
14 000 visiteurs pour les Journées professionnelles de l'IMTT
TourMaG.com – Où en est le tourisme iraélien ?
Frédéric Sabbah : « Nous avons le sentiment que depuis 2005 le tourisme est reparti. Entre 2000 et 2005 seul le tourisme ethnique fonctionnait. Depuis, nous avons des signes concrets d’un redémarrage du tourisme religieux de pèlerinage mais aussi de Groupes et de CE.
b[
Pour 2007 nous avons déjà des demandes d’incentive ce qui signifie que les professionnels n’ont plus peur de préconiser la destination. Cela démontre aussi une moindre crainte et un changement des mentalités par rapport aux risques des destinations. »
T.M.com – Comment faut-il vendre le produit Israël dans les agences ?
F.S. : « On peut vendre Israël bien entendu comme un haut lieu de pèlerinage aussi bien pour les Juifs que pour les chrétiens mais aussi plus globalement comme une destination de découverte historique et culturelle ou encore balnéaire avec Eilat où il fait beau toute l’année.
On y trouve une hôtellerie de bon niveau le tout à 4,30h à peine de vol de Paris.
On peut aussi citer le tourisme sportif avec une grande variété de disciplines, les sports nautiques, le 4X4 désert, le trekking dans le désert, le bivouac, etc. »
T.M.com – Quelle est la meilleure saison pour venir en Israël ?
F.S. : « Entre début mars et le 15 novembre… »
T.M.com – Qu’en est-il du transport ?
F.S. : « En tourisme nous avons pas mal de compagnies charter françaises et israéliennes qui desservent la destination, telles Axis Airways ou encore Corsair à certaines périodes. Arkia et Sundor, 2 cies israéliennes relient aussi les deux pays.
Quant au régulier, nous avons bien sûr El Al et Air France avec en outre des transporteurs comme SWISS et Austrian qui proposent de bonnes connexions via. »
Frédéric Sabbah : « Nous avons le sentiment que depuis 2005 le tourisme est reparti. Entre 2000 et 2005 seul le tourisme ethnique fonctionnait. Depuis, nous avons des signes concrets d’un redémarrage du tourisme religieux de pèlerinage mais aussi de Groupes et de CE.
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Pour 2007 nous avons déjà des demandes d’incentive ce qui signifie que les professionnels n’ont plus peur de préconiser la destination. Cela démontre aussi une moindre crainte et un changement des mentalités par rapport aux risques des destinations. »
T.M.com – Comment faut-il vendre le produit Israël dans les agences ?
F.S. : « On peut vendre Israël bien entendu comme un haut lieu de pèlerinage aussi bien pour les Juifs que pour les chrétiens mais aussi plus globalement comme une destination de découverte historique et culturelle ou encore balnéaire avec Eilat où il fait beau toute l’année.
On y trouve une hôtellerie de bon niveau le tout à 4,30h à peine de vol de Paris.
On peut aussi citer le tourisme sportif avec une grande variété de disciplines, les sports nautiques, le 4X4 désert, le trekking dans le désert, le bivouac, etc. »
T.M.com – Quelle est la meilleure saison pour venir en Israël ?
F.S. : « Entre début mars et le 15 novembre… »
T.M.com – Qu’en est-il du transport ?
F.S. : « En tourisme nous avons pas mal de compagnies charter françaises et israéliennes qui desservent la destination, telles Axis Airways ou encore Corsair à certaines périodes. Arkia et Sundor, 2 cies israéliennes relient aussi les deux pays.
Quant au régulier, nous avons bien sûr El Al et Air France avec en outre des transporteurs comme SWISS et Austrian qui proposent de bonnes connexions via. »

Frédéric Sabbah, organisateur et patron de la Sté Ortra
T.M.com – Comment est né le IMTT (Salon international du marché du tourisme méditerranéen) ?
F.S. : « Le IMTT en est à sa 13e édition. Il a été lancé par Ortra, l’entreprise réceptive que je dirige en Israël et qui est spécialisée dans l’organisation de séminaires et d’incentives.
Le concept est celui d’un salon incoming qui accueille des prestataires locaux mais aussi outgoing, puisque nous accueillons plusieurs prestataires étrangers.
Le salon est mixte et ouvre également ses portes au grand public après la tenue de deux journées professionnelles qui enregistrent environ 14 000 visiteurs. Nous avons au total 300 exposants sur 5 300 m2 de superficie. »
T.M.com – Quels sont les handicaps du tourisme israélien ?
F.S. : « C’est une destination qui est chère si on la compare à d’autres telles la Turquie, le Maroc ou la Tunisie, car nous avons un pouvoir d’achat de niveau européen et le touriste ne trouve pas d’avantage au change.
Par ailleurs, il est vrai que nous n’avons pas de cie low cost qui permettrait de faire venir plus de petits budgets chez nous. Nous avons également besoin de développer le tourisme non ethnique et pour cela nous devons multiplier les voyages d’études pour convaincre les décideurs qui sont encore frileux sur la destination. »
F.S. : « Le IMTT en est à sa 13e édition. Il a été lancé par Ortra, l’entreprise réceptive que je dirige en Israël et qui est spécialisée dans l’organisation de séminaires et d’incentives.
Le concept est celui d’un salon incoming qui accueille des prestataires locaux mais aussi outgoing, puisque nous accueillons plusieurs prestataires étrangers.
Le salon est mixte et ouvre également ses portes au grand public après la tenue de deux journées professionnelles qui enregistrent environ 14 000 visiteurs. Nous avons au total 300 exposants sur 5 300 m2 de superficie. »
T.M.com – Quels sont les handicaps du tourisme israélien ?
F.S. : « C’est une destination qui est chère si on la compare à d’autres telles la Turquie, le Maroc ou la Tunisie, car nous avons un pouvoir d’achat de niveau européen et le touriste ne trouve pas d’avantage au change.
Par ailleurs, il est vrai que nous n’avons pas de cie low cost qui permettrait de faire venir plus de petits budgets chez nous. Nous avons également besoin de développer le tourisme non ethnique et pour cela nous devons multiplier les voyages d’études pour convaincre les décideurs qui sont encore frileux sur la destination. »