L’avenir est au tourisme de groupe et aux incentives. C’est en tout cas ce que semble penser Dominique Friedman, le DG de Sept & Demi, venu à Paris mardi dernier pour présenter ses résultats.
Le voyagiste se porte bien, malgré la crise. Son chiffre d’affaire en 2009 est de 4 millions d’euros, soit une baisse de 3% par rapport à l’année dernière. Mais pour 2010, Dominique Friedman est très optimiste.
« Mon carnet de commande pour l’année prochaine est très bien rempli. Je démarre avec déjà 50% du chiffre d’affaire de 2009, notamment grâce aux groupistes ». Des bons résultats que l’on ne retrouve pas chez Nortours, la marque individuelle spécialiste de la Laponie.
Le TO a essuyé une baisse de 30% de son chiffre d’affaire sur les individuels. Certaines agences qui vendaient des dizaines de dossiers l’année dernière peinent cette année à en écouler 2 ou 3.
Le directeur Dominique Friedman semble prêt à accepter des propositions de rachat. Il prévoit quand même pour la saison 2009-2010 d’organiser des courts séjours afin re-dynamiser les ventes. « La destination a beaucoup souffert » regrette-t-il.
« On a voulu la rendre moins chère, avec en conséquence des mauvaises prestations. Il faut qu’elle retrouve toute sa noblesse ». Un défi à relever pour les futurs acquéreurs.
Le voyagiste se porte bien, malgré la crise. Son chiffre d’affaire en 2009 est de 4 millions d’euros, soit une baisse de 3% par rapport à l’année dernière. Mais pour 2010, Dominique Friedman est très optimiste.
« Mon carnet de commande pour l’année prochaine est très bien rempli. Je démarre avec déjà 50% du chiffre d’affaire de 2009, notamment grâce aux groupistes ». Des bons résultats que l’on ne retrouve pas chez Nortours, la marque individuelle spécialiste de la Laponie.
Le TO a essuyé une baisse de 30% de son chiffre d’affaire sur les individuels. Certaines agences qui vendaient des dizaines de dossiers l’année dernière peinent cette année à en écouler 2 ou 3.
Le directeur Dominique Friedman semble prêt à accepter des propositions de rachat. Il prévoit quand même pour la saison 2009-2010 d’organiser des courts séjours afin re-dynamiser les ventes. « La destination a beaucoup souffert » regrette-t-il.
« On a voulu la rendre moins chère, avec en conséquence des mauvaises prestations. Il faut qu’elle retrouve toute sa noblesse ». Un défi à relever pour les futurs acquéreurs.
Des voyages culturels en Europe

Sept & Demi semble donc le nouveau défi de Dominique Friedman. Le voyagiste veut se développer en Norvège, Islande et Russie ainsi que dans d'autres pays d'Europe où il n'était pas encore implanté, comme en Espagne, au Royaume-Uni ou en Grèce.
« Nous souhaitons être assimilés à l’Europe pour des voyages sur mesure, haut de gamme, avec une tendance événementielle » explique le directeur.
Pour se faire, il va créer Sept & Demi Event, afin de mettre en place des séjours aux thématiques culturelles et sportives.
« Il faut sans cesse innover, apporter des idées originales pour conserver une clientèle volatile ».
Découvrir Saint-Pétersbourg avec un conteur, marcher sur les pas de Mozart à Prague ou visiter une exposition en avant première, voilà les séjours que Sept & Demi proposera aux groupes d’ici peu.
« Nous souhaitons être assimilés à l’Europe pour des voyages sur mesure, haut de gamme, avec une tendance événementielle » explique le directeur.
Pour se faire, il va créer Sept & Demi Event, afin de mettre en place des séjours aux thématiques culturelles et sportives.
« Il faut sans cesse innover, apporter des idées originales pour conserver une clientèle volatile ».
Découvrir Saint-Pétersbourg avec un conteur, marcher sur les pas de Mozart à Prague ou visiter une exposition en avant première, voilà les séjours que Sept & Demi proposera aux groupes d’ici peu.
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