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Air France (AF) affiche de très bons résultats au premier trimestre (avril-juin) de son exercice 2006-2007. Pierre Henri Gourgeon, son directeur général exécutif, insiste notamment sur la «performance exceptionnelle» de l’activité passagers.
AF bénéfice d’un environnement favorable. Comme l’a également indiqué IATA hier, les compagnies aériennes ont profité d’une croissance économique mondiale plus forte que prévue.
Leurs efforts de restructuration ont aussi permis aux coefficients d'occupation d'atteindre des niveaux records. La compagnie française affiche sur ce point un coefficient de remplissage en hausse de 2 points à 81,5% ; son trafic a progressé de 7,7% pour une hausse de 5% des capacités.
Amérique du Sud et Asie en forte croissance
Le gros point noir des compagnies aériennes reste la forte hausse du kérosène. Si AF note un bond de 24,8% de sa facture pétrolière, elle se félicite de sa politique de couverture «assez efficace», ainsi que de l’accélération de la modernisation de sa flotte.
Sur ce premier trimestre, AF note de fortes progressions de sa recette sur l’Amérique du Sud, et un maintien de celle-ci sur l’Asie malgré une forte hausse de ses capacités. Sur le long-courrier, sa croissance est tirée par la classe avant, ceci même si la classe économique progresse également fortement.
Autre élément de satisfaction pour la compagnie nationale, la forte hausse du trafic en correspondance sur Roissy-CDG. Le transporteur hexagonal insiste aussi sur son ratio dettes nettes/fonds propres ramené à 0,45, un résultat meilleur que ceux de ses concurrents BA et Lufthansa. AF et ses filiales opère aujourd’hui une flotte de 400 avions, KLM et ses filiales 182 appareils.
www.airfrance.fr
AF bénéfice d’un environnement favorable. Comme l’a également indiqué IATA hier, les compagnies aériennes ont profité d’une croissance économique mondiale plus forte que prévue.
Leurs efforts de restructuration ont aussi permis aux coefficients d'occupation d'atteindre des niveaux records. La compagnie française affiche sur ce point un coefficient de remplissage en hausse de 2 points à 81,5% ; son trafic a progressé de 7,7% pour une hausse de 5% des capacités.
Amérique du Sud et Asie en forte croissance
Le gros point noir des compagnies aériennes reste la forte hausse du kérosène. Si AF note un bond de 24,8% de sa facture pétrolière, elle se félicite de sa politique de couverture «assez efficace», ainsi que de l’accélération de la modernisation de sa flotte.
Sur ce premier trimestre, AF note de fortes progressions de sa recette sur l’Amérique du Sud, et un maintien de celle-ci sur l’Asie malgré une forte hausse de ses capacités. Sur le long-courrier, sa croissance est tirée par la classe avant, ceci même si la classe économique progresse également fortement.
Autre élément de satisfaction pour la compagnie nationale, la forte hausse du trafic en correspondance sur Roissy-CDG. Le transporteur hexagonal insiste aussi sur son ratio dettes nettes/fonds propres ramené à 0,45, un résultat meilleur que ceux de ses concurrents BA et Lufthansa. AF et ses filiales opère aujourd’hui une flotte de 400 avions, KLM et ses filiales 182 appareils.
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