C’est en quelque sorte son baptême dans le monde du tourisme.
Christophe Jacquet, le nouveau directeur de Havas Voyages, participait pour la première fois aux Journées des Entrepreneurs du Voyage à Madère.
Celui qui a travaillé dans l’univers du luxe (Yves Saint-Laurent, Dior) et de la mode (Ralph Lauren), avant de fonder son entreprise One 4 You (e-shopping pour les salariés et CE), découvre depuis le 2 janvier 2019, date à laquelle il a pris officiellement ses nouvelles fonctions, l’univers du tourisme.
Ce qu’il retient par rapport à ses expériences précédentes : « c’est la manière dont les uns et les autres sont connectés et proches. »
« C'est un grand changement par rapport aux secteurs dans lesquels j’étais précédemment.
Dans l’univers de la cosmétique et la mode, la compétition est rude. Et les uns ne sont pas avec les autres, mais plutôt contre les autres » poursuit-il.
Christophe Jacquet, le nouveau directeur de Havas Voyages, participait pour la première fois aux Journées des Entrepreneurs du Voyage à Madère.
Celui qui a travaillé dans l’univers du luxe (Yves Saint-Laurent, Dior) et de la mode (Ralph Lauren), avant de fonder son entreprise One 4 You (e-shopping pour les salariés et CE), découvre depuis le 2 janvier 2019, date à laquelle il a pris officiellement ses nouvelles fonctions, l’univers du tourisme.
Ce qu’il retient par rapport à ses expériences précédentes : « c’est la manière dont les uns et les autres sont connectés et proches. »
« C'est un grand changement par rapport aux secteurs dans lesquels j’étais précédemment.
Dans l’univers de la cosmétique et la mode, la compétition est rude. Et les uns ne sont pas avec les autres, mais plutôt contre les autres » poursuit-il.
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Autre constat : les faibles marges du secteur alors que les produits vendus sont à forte valeur ajoutée.
Il précise : « le marché s’est emballé avec le discount il y a quelques années. Nous avons fait croire que le marché pouvait se vendre à moins 50%, 60%.
Alors que la réalité est que nous travaillons avec des marges trois fois inférieures à ces niveaux de remise affichés.
Nous avons perverti le marché et il faut arriver à se reconstruire avec la réalité des marges que nous avons les uns et les autres. »
Retrouvez l'intégralité de l'interview en vidéo (ci-dessus).
Il précise : « le marché s’est emballé avec le discount il y a quelques années. Nous avons fait croire que le marché pouvait se vendre à moins 50%, 60%.
Alors que la réalité est que nous travaillons avec des marges trois fois inférieures à ces niveaux de remise affichés.
Nous avons perverti le marché et il faut arriver à se reconstruire avec la réalité des marges que nous avons les uns et les autres. »
Retrouvez l'intégralité de l'interview en vidéo (ci-dessus).