Le marché français reste encore le vilain petit canard de TUI. Aussi, mon bon Basque Bondissant devrait commencer à trouver saumâtre cette mise à l'écart de sa filiale gauloise - DR : TUI Group
Comme quoi, ma bonne dame, y'a plus de grandes marques.
Et comme je vous l'annonçais dans un excellent édito du 15 avril dernier les marques Marmara et Nouvelles Frontières vont être fondues dans la grand marmite du groupe TUI !
Tiens, ça devrait être rigolo pour les agences Marmara ou Nouvelles Frontières… Vont-elles aussi passer sous la coupole TUI… avec un Xième contrat à la clef ? Roooh !
Ce n'est d'ailleurs pas une surprise.
Souvenons-nous que les Allemands, majoritaires au sein du groupe TUI, n'ont jamais caché leur volonté d'imposer une marque unique sur leur empire.
Tandis que les Anglais semblaient plus… prudents. Mais, comme la fusion anglo-germanique est enfin accomplie, ce sont désormais les volontés allemandes qui prépondèrent (eh oui, je sais, c'est un terme qui me plait et basta).
Et comme je vous l'annonçais dans un excellent édito du 15 avril dernier les marques Marmara et Nouvelles Frontières vont être fondues dans la grand marmite du groupe TUI !
Tiens, ça devrait être rigolo pour les agences Marmara ou Nouvelles Frontières… Vont-elles aussi passer sous la coupole TUI… avec un Xième contrat à la clef ? Roooh !
Ce n'est d'ailleurs pas une surprise.
Souvenons-nous que les Allemands, majoritaires au sein du groupe TUI, n'ont jamais caché leur volonté d'imposer une marque unique sur leur empire.
Tandis que les Anglais semblaient plus… prudents. Mais, comme la fusion anglo-germanique est enfin accomplie, ce sont désormais les volontés allemandes qui prépondèrent (eh oui, je sais, c'est un terme qui me plait et basta).
Or donc, fini le management à la grande Bretonnie. Désormais, on réorganise une structure quasi unique, stricte et quasi rectiligne. La rigueur, quoi.
Alors, me direz-vous, quid de la France ? Ben, si vous voulez mon avis, pas grand-chose.
D'abord, parce que le marché français, malgré les réductions drastiques de capacités ainsi qu'un marketing "killer" va maintenant (ou dans les toutes prochaines semaines) être intégré à la Région TUI Western Europe, qui reste encore à la traîne.
Et après le Printemps arabe, les crises géopolitiques, il semble que ce soient pour le moment les Antilles et son "Chi Ku goût nya" qui plombent les résultats français.
Quant à Corsair, compagnie qu'en toute subjectivité, j'aime bien, les résultats, même s'ils ne sont pas encore super, se redressent…
Et, au moins, le Groupe TUI conserve la compagnie et, selon des sources proches du dossier, semblerait décidé à la sortir de la galère. Mais oui.
Annoncé en petit comité pas plus tard que mercredi matin, l'actionnaire aurait en projet d'intégrer 3 Boeing 777, rachetés soit chez Emirates, soit chez Tam.
On discute encore, mais ces nouveaux appareils pourraient également favoriser l'ouverture, pour Corsair, de nouvelles routes. Mon gros nez me suggère (et la truffe de Chien Charly aussi) une piste vers les Etats Unis…
Bien évidemment, ce projet s'accompagne de quelques concessions vis-à-vis de l'actionnaire, genre "quelques vols au sein de la flotte du groupe TUI (laquelle devrait intégrer dans les prochains mois quelques B787 Dreamliner du plus bel effet) et, plus vraisemblablement pour toutes les catégories de salariés quelques "efforts", en terme de productivité.
Mais ce serait un excellent moyen de garder une belle compagnie en état de voler…
Alors, me direz-vous, quid de la France ? Ben, si vous voulez mon avis, pas grand-chose.
D'abord, parce que le marché français, malgré les réductions drastiques de capacités ainsi qu'un marketing "killer" va maintenant (ou dans les toutes prochaines semaines) être intégré à la Région TUI Western Europe, qui reste encore à la traîne.
