Avec son design moderne, ses sièges confortables et son espace de travail, le nouvel espace business d’Orly va également accueillir des startups toutes les deux semaines pour promouvoir l’innovation française. © Jean-Pierre Gaborit
Tout orange et blanc, design et connecté, le nouvel espace business du terminal Ouest vient d’ouvrir dans le Hall 2 d’Orly.
Le 10 février 2015, cette zone de travail et ses 32 sièges était inaugurée.
Mais Augustin de Romanet, PDG d’Aéroports de Paris compte également modifier les fauteuils du reste du hall pour leur ajouter des prises électriques, afin que les passagers puissent recharger leurs mobiles ou leurs appareils.
L’objectif est de diriger les efforts vers le client car, environ 60% des passagers qui transitent sur les axes de Nice, Toulouse ou Bordeaux sont des voyageurs d’affaires.
« Nous voulions une relation plus directe avec nos passagers et permettre la rencontre », explique Charles Telitsine, directeur du terminal Ouest.
« Nous avons également boosté le wifi. L’application My Airport, via l’espace digital réservé aux clients business, permet par exemple de me contacter directement pour se plaindre : je reçois un e-mail sur mon portable ! »
Le 10 février 2015, cette zone de travail et ses 32 sièges était inaugurée.
Mais Augustin de Romanet, PDG d’Aéroports de Paris compte également modifier les fauteuils du reste du hall pour leur ajouter des prises électriques, afin que les passagers puissent recharger leurs mobiles ou leurs appareils.
L’objectif est de diriger les efforts vers le client car, environ 60% des passagers qui transitent sur les axes de Nice, Toulouse ou Bordeaux sont des voyageurs d’affaires.
« Nous voulions une relation plus directe avec nos passagers et permettre la rencontre », explique Charles Telitsine, directeur du terminal Ouest.
« Nous avons également boosté le wifi. L’application My Airport, via l’espace digital réservé aux clients business, permet par exemple de me contacter directement pour se plaindre : je reçois un e-mail sur mon portable ! »
Start-up à l’honneur
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Mais ce sont les startups, surtout, qui sont mises à l’honneur dans l’espace business d’Orly Ouest.
Toutes les deux semaines, une d'entre elles aura une journée entière pour pitcher, présenter son produit et le proposer aux 9 000 passagers qui transitent dans le hall.
Imaginé par Denis Jacquet, le président de Parrainer la croissance, un accélérateur de croissance pour les entreprises, le concept ravit les responsables de l’aéroport mais surtout les startups qui se bousculent déjà pour obtenir une des places tant convoitées.
Yoram Moyal, le fondateur de Buzcard, une carte de visite « à vie », s’extasie : « Si même les aéroports se mettent à promouvoir les startups, c’est la preuve qu’on a changé de dimension ! Plus que de fonds, c’est de visibilité dont les startups ont besoin.
Il y aura deux créneaux horaires clés : le matin, entre 6 et 8 heures, et en fin de soirée, durant les heures de pointe. »
Toutes les deux semaines, une d'entre elles aura une journée entière pour pitcher, présenter son produit et le proposer aux 9 000 passagers qui transitent dans le hall.
Imaginé par Denis Jacquet, le président de Parrainer la croissance, un accélérateur de croissance pour les entreprises, le concept ravit les responsables de l’aéroport mais surtout les startups qui se bousculent déjà pour obtenir une des places tant convoitées.
Yoram Moyal, le fondateur de Buzcard, une carte de visite « à vie », s’extasie : « Si même les aéroports se mettent à promouvoir les startups, c’est la preuve qu’on a changé de dimension ! Plus que de fonds, c’est de visibilité dont les startups ont besoin.
Il y aura deux créneaux horaires clés : le matin, entre 6 et 8 heures, et en fin de soirée, durant les heures de pointe. »
Promouvoir la French Tech
« Il n’est pas difficile d’imaginer l’impact que cela peut avoir en terme d’image », ajoute Yoram Moyal.
