Selon les déclaration du patron relayées par le site web, ce retrait pour 24h n’a eu “aucun impact" sur les ventes.
De toute façon, selon lui, les titres de transport des deux Cies ne représenteraient que 1,4% des réservation du Groupe qui s’élèveraient à 15 millions.
Ce lundi devrait avoir lieu une conférence téléphonique avec des investisseurs ODIGEO eDreams sur la situation exacte de l’entreprise qui, depuis ses débuts à la Bourse le 8 avril dernier (10,2 euros l’action) a vu fondre de près de 90% ce montant.
La révision à la baisse de ses bénéfices et le changement de l'algorithme de Google, parmi d'autres, en seraient à l’origine.
En effet, eDreams ODIGEO a réduit ses prévisions pour la fin de l'année avec un résultat brut d'exploitation (EBITDA) de 90 millions d'euros, soit une perte de 23% par rapport aux 117,6 millions engrangés l'année précédente et une croissance nulle du CA.
Aujourd'hui,la 1ère entreprise européenne de etourisme, fait valoir que sa liquidité est «forte», avec des réserves de trésorerie de quelque 109 millions d'€ et une dette brute à Juin de 470.000.000 d’euros.
Selon Pérez-Tenessa, la réaction de l’Alliance AIG s’explique parque que les compagnies aériennes et les agences de voyages en ligne ont des intérêts contradictoires, les premières voulant vendre des "vendre des billets plus cher», tandis que les agences en ligne cherchent à faire l’inverse...
De toute façon, selon lui, les titres de transport des deux Cies ne représenteraient que 1,4% des réservation du Groupe qui s’élèveraient à 15 millions.
Ce lundi devrait avoir lieu une conférence téléphonique avec des investisseurs ODIGEO eDreams sur la situation exacte de l’entreprise qui, depuis ses débuts à la Bourse le 8 avril dernier (10,2 euros l’action) a vu fondre de près de 90% ce montant.
La révision à la baisse de ses bénéfices et le changement de l'algorithme de Google, parmi d'autres, en seraient à l’origine.
En effet, eDreams ODIGEO a réduit ses prévisions pour la fin de l'année avec un résultat brut d'exploitation (EBITDA) de 90 millions d'euros, soit une perte de 23% par rapport aux 117,6 millions engrangés l'année précédente et une croissance nulle du CA.
Aujourd'hui,la 1ère entreprise européenne de etourisme, fait valoir que sa liquidité est «forte», avec des réserves de trésorerie de quelque 109 millions d'€ et une dette brute à Juin de 470.000.000 d’euros.
Selon Pérez-Tenessa, la réaction de l’Alliance AIG s’explique parque que les compagnies aériennes et les agences de voyages en ligne ont des intérêts contradictoires, les premières voulant vendre des "vendre des billets plus cher», tandis que les agences en ligne cherchent à faire l’inverse...
