
Sinead Finn, responsable Ventes & Marketing Europe
En 2005, Ryanair a transporté 35 millions de passagers dont 3,5 millions depuis et vers la France. Elle prévoit d’en transporter plus de 42 millions en 2006 (5 millions pour la France). Dans l’Hexagone, la compagnie dessert 20 aéroports français, avec 62 lignes vers 11 pays Européens et ouvrira bientôt sa première base à Marseille, avec 11 nouvelles lignes, dont 3 vers le Maroc.
L’occasion pour Sinead Finn, responsable Ventes & Marketing Europe, de mettre l’accent sur les retombées économiques dues à la présence de la Compagnie. Deux aéroports français en particulier ont pu en mesurer l’impact : Bergerac et Carcassonne.
130 millions d’euros pour Carcassonne
Pour le premier, l’impact économique direct de Ryanair en 2005 s’élevait à 130 millions d’euros (78 millions entre avril et septembre 2005), sachant que les visiteurs Ryanair dépensent en moyenne 85 € par jour, soit 1020 € par séjour.
A Bergerac, où la low cost dessert trois destinations (Londres, East Midlands et Liverpool), l’immobilier a été le secteur le plus dynamisé (trop parfois selon certains autochtones) par ces dépenses, avec 70 millions d’euros investis. A noter aussi 709 créations d’entreprises pardes des entrepreneurs anglais dans la région.
De son côté Carcassonne où Ryanair dessert 6 destinations (Londres, Liverpool, East Midlands, Bruxelles, Dublin et Shannon) estime à 135 millions d’euros l’impact économique direct des dépenses des visiteurs en 2005, soit un budget moyen qui varie entre 400 et 1000 € par séjour. Ces dépenses ont permis la création de 1092 emplois. Indirectement, les retombées des visiteurs Ryanair sont estimées à 272 millions d’euros.
Un trafic annuel d’un million de passagers à Marseille
Marseille qui deviendra la 16ème base Européenne de Ryanair en Novembre 2006, bénéficiera-t-elle d’une manne semblable ? L’avenir semble plutôt prometteur pour la plate forme, si l’on en croit les chiffres de Sinead Finn.
Ryanait affiche sur Glasgow et Dublin, qui ont démarré en février et avril dernier, des chiffres encourageants, avec respectivement 17 000 et 14 000 pax. Par ailleurs, plus de 20 000 réservations ont déjà été effectuées pour les 13 destinations qui débuteront en novembre.
En effet, la base de Marseille avec 13 lignes et 110 vols par semaine, prévoit un trafic annuel d’un million de passagers. Un trafic qui devrait permettre de créer directement ou indirectement 1000 emplois dans la région, grâce aux millions dépensés chaque année par les touristes transportés pour des services annexes comme les locations de véhicules, la restauration, l’hôtellerie…
L’occasion pour Sinead Finn, responsable Ventes & Marketing Europe, de mettre l’accent sur les retombées économiques dues à la présence de la Compagnie. Deux aéroports français en particulier ont pu en mesurer l’impact : Bergerac et Carcassonne.
130 millions d’euros pour Carcassonne
Pour le premier, l’impact économique direct de Ryanair en 2005 s’élevait à 130 millions d’euros (78 millions entre avril et septembre 2005), sachant que les visiteurs Ryanair dépensent en moyenne 85 € par jour, soit 1020 € par séjour.
A Bergerac, où la low cost dessert trois destinations (Londres, East Midlands et Liverpool), l’immobilier a été le secteur le plus dynamisé (trop parfois selon certains autochtones) par ces dépenses, avec 70 millions d’euros investis. A noter aussi 709 créations d’entreprises pardes des entrepreneurs anglais dans la région.
De son côté Carcassonne où Ryanair dessert 6 destinations (Londres, Liverpool, East Midlands, Bruxelles, Dublin et Shannon) estime à 135 millions d’euros l’impact économique direct des dépenses des visiteurs en 2005, soit un budget moyen qui varie entre 400 et 1000 € par séjour. Ces dépenses ont permis la création de 1092 emplois. Indirectement, les retombées des visiteurs Ryanair sont estimées à 272 millions d’euros.
Un trafic annuel d’un million de passagers à Marseille
Marseille qui deviendra la 16ème base Européenne de Ryanair en Novembre 2006, bénéficiera-t-elle d’une manne semblable ? L’avenir semble plutôt prometteur pour la plate forme, si l’on en croit les chiffres de Sinead Finn.
Ryanait affiche sur Glasgow et Dublin, qui ont démarré en février et avril dernier, des chiffres encourageants, avec respectivement 17 000 et 14 000 pax. Par ailleurs, plus de 20 000 réservations ont déjà été effectuées pour les 13 destinations qui débuteront en novembre.
En effet, la base de Marseille avec 13 lignes et 110 vols par semaine, prévoit un trafic annuel d’un million de passagers. Un trafic qui devrait permettre de créer directement ou indirectement 1000 emplois dans la région, grâce aux millions dépensés chaque année par les touristes transportés pour des services annexes comme les locations de véhicules, la restauration, l’hôtellerie…