« Tant pour ADP qui devient un sigle porteur d’innovation, que pour les startups qui se font connaître plus massivement par un public varié. »
Buzcard sera la première start-up à pitcher mardi son concept en vogue de « badge à la française ».
« Cet espace, c’est l’occasion de faire des rencontres, de partager, mais surtout de construire et entrer en contact avec des réseaux : la clé de la réussite entrepreneuriale.
Il va falloir beaucoup réfléchir autour de la manière de faire passer le message et présenter au mieux ces innovations : vidéos, liens internet… , explique Denis Jacquet.
« Tant pour ADP qui devient un sigle porteur d’innovation, que pour les startups qui se font connaître plus massivement par un public varié. »
Buzcard sera la première start-up à pitcher mardi son concept en vogue de « badge à la française ».
« Cet espace, c’est l’occasion de faire des rencontres, de partager, mais surtout de construire et entrer en contact avec des réseaux : la clé de la réussite entrepreneuriale.
Il va falloir beaucoup réfléchir autour de la manière de faire passer le message et présenter au mieux ces innovations : vidéos, liens internet… , explique Denis Jacquet.
Mobi One, « la boîte magique » pour smartphone
Cécile Morel, présidente de Mobi Rider, nous a présenté « la boîte magique », une innovation design qui pourrait bien trouver une place essentielle dans le secteur du tourisme.
Ce produit sera disposé en test pendant quatre mois dans le hall 2.
i-tourisme : Qu’est-ce que « la boîte magique » ?
Cécile Morel : "Créer, aujourd’hui, c’est proposer une expérience mémorable.
Nous avons donc imaginé un objet connecté, design, qui fasse le lien entre le mobile et le lieu physique. C’est un moyen simple pour le passager ou le client d’obtenir des informations qu’il est fastidieux de récupérer autrement.
Il lui suffit de mettre son smartphone dans la « boîte magique », fermer le couvercle, attendre et il reçoit le message programmé par l’entreprise."
i-tourisme : Quel genre de message ?
CM : "Cela peut être, comme aujourd’hui à Orly, un lien vers l’application My Airport. Les agences pourraient proposer des promotions…
Mais pourquoi ne pas imaginer dans les hôtels des boîtes qui envoient les codes wifi !"
i-tourisme : Comment cela fonctionne pour les entreprises ?
CM : "Le message envoyé est défini grâce à un backoffice : le client peut paramétrer ce que chaque boîte envoie.
Il peut aussi suivre les statistiques de consultation, d’envoi et de clics.
Nous proposons également une fonction aléatoire pour faire tourner différents messages : humour, promotion, information…
Un peu sur le principe des fortunes cookies !"
Ce produit sera disposé en test pendant quatre mois dans le hall 2.
i-tourisme : Qu’est-ce que « la boîte magique » ?
Cécile Morel : "Créer, aujourd’hui, c’est proposer une expérience mémorable.
Nous avons donc imaginé un objet connecté, design, qui fasse le lien entre le mobile et le lieu physique. C’est un moyen simple pour le passager ou le client d’obtenir des informations qu’il est fastidieux de récupérer autrement.
Il lui suffit de mettre son smartphone dans la « boîte magique », fermer le couvercle, attendre et il reçoit le message programmé par l’entreprise."
i-tourisme : Quel genre de message ?
CM : "Cela peut être, comme aujourd’hui à Orly, un lien vers l’application My Airport. Les agences pourraient proposer des promotions…
Mais pourquoi ne pas imaginer dans les hôtels des boîtes qui envoient les codes wifi !"
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CM : "Le message envoyé est défini grâce à un backoffice : le client peut paramétrer ce que chaque boîte envoie.
Il peut aussi suivre les statistiques de consultation, d’envoi et de clics.
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Un peu sur le principe des fortunes cookies !"
