Après avoir favorisé un système de distribution plus proche de celui des low cost au moment de son lancement en 2005, Vueling rentre dans le rang des compagnies classiques. Et en Espagne, cette décision a permis sur le premier mois d’intégration à la base de données tarifaires d’Amadeus, de réaliser 8% des ventes.
C’est donc le même mouvement qu’espère répéter en France Linda Moreira, la country manager de la compagnie. Même si la revente par les agences sur le site web de la compagnie qui permet un lien vers le BSP, va perdurer parallèlement.
L’entrée au BSP et l’intégration à l’offre tarifaire d’Amadeus a permis de signer des partenariats avec les réseaux CWT, l’Alliance, Tourcom, etc.
Mais que reste-t-il à vendre en France alors que la compagnie qui vient de rendre aux leasers 8 avions sur une flotte de 24 est en train de réduire sérieusement la voilure ? « Nous adaptons l’offre à la demande », indique Juan Carlos Iglesias, le directeur commercial.
C’est donc le même mouvement qu’espère répéter en France Linda Moreira, la country manager de la compagnie. Même si la revente par les agences sur le site web de la compagnie qui permet un lien vers le BSP, va perdurer parallèlement.
L’entrée au BSP et l’intégration à l’offre tarifaire d’Amadeus a permis de signer des partenariats avec les réseaux CWT, l’Alliance, Tourcom, etc.
Mais que reste-t-il à vendre en France alors que la compagnie qui vient de rendre aux leasers 8 avions sur une flotte de 24 est en train de réduire sérieusement la voilure ? « Nous adaptons l’offre à la demande », indique Juan Carlos Iglesias, le directeur commercial.
Vueling : perte de 30 millions d’euros au premier semestre
J C Iglesias et Linda Moreira, Vueling, entourant J-L Richard, Amadeus
Sur l’axe franco-espagnol, la ligne de Séville est arrêtée mais il reste 5 quotidiens sur Barcelone, mais aussi des liaisons sur Madrid (2 quotidiens), Saint Jacques de Compostelle (4 vols hebdos), Alicante (4 vols hebdos), Ibiza (7 vols hebdos), Malaga (4 vols hebdos) mais aussi les lignes italiennes qui pourraient bien s’avérer fort utiles dans le cadre du scénario catastrophe d’Alitalia, avec Rome (2 quotidiens), et Venise (Un vol quotidien). Vueling opère également un quotidien sur Barcelone au départ de Nice.
Reste que l’avenir de la compagnie est lié à la réalisation du projet de fusion entre Clickair, la filiale low cost d’Iberia et Vueling. Un projet qui crérait une nouvelle entité indépendante d’Iberia même si la compagnie espagnole resterait au tour de table.
Aucun calendrier n’est avancé pour la réalisation de ce projet. Mais, précise, Juan Carlos Iglesias, « en attendant, nous continuons à mettre en place le plan stratégique que nous avons défini de façon totalement indépendante ».
Vueling qui a enregistré une perte de 30 millions d’euros au premier semestre, se réjouit alors que le prix du baril est repassé sous la barre des 100 dollars, de ne pas avoir de couverture pétrole comme nombre de transporteurs qui se sont assurés avec un baril à 120 dollars et plus.
Les résultats du second semestre devraient faire apparaître un meilleur revenu par passager. Pour autant, les dirigeants de Vueling sont loin de crier victoire. « L’hiver sera une période de crise pour l’aérien », reconnaît Juan Carlos Iglesias.
Reste que l’avenir de la compagnie est lié à la réalisation du projet de fusion entre Clickair, la filiale low cost d’Iberia et Vueling. Un projet qui crérait une nouvelle entité indépendante d’Iberia même si la compagnie espagnole resterait au tour de table.
Aucun calendrier n’est avancé pour la réalisation de ce projet. Mais, précise, Juan Carlos Iglesias, « en attendant, nous continuons à mettre en place le plan stratégique que nous avons défini de façon totalement indépendante ».
Vueling qui a enregistré une perte de 30 millions d’euros au premier semestre, se réjouit alors que le prix du baril est repassé sous la barre des 100 dollars, de ne pas avoir de couverture pétrole comme nombre de transporteurs qui se sont assurés avec un baril à 120 dollars et plus.
Les résultats du second semestre devraient faire apparaître un meilleur revenu par passager. Pour autant, les dirigeants de Vueling sont loin de crier victoire. « L’hiver sera une période de crise pour l’aérien », reconnaît Juan Carlos Iglesias.