Ambiance western garantie dès l'arrivée dans l'avion.
Selon les dernières informations, le passager de 44 ans, vraisemblablement déséquilibré, qui se trouvait à bord du vol AA 924, a été abattu lors du débarquement à Miami de quatre ou cinq balles par un "Air Marshal", ces hommes armés qui voyagent désormais à bord des appareils des compagnies américaines depuis les attentats du 11 septembre.
Selon les medias US, le passager aurait prétendu porter une bombe alors qu'il descendait de l'avion. Alors là, de deux choses l’une soit l’homme était distrait, soit il s’est endormi si c’était un vrai terroriste
Je m’explique. Un Bogota – Miami, ça doit faire tourner autour des 4, 5 heures de vol. Et si un type rentre avec une bombe dans un avion, c’est pour le faire sauter. Sinon il aurait pris le bateau. Et c’est à la descente de l’appareil qu’il fait son annonce.
Comme écrit plus haut, soit il a oublié qu’il avait une bombe, soit il pique un petit roupillon avant le grand soir, soit il attend d’être sur le sol américain pour la faire péter.
Ne pas bouger une oreille
Le « Airmarshall » qui l’a dégommé tel un Wyatt Earp, aurait pu y penser avant de tirer . Certes, vous me direz qu’il avait pas trop le temps vue la situation et que c’était une question de secondes.
De quoi donner des sueurs froides rétrospectives à ce jeune français qui avait un peu trop forcé sur l’ironie en réponse aux questions inquisitrices des hôtesses. Et pour avoir dit, en rigolant, « vous croyez peut être que j’ai une bombe », le malheureux s’est retrouvé derrière les barreaux.
A ce rythme là, il va bientôt falloir prévenir les clients que, une fois dans l’avion, faut plus bouger une oreille. Attention danger, faut pas déconner.
Surveiller son langage en plus. Plus question d’aller « se la péter » à Los Angeles ou
« d’exploser » le compteur à Las Vegas…c’est suspect.
Ne plus rien dire jusqu’à l’arrivée, remplir la petite carte verte en expliquant que vous n’êtes pas un criminel de guerre, un ex nazi recherché, que vous ne venez pas aux USA pour vous livrer à des activités illicites, que vous n’êtes pas recherché par Interpol…
Avec un peu de chance, à l’arrivée, toute la famille devrait pourvoir passer sans déplorer de pertes.
Selon les medias US, le passager aurait prétendu porter une bombe alors qu'il descendait de l'avion. Alors là, de deux choses l’une soit l’homme était distrait, soit il s’est endormi si c’était un vrai terroriste
Je m’explique. Un Bogota – Miami, ça doit faire tourner autour des 4, 5 heures de vol. Et si un type rentre avec une bombe dans un avion, c’est pour le faire sauter. Sinon il aurait pris le bateau. Et c’est à la descente de l’appareil qu’il fait son annonce.
Comme écrit plus haut, soit il a oublié qu’il avait une bombe, soit il pique un petit roupillon avant le grand soir, soit il attend d’être sur le sol américain pour la faire péter.
Ne pas bouger une oreille
Le « Airmarshall » qui l’a dégommé tel un Wyatt Earp, aurait pu y penser avant de tirer . Certes, vous me direz qu’il avait pas trop le temps vue la situation et que c’était une question de secondes.
De quoi donner des sueurs froides rétrospectives à ce jeune français qui avait un peu trop forcé sur l’ironie en réponse aux questions inquisitrices des hôtesses. Et pour avoir dit, en rigolant, « vous croyez peut être que j’ai une bombe », le malheureux s’est retrouvé derrière les barreaux.
A ce rythme là, il va bientôt falloir prévenir les clients que, une fois dans l’avion, faut plus bouger une oreille. Attention danger, faut pas déconner.
Surveiller son langage en plus. Plus question d’aller « se la péter » à Los Angeles ou
« d’exploser » le compteur à Las Vegas…c’est suspect.
Ne plus rien dire jusqu’à l’arrivée, remplir la petite carte verte en expliquant que vous n’êtes pas un criminel de guerre, un ex nazi recherché, que vous ne venez pas aux USA pour vous livrer à des activités illicites, que vous n’êtes pas recherché par Interpol…
Avec un peu de chance, à l’arrivée, toute la famille devrait pourvoir passer sans déplorer de pertes.