Bref : tout le monde fait des risettes, on parade, on fait des ronds de jambe et les "amis de 30 ans" se comptent par dizaines, même s'il y a parfois des choses qui grattent derrière le dos... Hypocrisie ? Pas vraiment. Si on veut bosser (et on veut) ensemble, faut bien faire des concessions, non ?
Mais le sacro-saint salon de Deauville est aussi une occasion unique de prendre le pouls du marché, de guetter la santé solide ou chancelante d'un concurrent. On verra cela à l'aune de la surface de son stand ou tout simplement en essayant de deviner la signification d'une absence.
Celle-ci peut être révélatrice de 2 choses : il a baissé pavillon et attend des jours meilleurs pour venir se faire voir en Normandie ou... il va suffisamment bien et il ira encore mieux en faisant l'économie d'un stand et de tout le budget qui va avec !
Bref, vous l'aurez compris, Top Resa c'est une sorte d'auberge espagnole : on y trouve que ce que l'on a bien voulu apporter. Mais force est de reconnaître qu'à défaut de faire des affaires dans ce salon, c'est ici que le 1er secteur économique de France dévoile ses batteries, peaufine ses stratégies, roule des mécaniques... et médite même parfois ses échecs.
L'année dernière TUI France y alignait comme à la parade ses véhicules d'entreprise dans un véritable scénario à la Mad Max, style... "Vous allez voir ce que vous allez voir". On a vu et franchement, on n'a pas été convaincu !
Cette année, Thomas Cook et le G4 qui vont clore Top Resa par une grande soirée, risquent de donner un peu dans le même panneau. Vanitas, vanitatum : le moment est-il bien choisi pour parader dans les salons à la veille d'un plan de restructuration ?
Jean DA LUZ - redaction@tourmag.com
Mais le sacro-saint salon de Deauville est aussi une occasion unique de prendre le pouls du marché, de guetter la santé solide ou chancelante d'un concurrent. On verra cela à l'aune de la surface de son stand ou tout simplement en essayant de deviner la signification d'une absence.
Celle-ci peut être révélatrice de 2 choses : il a baissé pavillon et attend des jours meilleurs pour venir se faire voir en Normandie ou... il va suffisamment bien et il ira encore mieux en faisant l'économie d'un stand et de tout le budget qui va avec !
Bref, vous l'aurez compris, Top Resa c'est une sorte d'auberge espagnole : on y trouve que ce que l'on a bien voulu apporter. Mais force est de reconnaître qu'à défaut de faire des affaires dans ce salon, c'est ici que le 1er secteur économique de France dévoile ses batteries, peaufine ses stratégies, roule des mécaniques... et médite même parfois ses échecs.
L'année dernière TUI France y alignait comme à la parade ses véhicules d'entreprise dans un véritable scénario à la Mad Max, style... "Vous allez voir ce que vous allez voir". On a vu et franchement, on n'a pas été convaincu !
Cette année, Thomas Cook et le G4 qui vont clore Top Resa par une grande soirée, risquent de donner un peu dans le même panneau. Vanitas, vanitatum : le moment est-il bien choisi pour parader dans les salons à la veille d'un plan de restructuration ?
Jean DA LUZ - redaction@tourmag.com