Selon la Fevad en 2019, le e-tourisme a représenté 46% de part de marché dans le tourisme
Bien souvent, les professionnels du tourisme se gargarisent en disant qu'ils sont "résilients", mais ce sont surtout des personnes avec une force de caractère très importante.
Il faut dire qu'affronter perpétuellement des crises qu'elles soient climatiques ou économiques, mais aussi sanitaires cela pourrait en décourager plus d'un, mais pas les agents de voyages.
Et pourtant depuis, l'avènement d'internet au début des années 2000, leur commerce a été grandement rongé par les acteurs digitaux, regroupés sous la bannière "e-tourisme".
D'après les derniers chiffres de la Fevad, si l'e-commerce se porte très bien (103,4 milliards d'euros, en hausse de 11,6%), il a trouvé dans le tourisme l'un de ses terrains de jeu favori.
En effet, en 2019 les ventes en ligne ont représenté 46% du commerce total du tourisme, pour un chiffre d'affaires évalué à près de 21 milliards d'euros.
Selon la Fédération du e-commerce et de la vente à distance, le taux de pénétration du e-commerce dans notre secteur serait le plus important de tous.
Il faut dire qu'affronter perpétuellement des crises qu'elles soient climatiques ou économiques, mais aussi sanitaires cela pourrait en décourager plus d'un, mais pas les agents de voyages.
Et pourtant depuis, l'avènement d'internet au début des années 2000, leur commerce a été grandement rongé par les acteurs digitaux, regroupés sous la bannière "e-tourisme".
D'après les derniers chiffres de la Fevad, si l'e-commerce se porte très bien (103,4 milliards d'euros, en hausse de 11,6%), il a trouvé dans le tourisme l'un de ses terrains de jeu favori.
En effet, en 2019 les ventes en ligne ont représenté 46% du commerce total du tourisme, pour un chiffre d'affaires évalué à près de 21 milliards d'euros.
Selon la Fédération du e-commerce et de la vente à distance, le taux de pénétration du e-commerce dans notre secteur serait le plus important de tous.
2020 pourrait-elle être l'année de bascule vers le verre à moitié vide ?
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Il suffit de regarder les dernières publications de la Fevad pour comprendre que la marche en avant ne devrait pas s'arrêter en si bon chemin, même si la progression n'est pas non plus exponentielle.
Ainsi, en 2019 les ventes en ligne représentaient 44% de part de marché du secteur, pour un chiffre d'affaires de 19,8 milliards d'euros.
Il y a maintenant 4 ans, la part de marché des acteurs en ligne atteignait alors 43% (CA de 18,7 milliards). Certes hausse, il y a mais les agences physiques font toujours de la résistance.
Sauf que ce constat était valable dans l'Ancien Monde.
Avec la crise sanitaire que nous avons récemment connue, les Français ont dû par nécessité favoriser les achats en ligne, les commerces étant pendant de nombreuses semaines fermés.
Pire, privées de produits à mettre dans leurs étagères, les agences de voyages sont encore mi-juillet que partiellement ouvertes.
Si le secteur du tourisme devrait connaître comme de nombreux secteurs économiques une année 2020 marquée par une récession économique, l'e-tourisme pourrait alors dépasser pour la première fois de son histoire les ventes des commerces physiques.
Le monde d'après n'est pas nécessairement différent, il n'a fait qu'accélérer les tendances existantes...
Ainsi, en 2019 les ventes en ligne représentaient 44% de part de marché du secteur, pour un chiffre d'affaires de 19,8 milliards d'euros.
Il y a maintenant 4 ans, la part de marché des acteurs en ligne atteignait alors 43% (CA de 18,7 milliards). Certes hausse, il y a mais les agences physiques font toujours de la résistance.
Sauf que ce constat était valable dans l'Ancien Monde.
Avec la crise sanitaire que nous avons récemment connue, les Français ont dû par nécessité favoriser les achats en ligne, les commerces étant pendant de nombreuses semaines fermés.
Pire, privées de produits à mettre dans leurs étagères, les agences de voyages sont encore mi-juillet que partiellement ouvertes.
Si le secteur du tourisme devrait connaître comme de nombreux secteurs économiques une année 2020 marquée par une récession économique, l'e-tourisme pourrait alors dépasser pour la première fois de son histoire les ventes des commerces physiques.
Le monde d'après n'est pas nécessairement différent, il n'a fait qu'accélérer les tendances existantes...