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En décryptant ce courrier (voir copie ci-dessous), force est de constater que ce dédommagement ne portera que pour les dossiers des clients partant de Bruxelles vers Varadero et le Mexique. Et c’est de bonne justice, lorsqu’on songe au surcroît de travail que l’annulation du vol du 2 janvier a provoqué pour nombre d’AGV.
Les mauvaises langues auront beau dire que parmi les 250 pax concernés, nombre d‘entre eux seront passés par Sunjets (l’AGV/TO de vente directe du groupe) ou par une AGV du réseau Jetaircenter. Il n’empêche que cette décision de Jetair est à souligner car elle rend justice au travail des AGV dans le cas d’une annulation ou d’un retard prolongé.
Par contre, à la lecture de ce courrier, il semble que Jetair ne versera rien aux AGV dont les clients se trouvaient en REP DOM, au Mexique, en Jamaïque et à Cuba, et qui ont été forcés de prolonger involontairement leurs vacances.
Jetair : un geste de bonne politique commerciale
Il nous semble pourtant que ces AGV ont eu également un surcroît de travail. Par exemple en tranquillisant les familles de ces touristes bloqués (non, il n’y a pas eu d’accidents), en leur donnant de jour en jour les horaires des avions annoncés pour les rapatriements qui étaient reportés également de jour en jour (étant sur place à l’arrivée du deuxième avion, nous avons pu constater que plusieurs touristes étaient attendus par des proches) et naturellement pour fournir toutes les informations quant aux indemnités et procédures à suivre.
Si le VVR, dans un message à ses membres, semble indiquer que cette indemnité aux AGV ne serait pas la seule et que les AGV concernées garderaient leurs coms, cela serait alors une première. Ou alors cela coûterait un max au TO, puisque outre le remboursement aux clients comprenant le montant des coms, elle devrait verser en plus des 250 €, le montant de ces commissions.
En effet, le couac du 2 janvier -début des réservations de janvier/février pour les vacances d’été- ne pouvait tomber au plus mauvais moment. Selon toute vraisemblance, les AGV auront à convaincre les clients qui souhaiteraient passer leurs congés dans les Caraïbes de passer par Jetair.
Or, nombre de ces clients auront encore en mémoire une histoire de lapins qui s’égarent dans un réacteur et bloque les vols d’une filiale de la 6e compagnie aérienne d’Europe.
Les mauvaises langues auront beau dire que parmi les 250 pax concernés, nombre d‘entre eux seront passés par Sunjets (l’AGV/TO de vente directe du groupe) ou par une AGV du réseau Jetaircenter. Il n’empêche que cette décision de Jetair est à souligner car elle rend justice au travail des AGV dans le cas d’une annulation ou d’un retard prolongé.
Par contre, à la lecture de ce courrier, il semble que Jetair ne versera rien aux AGV dont les clients se trouvaient en REP DOM, au Mexique, en Jamaïque et à Cuba, et qui ont été forcés de prolonger involontairement leurs vacances.
Jetair : un geste de bonne politique commerciale
Il nous semble pourtant que ces AGV ont eu également un surcroît de travail. Par exemple en tranquillisant les familles de ces touristes bloqués (non, il n’y a pas eu d’accidents), en leur donnant de jour en jour les horaires des avions annoncés pour les rapatriements qui étaient reportés également de jour en jour (étant sur place à l’arrivée du deuxième avion, nous avons pu constater que plusieurs touristes étaient attendus par des proches) et naturellement pour fournir toutes les informations quant aux indemnités et procédures à suivre.
Si le VVR, dans un message à ses membres, semble indiquer que cette indemnité aux AGV ne serait pas la seule et que les AGV concernées garderaient leurs coms, cela serait alors une première. Ou alors cela coûterait un max au TO, puisque outre le remboursement aux clients comprenant le montant des coms, elle devrait verser en plus des 250 €, le montant de ces commissions.
En effet, le couac du 2 janvier -début des réservations de janvier/février pour les vacances d’été- ne pouvait tomber au plus mauvais moment. Selon toute vraisemblance, les AGV auront à convaincre les clients qui souhaiteraient passer leurs congés dans les Caraïbes de passer par Jetair.
Or, nombre de ces clients auront encore en mémoire une histoire de lapins qui s’égarent dans un réacteur et bloque les vols d’une filiale de la 6e compagnie aérienne d’Europe.
