur Bratislava.
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