
Les gars, prudence, la perfide Albion est quand même très rusée. Elle nous a brulé Jeanne d'Arc, cette pauvre gamine qui n'aura jamais connu le bonheur… © matteocozzi - Fotolia.com
En vous souhaitant, amis distributeurs de cette douce France, que tout ceci ne franchisse pas le Channel et reste confiné sur la perfide Albion.
Parce que, figurons-nous, mes bons (et mes mauvais) amis, que Thomas Cook au Royaume de la Queen aux chapeaux multicolores, empêtré dans ses difficultés financières récurrentes (et ça dure, ça dure…) a enfin trouvé la solution pour faire des économies.
Vous savez pas ? Et bien je vais vous le dire ! Brillante idée, Thomas Cook "réduit" de façon extrêmement significative, la commission qu'il accordait jusqu'à présent à ses distributeurs "externe".
Les distributeurs "tiers" comme l'exprime la presse moyenne bretonne (ben oui, par moment, ils ne sont pas forcément si grands que ça et puis ça fait plaisir), ce qui correspond chez nous, en Gauloiserie française à nos réseaux traditionnels, vont donc se trouver coupés d'une partie de leurs revenus…
Halte-là répond Thomas Cook (attention, tout se passe en Angleterre et Irlande), vous ne perdez rien. Simplement, pour gagner (autant ?) va falloir faire du volume.
En gros, ça me rappelle un vieux slogan d'un président (de la République) parti à l'insu de son plein gré et qui aimerait bien revenir: "bosser plus pour gagner plus" !
Parce que, figurons-nous, mes bons (et mes mauvais) amis, que Thomas Cook au Royaume de la Queen aux chapeaux multicolores, empêtré dans ses difficultés financières récurrentes (et ça dure, ça dure…) a enfin trouvé la solution pour faire des économies.
Vous savez pas ? Et bien je vais vous le dire ! Brillante idée, Thomas Cook "réduit" de façon extrêmement significative, la commission qu'il accordait jusqu'à présent à ses distributeurs "externe".
Les distributeurs "tiers" comme l'exprime la presse moyenne bretonne (ben oui, par moment, ils ne sont pas forcément si grands que ça et puis ça fait plaisir), ce qui correspond chez nous, en Gauloiserie française à nos réseaux traditionnels, vont donc se trouver coupés d'une partie de leurs revenus…
Halte-là répond Thomas Cook (attention, tout se passe en Angleterre et Irlande), vous ne perdez rien. Simplement, pour gagner (autant ?) va falloir faire du volume.
En gros, ça me rappelle un vieux slogan d'un président (de la République) parti à l'insu de son plein gré et qui aimerait bien revenir: "bosser plus pour gagner plus" !

Chez les grands-bretons Cookiens, on n'a pas forcément la même subtilité. C'est plus dans l'humour au 120ème degré. Ainsi, pour justifier cette décision, TC la joue super subtil, style (et néanmoins authentique).
"Nous reconnaissons tout à fait l'importance de la distribution (externe, ndlr) qui fait partie de nos plans sur l'avenir prochain. Néanmoins, comme nous (et ta sœur) avons accompli des changements significatifs, tels que le "réalignement de nos marques" (et paf, TUI vient de faire la même chose, que nous avons "rentré" un nouveau programme de "City Breaks" (flemme de traduire, désolé), il était aussi temps de "réajuster" le taux de commissionnement des agents de voyages".
Et de finir par un redoutable "nous récompenserons les vendeurs en fonction de leur volume de ventes".
Clair. Sans dentelle. La seule chose que nous ne connaissions pas et là TC tient farouchement au secret, c'est le chiffre de la diminution de com. Si ce n'est que des "arrangements" individuels sont négociés…
Bien évidemment, une partie des distributeurs concernés sont décidés à supprimer les produits Thomas Cook de leur catalogue. Ce qui ne sera sans doute qu'un baroud d'honneur, du moins chez nos camarades amateurs de pudding.
En revanche, et c'est là que ça devient intéressant, pour ne pas dire angoissant, vendeurs de Thomas Cook, c'est le fabuleux "quid" de ce qui pourrait, éventuellement se passer en France.
Généralement, quand une maison-mère entame un "repositionnement de sa stratégie", le reste des filiales doit suivre, à plus ou moins longue échéance.
Chez Thomas Cook France, on se veut rassurant. En même temps, le prochain séminaire qui devrait réunir les forces vives françaises du TO, pourrait peut-être déboucher sur… Sur quoi, d'ailleurs ?
Un réajustement des commissionnements en France ? Trop tôt, à mon avis, et très dangereux, d'autant que la France, c'est pas la panacée en termes de revenus pour la maison-mère.
En même temps, comme ils osent tout chez Thomas Cook, (je ne vous resservirai pas cette belle phrase d'Audiard), faudra quand même faire gaffe à une tentative de "réduction". On ne sait jamais et pour le coup, c'est là qu'un Wathier aurait fait fort… et justifié son salaire !
Donc, les gars, prudence, la perfide Albion est quand même très rusée. Elle nous a brulé Jeanne d'Arc, cette pauvre gamine qui n'aura jamais connu le bonheur…
D'ici à ce qu'elle vous "virginise" la commission à vous aussi, joyeux Gaulois !
"Nous reconnaissons tout à fait l'importance de la distribution (externe, ndlr) qui fait partie de nos plans sur l'avenir prochain. Néanmoins, comme nous (et ta sœur) avons accompli des changements significatifs, tels que le "réalignement de nos marques" (et paf, TUI vient de faire la même chose, que nous avons "rentré" un nouveau programme de "City Breaks" (flemme de traduire, désolé), il était aussi temps de "réajuster" le taux de commissionnement des agents de voyages".
Et de finir par un redoutable "nous récompenserons les vendeurs en fonction de leur volume de ventes".
Clair. Sans dentelle. La seule chose que nous ne connaissions pas et là TC tient farouchement au secret, c'est le chiffre de la diminution de com. Si ce n'est que des "arrangements" individuels sont négociés…
Bien évidemment, une partie des distributeurs concernés sont décidés à supprimer les produits Thomas Cook de leur catalogue. Ce qui ne sera sans doute qu'un baroud d'honneur, du moins chez nos camarades amateurs de pudding.
En revanche, et c'est là que ça devient intéressant, pour ne pas dire angoissant, vendeurs de Thomas Cook, c'est le fabuleux "quid" de ce qui pourrait, éventuellement se passer en France.
Généralement, quand une maison-mère entame un "repositionnement de sa stratégie", le reste des filiales doit suivre, à plus ou moins longue échéance.
Chez Thomas Cook France, on se veut rassurant. En même temps, le prochain séminaire qui devrait réunir les forces vives françaises du TO, pourrait peut-être déboucher sur… Sur quoi, d'ailleurs ?
Un réajustement des commissionnements en France ? Trop tôt, à mon avis, et très dangereux, d'autant que la France, c'est pas la panacée en termes de revenus pour la maison-mère.
En même temps, comme ils osent tout chez Thomas Cook, (je ne vous resservirai pas cette belle phrase d'Audiard), faudra quand même faire gaffe à une tentative de "réduction". On ne sait jamais et pour le coup, c'est là qu'un Wathier aurait fait fort… et justifié son salaire !
Donc, les gars, prudence, la perfide Albion est quand même très rusée. Elle nous a brulé Jeanne d'Arc, cette pauvre gamine qui n'aura jamais connu le bonheur…
D'ici à ce qu'elle vous "virginise" la commission à vous aussi, joyeux Gaulois !
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