Après IAG, Lufthansa lorgne aussi sur Norwegian - Crédit photo : Norwegian
Le rachat de la compagnie norvégienne pourrait être un des feuilletons de l'année, dans le milieu de l'aérien.
Au mois d'avril 2018, nous vous annoncions une prise de participation d'IAG, avant une possible "offre globale pour la reprise de Norwegian" selon un communiqué de presse du groupe, c'est au tour de Lufthansa de rentrer dans le bal.
La compagnie allemande, par le biais de son PDG, s'est exprimée sur le sujet "en Europe en ce moment, tout le monde parle avec tout le monde.
On est en pleine vague de consolidation. Ce qui signifie que nous sommes aussi en contact avec Norwegian" une déclaration parue dans le journal allemand Süddeutsche Zeitung.
Au mois d'avril 2018, nous vous annoncions une prise de participation d'IAG, avant une possible "offre globale pour la reprise de Norwegian" selon un communiqué de presse du groupe, c'est au tour de Lufthansa de rentrer dans le bal.
La compagnie allemande, par le biais de son PDG, s'est exprimée sur le sujet "en Europe en ce moment, tout le monde parle avec tout le monde.
On est en pleine vague de consolidation. Ce qui signifie que nous sommes aussi en contact avec Norwegian" une déclaration parue dans le journal allemand Süddeutsche Zeitung.
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La nouvelle d'une bataille entre deux géants de l'aérien mondial a bien été accueilli par la bourse d'Oslo, puisque son action a bondi de +13,79%.
Pour le moment rien n'a filtré sur l'avancée des négociation, mais nos collègues du journal La Tribune estime le coût de la transaction à 3 milliards d'euros.
Faisant face à un rapide développement la compagnie low-cost est endettée à hauteur de 2 milliards d'euros, et se trouve dans une mauvaise passe financière, d'autant plus avec l'augmentation récente du carburant.
La concentration tant redoutée par l'ECTAA pourrait bien connaître un nouvel épisode.
Pour le moment rien n'a filtré sur l'avancée des négociation, mais nos collègues du journal La Tribune estime le coût de la transaction à 3 milliards d'euros.
Faisant face à un rapide développement la compagnie low-cost est endettée à hauteur de 2 milliards d'euros, et se trouve dans une mauvaise passe financière, d'autant plus avec l'augmentation récente du carburant.
La concentration tant redoutée par l'ECTAA pourrait bien connaître un nouvel épisode.
