
Le chiffre d'affaires de FTI Voyages entre le 1er novembre 2013 et le 31 août 2014 a quasiment été multiplié par deux pour dépasser la barre des 70 millions d'euros pour 100 000 passagers - Capture d'écran
FTI Voyages a réussi son pari.
Ce tour-opérateur d'origine allemande, qui avait racheté l'alsacien Starter Voyages en 2012, est aujourd'hui largement vendu sur l'ensemble du territoire français.
"Nous sommes passé d'une échelle régionale à une échelle nationale", se félicite Thomas Giband, le directeur des ventes.
Son chiffre d'affaires entre le 1er novembre 2013 et le 31 août 2014 a quasiment été multiplié par deux pour dépasser la barre des 70 millions d'euros pour 100 000 passagers.
Dans l'Est de la France, sa région d'origine qui représente encore 60% de son activité, son CA est également en croissance de 7%.
Ce tour-opérateur d'origine allemande, qui avait racheté l'alsacien Starter Voyages en 2012, est aujourd'hui largement vendu sur l'ensemble du territoire français.
"Nous sommes passé d'une échelle régionale à une échelle nationale", se félicite Thomas Giband, le directeur des ventes.
Son chiffre d'affaires entre le 1er novembre 2013 et le 31 août 2014 a quasiment été multiplié par deux pour dépasser la barre des 70 millions d'euros pour 100 000 passagers.
Dans l'Est de la France, sa région d'origine qui représente encore 60% de son activité, son CA est également en croissance de 7%.
Un large engagement aérien sur la saison d'hiver
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L'industrie touristique française face à de nouveaux enjeux d'investissement
Pour conquérir le marché, l'entreprise a du investir, ce qui impactera son résultat qui devrait être tout juste à l'équilibre cette année.
Pas de quoi toutefois inquiéter sa maison mère, le groupe FTI basé à Munich
Il s'agit du 4e TO allemand, avec 4,1 millions de clients et 2,6 milliards € de chiffre d'affaires, pour 80 destinations dans le monde et 10 000 produits.
Un large inventaire dans lequel l'équipe française sélectionne tout ce qui pourrait plaire au marché. "Nous utilisons la force d'achat du groupe pour obtenir les meilleurs tarifs", précise Anke Hsu, la directrice France.
Mais il est difficile de présenter l'ensemble de l'offre dans l'une des deux brochures, qui recense tout de même 520 hôtels sur 57 destinations.
D'ailleurs, les agences se contentent trop souvent de vendre les produits du catalogue.
"Nous devons leur faire comprendre que notre brochure n'est qu'un échantillon d'un plus vaste inventaire. Elles doivent avoir le réflexe d'aller chercher le reste en ligne" , poursuit Thomas Giband.
Pour les aider, FTI va présenter prochainement un nouvel outil plus intuitif, permettant de choisir dans la large palette de produits et de créer du package dynamique, qui représente près de 30% des ventes.
Le TO prend également cet hiver d'importants engagements aériens : près de 35 000 sièges au départ de Bâle-Mulhouse, sa base historique, mais aussi de Lyon, Paris, Bordeaux, Nantes, Marseille et Toulouse. Il parie notamment sur les Canaries, la Tunisie, le Maroc, les Antilles ainsi que l'Egypte.
"Les demandes commencent à revenir pour cette destination historique ", assure Thomas Giband. Le vol programmé entre Bâle-Mulhouse et Hurghada a fonctionné toute la saison dernière avec un taux de remplissage des plus corrects.
A noter également l'arrivée de deux nouvelles destinations : la Barbade et le Costa Rica.
FTI tente aussi d'inciter les Français à réserver tôt grâce à un large panel de réductions cumulables : bonus enfant de 50 euros, hôtels gratuits pour les enfants, promotion de 40% en cas de réservation anticipée.
Grâce à tous ces efforts, le groupe espère devenir un leader dans le paysage touristique national. Son PDG Ralph Schiller aimerait intégrer rapidement le top 10 des tour-opérateurs français.
Pas de quoi toutefois inquiéter sa maison mère, le groupe FTI basé à Munich
Il s'agit du 4e TO allemand, avec 4,1 millions de clients et 2,6 milliards € de chiffre d'affaires, pour 80 destinations dans le monde et 10 000 produits.
Un large inventaire dans lequel l'équipe française sélectionne tout ce qui pourrait plaire au marché. "Nous utilisons la force d'achat du groupe pour obtenir les meilleurs tarifs", précise Anke Hsu, la directrice France.
Mais il est difficile de présenter l'ensemble de l'offre dans l'une des deux brochures, qui recense tout de même 520 hôtels sur 57 destinations.
D'ailleurs, les agences se contentent trop souvent de vendre les produits du catalogue.
"Nous devons leur faire comprendre que notre brochure n'est qu'un échantillon d'un plus vaste inventaire. Elles doivent avoir le réflexe d'aller chercher le reste en ligne" , poursuit Thomas Giband.
Pour les aider, FTI va présenter prochainement un nouvel outil plus intuitif, permettant de choisir dans la large palette de produits et de créer du package dynamique, qui représente près de 30% des ventes.
Le TO prend également cet hiver d'importants engagements aériens : près de 35 000 sièges au départ de Bâle-Mulhouse, sa base historique, mais aussi de Lyon, Paris, Bordeaux, Nantes, Marseille et Toulouse. Il parie notamment sur les Canaries, la Tunisie, le Maroc, les Antilles ainsi que l'Egypte.
"Les demandes commencent à revenir pour cette destination historique ", assure Thomas Giband. Le vol programmé entre Bâle-Mulhouse et Hurghada a fonctionné toute la saison dernière avec un taux de remplissage des plus corrects.
A noter également l'arrivée de deux nouvelles destinations : la Barbade et le Costa Rica.
FTI tente aussi d'inciter les Français à réserver tôt grâce à un large panel de réductions cumulables : bonus enfant de 50 euros, hôtels gratuits pour les enfants, promotion de 40% en cas de réservation anticipée.
Grâce à tous ces efforts, le groupe espère devenir un leader dans le paysage touristique national. Son PDG Ralph Schiller aimerait intégrer rapidement le top 10 des tour-opérateurs français.