Et après le Printemps arabe, les crises géopolitiques, il semble que ce soient pour le moment les Antilles et son "Chi Ku goût nya" qui plombent les résultats français.
Quant à Corsair, compagnie qu'en toute subjectivité, j'aime bien, les résultats, même s'ils ne sont pas encore super, se redressent…
Et, au moins, le Groupe TUI conserve la compagnie et, selon des sources proches du dossier, semblerait décidé à la sortir de la galère. Mais oui.
Annoncé en petit comité pas plus tard que mercredi matin, l'actionnaire aurait en projet d'intégrer 3 Boeing 777, rachetés soit chez Emirates, soit chez Tam.
On discute encore, mais ces nouveaux appareils pourraient également favoriser l'ouverture, pour Corsair, de nouvelles routes. Mon gros nez me suggère (et la truffe de Chien Charly aussi) une piste vers les Etats Unis…
Bien évidemment, ce projet s'accompagne de quelques concessions vis-à-vis de l'actionnaire, genre "quelques vols au sein de la flotte du groupe TUI (laquelle devrait intégrer dans les prochains mois quelques B787 Dreamliner du plus bel effet) et, plus vraisemblablement pour toutes les catégories de salariés quelques "efforts", en terme de productivité.
Mais ce serait un excellent moyen de garder une belle compagnie en état de voler…
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A moins que le groupe Dubreuil ne revienne à la charge et propose de nouvelles discussions.
Qui sait, finalement, l'histoire n'est qu'un éternel recommencement et qui se déteste un jour peut s'aimer le lendemain…
Bon. Malgré cela, le marché français du groupe reste encore le vilain petit canard de TUI. Et, comme je le disais très sérieusement dans un édito, la direction française est de plus en plus "coiffée" par la direction Western et son Hollandais volant.
Aussi, mon bon Basque Bondissant devrait commencer à trouver saumâtre cette mise à l'écart de sa filiale gauloise.
C'est vrai, chez nous, quand quelque chose est hors-normes, c'est tout de suite la fameuse "exception française"…
N'empêche qu'il pourrait se laisser tenter par d'autres chemins. N'avait-il d'ailleurs pas prévu, lors de la fusion ratée entre Corsair et Air Caraïbes, de devenir le président du Conseil de Surveillance de cette nouvelle entité. A titre personnel d'ailleurs…
Et puis, c'est marrant, autant président de Corsair, de Marmara ou de Nouvelles Frontières, ça a de la gueule, autant le titre de Président de TUI, c'est nettement moins classe.
Si jamais l'envie d'aller voir ailleurs le taraude toujours, il existe une entreprise d'autocars en Basquie, dont le nom est vraiment le Basque Bondissant et qui s'apprête, grâce à la loi Macron, à lancer un vaste programme de liaisons routières en autobus…
Roule ma poule !
Qui sait, finalement, l'histoire n'est qu'un éternel recommencement et qui se déteste un jour peut s'aimer le lendemain…
Bon. Malgré cela, le marché français du groupe reste encore le vilain petit canard de TUI. Et, comme je le disais très sérieusement dans un édito, la direction française est de plus en plus "coiffée" par la direction Western et son Hollandais volant.
Aussi, mon bon Basque Bondissant devrait commencer à trouver saumâtre cette mise à l'écart de sa filiale gauloise.
C'est vrai, chez nous, quand quelque chose est hors-normes, c'est tout de suite la fameuse "exception française"…
N'empêche qu'il pourrait se laisser tenter par d'autres chemins. N'avait-il d'ailleurs pas prévu, lors de la fusion ratée entre Corsair et Air Caraïbes, de devenir le président du Conseil de Surveillance de cette nouvelle entité. A titre personnel d'ailleurs…
Et puis, c'est marrant, autant président de Corsair, de Marmara ou de Nouvelles Frontières, ça a de la gueule, autant le titre de Président de TUI, c'est nettement moins classe.
Si jamais l'envie d'aller voir ailleurs le taraude toujours, il existe une entreprise d'autocars en Basquie, dont le nom est vraiment le Basque Bondissant et qui s'apprête, grâce à la loi Macron, à lancer un vaste programme de liaisons routières en autobus…
Roule ma poule !