Four Seasons ouvre fin septembre, à Shenzhen, un nouvel hôtel de 266 chambres et 35 suites, avec bar, lounge, business center, piscine intérieure et extérieure, fitness. En 2014, un spa viendra compléter l'offre - DR/Four Seasons
Four Seasons va ouvrir à la fin du mois à Shenzhen son 8e établissement chinois.
Et 10 autres établissements sont encore dans les tuyaux et ouvriront progressivement d'ici 2018 aux quatre coins du pays.
Le nouvel hôtel comprendra notamment 266 chambres et 35 suites, restaurants, bar, lounge, business center , piscine intérieure et extérieure, fitness. En 2014, un spa viendra compléter l'offre.
Les opportunités de réussite dans l'ancien Empire du milieu font aujourd'hui rêver, comme le firent en leur temps celles de l'Amérique. Les hôteliers n'y échappent pas.
Pour eux, le dynamisme du marché international est une aubaine, sans parler de la population locale qui s'enrichit à grand pas.
Avec plus de 10% de nouveaux millionnaires chaque année, la Chine est une terre de conquête pour les chaînes de luxe.
Pourtant Four Seasons ne s'est pas immédiatement lancé dans la course. Il a ouvert ses deux premiers établissements à Hong Kong en 2002 et Shanghai en 2005.
Et 10 autres établissements sont encore dans les tuyaux et ouvriront progressivement d'ici 2018 aux quatre coins du pays.
Le nouvel hôtel comprendra notamment 266 chambres et 35 suites, restaurants, bar, lounge, business center , piscine intérieure et extérieure, fitness. En 2014, un spa viendra compléter l'offre.
Les opportunités de réussite dans l'ancien Empire du milieu font aujourd'hui rêver, comme le firent en leur temps celles de l'Amérique. Les hôteliers n'y échappent pas.
Pour eux, le dynamisme du marché international est une aubaine, sans parler de la population locale qui s'enrichit à grand pas.
Avec plus de 10% de nouveaux millionnaires chaque année, la Chine est une terre de conquête pour les chaînes de luxe.
Pourtant Four Seasons ne s'est pas immédiatement lancé dans la course. Il a ouvert ses deux premiers établissements à Hong Kong en 2002 et Shanghai en 2005.
Un retard qui s'est transformé en avantage
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Puis, plus rien jusqu'en 2008 où il ouvre... Macao.
Beijing ne verra pas de Four Seasons avant 2010 ! Aujourd'hui, l'enseigne est également présente à Guangzhou, Hangzhou et Pudong.
Ce retard s'est transformé "en avantage", selon les représentants du groupe.
"Quand on investit en Chine, si on a le bon partenaire propriétaire des murs et le bon endroit, alors la réussite est là", souligne Bahram Sepahi, vice président régional directeur général de l'hôtel de Guangzhou.
Et en partie grâce à ce retard que Four Seasons a pu réunir les deux critères nécessaires.
"L'hôtellerie demandes des investisseurs sur le long terme, qui vont réinvestir dans leurs établissements. Pas des personnes qui veulent des bénéfices rapides pour ensuite aller les placer ailleurs.
C'était souvent le cas des premiers propriétaires et aujourd'hui beaucoup de compagnies hôtelières déchantent.
D'autant qu'il était difficile il y a 10 ans de pronostiquer quelles villes allaient monter. Ils se sont positionnés sur des sites qui n'ont pas toujours tenu leurs promesses, contrairement à nous", poursuit-il.
Et d' insister sur l'importance de se concentrer sur les besoins du segment domestique.
Beijing ne verra pas de Four Seasons avant 2010 ! Aujourd'hui, l'enseigne est également présente à Guangzhou, Hangzhou et Pudong.
Ce retard s'est transformé "en avantage", selon les représentants du groupe.
"Quand on investit en Chine, si on a le bon partenaire propriétaire des murs et le bon endroit, alors la réussite est là", souligne Bahram Sepahi, vice président régional directeur général de l'hôtel de Guangzhou.
Et en partie grâce à ce retard que Four Seasons a pu réunir les deux critères nécessaires.
"L'hôtellerie demandes des investisseurs sur le long terme, qui vont réinvestir dans leurs établissements. Pas des personnes qui veulent des bénéfices rapides pour ensuite aller les placer ailleurs.
C'était souvent le cas des premiers propriétaires et aujourd'hui beaucoup de compagnies hôtelières déchantent.
D'autant qu'il était difficile il y a 10 ans de pronostiquer quelles villes allaient monter. Ils se sont positionnés sur des sites qui n'ont pas toujours tenu leurs promesses, contrairement à nous", poursuit-il.
Et d' insister sur l'importance de se concentrer sur les besoins du segment domestique.
Au cours des dix dernières années, le marché a grandement évolué.
La clientèle qui connait aujourd'hui la plus forte croissance est chinoise, tout comme les salariés du groupe, et pas uniquement des postes subalternes.
"Nous sommes leurs professeurs. Il est certain que dans 10 ans les représentants des Four Seasons chinois seront Chinois", souligne pour sa part Peter Weber, directeur général de l'hôtel de Shanghai.
Finalement la Chine du XXIe siècle, c'est pas vraiment l'Amérique !
La clientèle qui connait aujourd'hui la plus forte croissance est chinoise, tout comme les salariés du groupe, et pas uniquement des postes subalternes.
"Nous sommes leurs professeurs. Il est certain que dans 10 ans les représentants des Four Seasons chinois seront Chinois", souligne pour sa part Peter Weber, directeur général de l'hôtel de Shanghai.
Finalement la Chine du XXIe siècle, c'est pas vraiment l'Amérique !