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Une nouvelle low cost verra le jour en octobre prochain. Ce transporteur, dont le nom n’a pas encore été dévoilé, démarrera son activité avec cinq appareils. Basé à Barcelone, il aura pour actionnaire Iberia.
Cette dernière sera très probablement confrontée à la concurrence du nouvel entrant sur toutes les lignes où elles voleront toutes deux, comme peut l’être Lufthansa avec Germanwings en Allemagne. Si l’on s’en tient aux compagnies régulières, le ciel est autrement plus encombré du côté espagnol que français.
Iberia se bat contre deux compagnies locales importantes. Si Spanair, filiale de la scandinave SAS, basée à Palma de Majorque ne dessert pas la France, Air Europa est par contre très présente dans l’Hexagone : la filiale du groupe touristique Globalia (Halcon, Travelplan) relie Paris (Orly ou CDG) à Madrid, Barcelone, Valence, Séville, Malaga ou Majorque.
Le ciel est autrement plus encombré du côté espagnol
Entre la France et l’Espagne par exemple, Iberia et Air Europa sont confrontées à la concurrence des low costs. La catalane Vueling assure des vols entre Paris-CDG et Madrid, Barcelone et Valence. Air Madrid, filiale du groupe touristique Optursa Management Ltd (chaînes hôtelières Hotusa, Celuisma et Catalonia, distributeur Eroski), vole également entre les capitales espagnole et française (CDG).
Les low costs étrangères ne sont pas en reste. Ryanair relie Paris/Beauvais à Gironne (Barcelone), Easyjet assure les dessertes Orly/Madrid et Orly/Barcelone. Ainsi, si l’on inclut la compagnie en création qui devait s’attaquer en frontale aux low costs sur les lignes les plus concurrentielles, on devrait compter d’ici quelques mois jusqu’à six transporteurs entre Paris et Barcelone (Beauvais et Gironne inclus).
Les touristes, eux, sont déjà nombreux à constater que les prix sont parfois imbattables. Avec souvent en prime un bon service.
Cette dernière sera très probablement confrontée à la concurrence du nouvel entrant sur toutes les lignes où elles voleront toutes deux, comme peut l’être Lufthansa avec Germanwings en Allemagne. Si l’on s’en tient aux compagnies régulières, le ciel est autrement plus encombré du côté espagnol que français.
Iberia se bat contre deux compagnies locales importantes. Si Spanair, filiale de la scandinave SAS, basée à Palma de Majorque ne dessert pas la France, Air Europa est par contre très présente dans l’Hexagone : la filiale du groupe touristique Globalia (Halcon, Travelplan) relie Paris (Orly ou CDG) à Madrid, Barcelone, Valence, Séville, Malaga ou Majorque.
Le ciel est autrement plus encombré du côté espagnol
Entre la France et l’Espagne par exemple, Iberia et Air Europa sont confrontées à la concurrence des low costs. La catalane Vueling assure des vols entre Paris-CDG et Madrid, Barcelone et Valence. Air Madrid, filiale du groupe touristique Optursa Management Ltd (chaînes hôtelières Hotusa, Celuisma et Catalonia, distributeur Eroski), vole également entre les capitales espagnole et française (CDG).
Les low costs étrangères ne sont pas en reste. Ryanair relie Paris/Beauvais à Gironne (Barcelone), Easyjet assure les dessertes Orly/Madrid et Orly/Barcelone. Ainsi, si l’on inclut la compagnie en création qui devait s’attaquer en frontale aux low costs sur les lignes les plus concurrentielles, on devrait compter d’ici quelques mois jusqu’à six transporteurs entre Paris et Barcelone (Beauvais et Gironne inclus).
Les touristes, eux, sont déjà nombreux à constater que les prix sont parfois imbattables. Avec souvent en prime un bon service.
