Règlement de compte à l’assemblée des restaurateurs cannois avec le président Noël Di Giovanni, élu il y a six mois, qui a été démis de ses fonctions après un vote de défiance improvisé.
L'Union patronale des restaurateurs limonadiers de Cannes n’avait jamais connu pareil évènement. Parmi les points litigieux le principe visant à se fixer à six ans contre trois le mandat du conseil d'administration.
Puis une mise en cause par le président de l’adjoint David Lisnard au sujet de la largeur des terrasses avec plafonnement à 2,20 mou conventions de gré à gré avec chaque établissement.
Enfin des dissensions sont apparues après la proposition faite par l’Union d'une extension du Palais des festivals à La Bocca et à propos de déclaration du président de Reed Midem.
Les dissensions sont aussi survenues à l’assemblée jusqu’au vote de défiance envers le président. Noël Di Giovanni qui réfute la légalité du vote et entend bien contre attaquer. Dans l’attente Roland Ariza, vice-président de l'UPRL, en prend provisoirement la présidence… affaire à suivre
L'Union patronale des restaurateurs limonadiers de Cannes n’avait jamais connu pareil évènement. Parmi les points litigieux le principe visant à se fixer à six ans contre trois le mandat du conseil d'administration.
Puis une mise en cause par le président de l’adjoint David Lisnard au sujet de la largeur des terrasses avec plafonnement à 2,20 mou conventions de gré à gré avec chaque établissement.
Enfin des dissensions sont apparues après la proposition faite par l’Union d'une extension du Palais des festivals à La Bocca et à propos de déclaration du président de Reed Midem.
Les dissensions sont aussi survenues à l’assemblée jusqu’au vote de défiance envers le président. Noël Di Giovanni qui réfute la légalité du vote et entend bien contre attaquer. Dans l’attente Roland Ariza, vice-président de l'UPRL, en prend provisoirement la présidence… affaire à suivre
Restauration en berne pour la restauration cannoise
Si les palaces de la Croisette affichent de bon taux d’occupation, grâce aux Russes et aux Emirs, les restaurants cannois plus populaires sont eux victimes d’une clientèle française (mais aussi européenne) dont le pouvoir d’achat se réduit drastiquement. Selon l'Union patronale des restaurateurs et limonadiers (UPRL) de Cannes la saison estivale a été marquée par un recul sévère de 30 % de la fréquentation sur les 500 établissements du syndicat. Une baisse qui affecte l’emploi et les investissements. Des fermetures sont envisagées.