Les mesures d'aides ont été autorisées en vertu de l'encadrement temporaire des aides d'État adopté par la Commission le 19 mars 2020. - DR
La Commission européenne a donné son feu vert à l'aide de 3,4 milliards d'euros consistant en une garantie d'État pour des prêts et en un prêt subordonné de l'État néerlandais en faveur de KLM, afin de fournir à l'entreprise un soutien de trésorerie urgent dans le contexte de la pandémie de coronavirus.
Les mesures ont été autorisées en vertu de l'encadrement temporaire des aides d'État adopté par la Commission le 19 mars 2020.
Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive chargée de la politique de concurrence, s'est exprimée en ces termes: « KLM joue un rôle clé pour l'économie néerlandaise en termes d'emploi et de connectivité. La crise a frappé particulièrement durement le secteur de l'aviation. Cette garantie et ce prêt de l'État, d'un montant de 3,4 milliards d'euros, fourniront à KLM les liquidités dont elle a un urgent besoin pour résister aux répercussions de la pandémie de coronavirus.
Les Pays-Bas ont imposé certaines conditions à la mesure d'aide en ce qui concerne la répartition des bénéfices, les conditions de travail et la durabilité. C'est très bien. Les États membres sont libres de concevoir toute mesure conforme à leurs objectifs généraux et aux règles de l'UE. »
Les mesures ont été autorisées en vertu de l'encadrement temporaire des aides d'État adopté par la Commission le 19 mars 2020.
Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive chargée de la politique de concurrence, s'est exprimée en ces termes: « KLM joue un rôle clé pour l'économie néerlandaise en termes d'emploi et de connectivité. La crise a frappé particulièrement durement le secteur de l'aviation. Cette garantie et ce prêt de l'État, d'un montant de 3,4 milliards d'euros, fourniront à KLM les liquidités dont elle a un urgent besoin pour résister aux répercussions de la pandémie de coronavirus.
Les Pays-Bas ont imposé certaines conditions à la mesure d'aide en ce qui concerne la répartition des bénéfices, les conditions de travail et la durabilité. C'est très bien. Les États membres sont libres de concevoir toute mesure conforme à leurs objectifs généraux et aux règles de l'UE. »
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