Le pool d’entrepreneurs italiens prêts à réinvestir 1,5 milliard d’euros dans une Alitalia allégée de sa dette et amaigrie a jeté l’éponge hier après-midi face à la détermination des syndicats des pilotes et du PNC de ne pas accepter les baisses de salaires de 25% imposées par le plan de reprise.
La compagnie se retrouve donc avec à peu près 50 millions d’euros de trésorerie, de quoi tenir une quinzaine de jours. La liquidation pure et simple avec le licenciement des 20 000 employés est donc la décision la plus probable que prendra l’administrateur de la compagnie.
Les actifs pourront ensuite être vendus au plus offrant. D’ores et déjà des propositions sont parvenues à l’administrateur pour la reprise des activités de fret et de maintenance.
Pour la compagnie aérienne, on peut imaginer que la place ne restera pas longtemps vide à Rome et qu’un certain nombre d’employés d’Alitalia retrouveront du travail. Pour les autres, les conditions exceptionnelles promises par le gouvernement Berlusconi avec sept années d’indemnités chômage ne tient plus sans l’acceptation du plan de reprise.
Les craintes s’élèvent aussi pour Air One qui devait fusionner avec la nouvelle Alitalia. Car l’autre compagnie italienne, même si elle est adossée à un groupe important, n’est pas non plus au mieux de sa forme.
La compagnie se retrouve donc avec à peu près 50 millions d’euros de trésorerie, de quoi tenir une quinzaine de jours. La liquidation pure et simple avec le licenciement des 20 000 employés est donc la décision la plus probable que prendra l’administrateur de la compagnie.
Les actifs pourront ensuite être vendus au plus offrant. D’ores et déjà des propositions sont parvenues à l’administrateur pour la reprise des activités de fret et de maintenance.
Pour la compagnie aérienne, on peut imaginer que la place ne restera pas longtemps vide à Rome et qu’un certain nombre d’employés d’Alitalia retrouveront du travail. Pour les autres, les conditions exceptionnelles promises par le gouvernement Berlusconi avec sept années d’indemnités chômage ne tient plus sans l’acceptation du plan de reprise.
Les craintes s’élèvent aussi pour Air One qui devait fusionner avec la nouvelle Alitalia. Car l’autre compagnie italienne, même si elle est adossée à un groupe important, n’est pas non plus au mieux de sa forme.