
La grande ennemie, la crainte féroce d'Air France… j'ai nommé Emirates. Qui vient de signer un accord interline sur l'Afrique avec Corsair... /photo dr
Je ne vais pas m'étendre (pardon, c'est juste une image) sur le cas d'Alitalia.
Ce devrait d'ailleurs être cette semaine qu'Air France devrait rendre son verdict et décider si, oui ou non, elle va remettre au pot pour sauver la compagnie.
C'est un peu comme si un SDF demandait l'aumône à Léonarda, si je puis me permettre cette improbable comparaison…
Néanmoins, chez Alitalia, ça va, ça vient.
A preuve, cette étonnante "promo" reçue dans nos somptueux bureau de la rédaction à Marseille.
Agents de voyages, si vous voulez aller passer un week-end à Rome avec au choix, votre épouse, fiancée, maitresse, concubine, pacsée (pour les dames vous remettez, dans le même ordre au masculin), c'est quasi donné: 85€ l'aller-retour, taxes incluses, celle de Chiraquie aussi.
Comment ? Il faut partir de Montpellier ? Et y revenir ? Pas grave… mais, sincèrement, est-ce vraiment raisonnable ?
Sincèrement, il m'étonnerait bien qu'Air France investisse à nouveau dans la compagnie italienne.
D'autant que les associés bataves commencent à en avoir ras la casquette d'engloutir des sommes astronomiques… à fonds perdus.
Je remarque d'ailleurs que les mêmes bataves ont parfaitement réussi leur redressement et qu'ils aimeraient bien, d'ailleurs, commencer à en récolter les fruits.
Et, je remarque enfin, par la même occasion, que la grande fusion voulue par Spinetta n'est toujours pas réalisée.
Ce devrait d'ailleurs être cette semaine qu'Air France devrait rendre son verdict et décider si, oui ou non, elle va remettre au pot pour sauver la compagnie.
C'est un peu comme si un SDF demandait l'aumône à Léonarda, si je puis me permettre cette improbable comparaison…
Néanmoins, chez Alitalia, ça va, ça vient.
A preuve, cette étonnante "promo" reçue dans nos somptueux bureau de la rédaction à Marseille.
Agents de voyages, si vous voulez aller passer un week-end à Rome avec au choix, votre épouse, fiancée, maitresse, concubine, pacsée (pour les dames vous remettez, dans le même ordre au masculin), c'est quasi donné: 85€ l'aller-retour, taxes incluses, celle de Chiraquie aussi.
Comment ? Il faut partir de Montpellier ? Et y revenir ? Pas grave… mais, sincèrement, est-ce vraiment raisonnable ?
Sincèrement, il m'étonnerait bien qu'Air France investisse à nouveau dans la compagnie italienne.
D'autant que les associés bataves commencent à en avoir ras la casquette d'engloutir des sommes astronomiques… à fonds perdus.
Je remarque d'ailleurs que les mêmes bataves ont parfaitement réussi leur redressement et qu'ils aimeraient bien, d'ailleurs, commencer à en récolter les fruits.
Et, je remarque enfin, par la même occasion, que la grande fusion voulue par Spinetta n'est toujours pas réalisée.
Bizarre ? Vous avez dit bizarre ? Comme c'est étrange !
En revanche, je constate avec une certaine satisfaction que Corsair International poursuit plus que jamais son développement en tant que compagnie aérienne régulière.
Avec des ambitions modestes, certes, mais loin d'être stupides.
Et qui pourrait bien lui valoir, à terme, la reconnaissance de ses pairs, et certainement la réalisation finale du plan concocté par les actionnaires du Basque Bondissant : la cession de la compagnie à un acheteur potentiel…
Corsair (International, je sais, mais c'est long), outre son positionnement sur les Antilles, avec une collaboration très intelligente avec Air Caraïbes, a sacrément ouvert le marché vers l'Afrique.
Au grand désarroi (et une certaine colère) de la part d'Air France, pour qui cette partie du monde est véritablement "chasse gardée".
D'ailleurs, Air France ne se prive pas d'employer certains moyens pas très fair-play pour la contrarier tant sur Dakar que sur Abidjan…
Et, fait pour le moins rigolo, quelle est la compagnie qui se montre intéressée envers une coopération avec Corsair ?
Ben, évidemment, la grande ennemie, la crainte féroce d'Air France… j'ai nommé Emirates. Qui vient de signer un accord interline sur l'Afrique avec Corsair !
Emballez, c'est pesé !
Quelle belle occasion cependant, tant pour les Dubayois que pour les Corserois. C'est vrai qu'il y a du business et que l'occasion est trop belle, non seulement d'engranger quelques sous, mais aussi de bien ennuyer (vous voyez, je soigne mon vocabulaire maintenant) Air France.
D'autant qu'au niveau du service à bord, les compatibilités sont harmonieuses… Les passagers devraient largement y trouver leur compte, à condition, bien sûr, que chacun joue le jeu.
C'est ce que je crois qu'il va se passer. Reste maintenant à savoir si, Air France engluée dans ses problèmes de redressement et de sauvetage des plus défavorisés, pourra… ou voudra réagir?
Et si oui, avec quels moyens?
En revanche, je constate avec une certaine satisfaction que Corsair International poursuit plus que jamais son développement en tant que compagnie aérienne régulière.
Avec des ambitions modestes, certes, mais loin d'être stupides.
Et qui pourrait bien lui valoir, à terme, la reconnaissance de ses pairs, et certainement la réalisation finale du plan concocté par les actionnaires du Basque Bondissant : la cession de la compagnie à un acheteur potentiel…
Corsair (International, je sais, mais c'est long), outre son positionnement sur les Antilles, avec une collaboration très intelligente avec Air Caraïbes, a sacrément ouvert le marché vers l'Afrique.
Au grand désarroi (et une certaine colère) de la part d'Air France, pour qui cette partie du monde est véritablement "chasse gardée".
D'ailleurs, Air France ne se prive pas d'employer certains moyens pas très fair-play pour la contrarier tant sur Dakar que sur Abidjan…
Et, fait pour le moins rigolo, quelle est la compagnie qui se montre intéressée envers une coopération avec Corsair ?
Ben, évidemment, la grande ennemie, la crainte féroce d'Air France… j'ai nommé Emirates. Qui vient de signer un accord interline sur l'Afrique avec Corsair !
Emballez, c'est pesé !
Quelle belle occasion cependant, tant pour les Dubayois que pour les Corserois. C'est vrai qu'il y a du business et que l'occasion est trop belle, non seulement d'engranger quelques sous, mais aussi de bien ennuyer (vous voyez, je soigne mon vocabulaire maintenant) Air France.
D'autant qu'au niveau du service à bord, les compatibilités sont harmonieuses… Les passagers devraient largement y trouver leur compte, à condition, bien sûr, que chacun joue le jeu.
C'est ce que je crois qu'il va se passer. Reste maintenant à savoir si, Air France engluée dans ses problèmes de redressement et de sauvetage des plus défavorisés, pourra… ou voudra réagir?
Et si oui, avec quels moyens?
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