La neige n’a pas encore totalement fondu sur les hautes cimes qu’il est déjà temps de tirer un bilan, très positif, de la saison hivernale.
En Savoie, le taux d’occupation moyen est évalué à 68 % sur l’ensemble des périodes. Dans les Vosges, la fréquentation est en hausse de 4 à 5%.
Dans les Pyrénées, l’année peut être qualifiée d’exceptionnelle, avec un taux de remplissage supérieur à 95% pendant les vacances scolaires. Quant au Massif Central, il affiche un taux de remplissage global de 80%.
En Savoie, le taux d’occupation moyen est évalué à 68 % sur l’ensemble des périodes. Dans les Vosges, la fréquentation est en hausse de 4 à 5%.
Dans les Pyrénées, l’année peut être qualifiée d’exceptionnelle, avec un taux de remplissage supérieur à 95% pendant les vacances scolaires. Quant au Massif Central, il affiche un taux de remplissage global de 80%.
Du ski mais pas seulement
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Pourtant, certaines stations, notamment celles en basse altitude, ont ouvert un peu plus tard que l’année dernière, suite aux mauvaises conditions météo.
Mais cela n’a pas eu d’impact réel sur le CA. En effet, même si le ski reste roi, les voyageurs se tournent de plus en plus vers de nouvelles activités.
«Les clients font du ski le matin et de la randonnée en raquette l’après-midi » détaille Philippe Poirot, responsable de l’OT de La Bresse, dans les Vosges.
Patinoire, piscine, thermalisme, promenade en chiens de traîneaux, chaque station propose désormais tout un panel d’occupation.
La qualité de l’hôtellerie a également beaucoup augmenté, incluant désormais des installations spa, très demandées.
« Nos établissements ce sont mis au niveaux de ceux de la Côte d’Azur toute proche. Nous n’avons plus à rougir de la comparaison » assure Sophie Brugerolles, du comité tourisme de la région.
Mais cela n’a pas eu d’impact réel sur le CA. En effet, même si le ski reste roi, les voyageurs se tournent de plus en plus vers de nouvelles activités.
«Les clients font du ski le matin et de la randonnée en raquette l’après-midi » détaille Philippe Poirot, responsable de l’OT de La Bresse, dans les Vosges.
Patinoire, piscine, thermalisme, promenade en chiens de traîneaux, chaque station propose désormais tout un panel d’occupation.
La qualité de l’hôtellerie a également beaucoup augmenté, incluant désormais des installations spa, très demandées.
« Nos établissements ce sont mis au niveaux de ceux de la Côte d’Azur toute proche. Nous n’avons plus à rougir de la comparaison » assure Sophie Brugerolles, du comité tourisme de la région.
La bonne santé des stations de moyenne montagne
Si la crise n’a pas eu d’impact sur les Alpes, elle aura cependant drainé une nouvelle clientèle vers les stations de moyenne montagne.
Elles attirent grâce à leurs petits prix, leurs villages à taille humaine et leur qualité de service. « Depuis deux saisons, nous accueillons une forte clientèle en provenance d’île de France » déclare Philippe Poirot.
« Les gens sont allés moins loin et moins cher » affirme Luc Stelly, le directeur de l’office du tourisme du massif de Sancy (Auvergne). En effet, près de 40% de sa clientèle fait moins d’1h30 de route pour se rendre sur ses pistes.
Aujourd’hui, le nouveau défi pour ces stations sera de faire d’aussi bons chiffres pour la saison estivale.
Elles attirent grâce à leurs petits prix, leurs villages à taille humaine et leur qualité de service. « Depuis deux saisons, nous accueillons une forte clientèle en provenance d’île de France » déclare Philippe Poirot.
« Les gens sont allés moins loin et moins cher » affirme Luc Stelly, le directeur de l’office du tourisme du massif de Sancy (Auvergne). En effet, près de 40% de sa clientèle fait moins d’1h30 de route pour se rendre sur ses pistes.
Aujourd’hui, le nouveau défi pour ces stations sera de faire d’aussi bons chiffres pour la saison estivale.
