« L’entreprise ne va pas bien » affirme Olivier de Nicola qui, apparemment, s'enracine à Toulouse, selon notre confrère.
Il y a déjà un pied à terre et compte déménager cet été avec armes, bagage et famille.
Pas de miracle donc, 4 mois après son arrivée, sachant que le TO toulousain avait affiché une perte nette de 13,7 millions d’euros en 2010.
Compte tenu de la conjoncture, il va falloir un peu plus longtemps au patron de Fram pour redresser la barre.
« Cette entreprise a été précurseur en son temps et elle doit retrouver sa capacité de création », affirme-t-il à notre confrère.
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Il y a déjà un pied à terre et compte déménager cet été avec armes, bagage et famille.
Pas de miracle donc, 4 mois après son arrivée, sachant que le TO toulousain avait affiché une perte nette de 13,7 millions d’euros en 2010.
Compte tenu de la conjoncture, il va falloir un peu plus longtemps au patron de Fram pour redresser la barre.
« Cette entreprise a été précurseur en son temps et elle doit retrouver sa capacité de création », affirme-t-il à notre confrère.
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