L’affaire Donatello est pliée. Du moins pour un temps, puisque le Tribunal de Commerce, dans sa grande sagesse et surtout dans sa plus grande indifférence a conclu. On liquide et on s'en va - Capture écran
Ah, la politique ! Que de conneries ne fait-on pas en ton nom.
Surtout lorsqu'il s'agit de gagner quelques votes…
En attendant, l'affaire Donatello est pliée. Du moins pour un temps, puisque le Tribunal de Commerce, dans sa grande sagesse et surtout dans sa plus grande indifférence a conclu. On liquide et on s'en va.
On a, depuis quelques temps, jeté l'opprobre sur ces Autrichiens qui ont cru pouvoir apporter une croissance externe à leur modèle.
Lequel, sans tambours ni trompettes, gagne du fric, fourni des prestations appréciées par les clients.
On leur en a voulu, à Travel Europe, de ne pas reprendre la totalité de l'entreprise.
On leur en a même voulu d'avoir osé réclamer quelques éléments chiffrés avant de faire une proposition de reprise.
Ils n'avaient pourtant rien demandé, ces Autrichiens, avant un certain 19 décembre 2014…
Faut dire que, du côté de Donatello, ça n'allait plus très bien. Pour tout dire, c'était déjà la quasi cata.
A tel point qu'un illustre client, en vadrouille du côté de l'Afrique du Sud, avait été fortement invité par le réceptif du TO à repayer les prestations…
C'était pas n'importe qui, le client. Et comme ce n'est pas un secret, il s'agissait quand même du patron des patrons, Pierre Gattaz.
Surtout lorsqu'il s'agit de gagner quelques votes…
En attendant, l'affaire Donatello est pliée. Du moins pour un temps, puisque le Tribunal de Commerce, dans sa grande sagesse et surtout dans sa plus grande indifférence a conclu. On liquide et on s'en va.
On a, depuis quelques temps, jeté l'opprobre sur ces Autrichiens qui ont cru pouvoir apporter une croissance externe à leur modèle.
Lequel, sans tambours ni trompettes, gagne du fric, fourni des prestations appréciées par les clients.
On leur en a voulu, à Travel Europe, de ne pas reprendre la totalité de l'entreprise.
On leur en a même voulu d'avoir osé réclamer quelques éléments chiffrés avant de faire une proposition de reprise.
Ils n'avaient pourtant rien demandé, ces Autrichiens, avant un certain 19 décembre 2014…
Faut dire que, du côté de Donatello, ça n'allait plus très bien. Pour tout dire, c'était déjà la quasi cata.
A tel point qu'un illustre client, en vadrouille du côté de l'Afrique du Sud, avait été fortement invité par le réceptif du TO à repayer les prestations…
C'était pas n'importe qui, le client. Et comme ce n'est pas un secret, il s'agissait quand même du patron des patrons, Pierre Gattaz.
Fortuitement, comme on dit dans les bonnes écritures, il lui a suffi d'un coup de téléphone pour que Donatello, à Paris arrange le coup…
Et, au bout du compte, quelqu'un aura-t-il payé ou le réceptif se sera assoiyi sur quelques malheureux dollars ?
On ne le saura pas, ou peut-être beaucoup plus tard… et puis, finalement, tout le monde s'en fout.
Rien n'est clair dans cette histoire. Travel Europe, légaliste jusqu'au bout des ongles, avait bien monté une entité juridique afin de reprendre les pauvres restes de Donatello.
Travel Europe avait bien investi 500.000€ dans l'histoire… avec la promesse qu'un autre investisseur aurait la courtoisie de participer à l'aventure.
Il existerait même un document ultra confidentiel… Une sorte de promesse de vente en quelque sorte.
Marrant, en tentant d'analyser, je ne peux m'empêcher de repenser à ces mots que m'avaient délivré Hervé Vighier lors de notre récent entretien. Sollicité par son "ami" de trente ans, il n'avait, selon lui, pas cru bon d'examiner les comptes.
"Une parole d'ami est sacrée"…
Et, au bout du compte, quelqu'un aura-t-il payé ou le réceptif se sera assoiyi sur quelques malheureux dollars ?
On ne le saura pas, ou peut-être beaucoup plus tard… et puis, finalement, tout le monde s'en fout.
Rien n'est clair dans cette histoire. Travel Europe, légaliste jusqu'au bout des ongles, avait bien monté une entité juridique afin de reprendre les pauvres restes de Donatello.
Travel Europe avait bien investi 500.000€ dans l'histoire… avec la promesse qu'un autre investisseur aurait la courtoisie de participer à l'aventure.
Il existerait même un document ultra confidentiel… Une sorte de promesse de vente en quelque sorte.
Marrant, en tentant d'analyser, je ne peux m'empêcher de repenser à ces mots que m'avaient délivré Hervé Vighier lors de notre récent entretien. Sollicité par son "ami" de trente ans, il n'avait, selon lui, pas cru bon d'examiner les comptes.
"Une parole d'ami est sacrée"…
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Si j'en crois les frères autrichiens, au nom toujours inécrivable, ils n'auraient pas reçu non plus toutes les informations…
Faut dire que personne n'aurait pu croire que le projet Macron et la grève des greffiers, assorties à la méprisance des juges, auraient eu de telles conséquences.
Et que, finalement, ce sont encore les besogneux, ceux qui ont bossé suivant les directives de leurs dirigeants qui paieront. Comme d'habitude !
Pendant ce temps-là, Monsieur Ferrari (il se reconnaîtra) ira sur les pistes de ski. Sans états d'âme !
Et l'APST paiera... Cqfd !
Faut dire que personne n'aurait pu croire que le projet Macron et la grève des greffiers, assorties à la méprisance des juges, auraient eu de telles conséquences.
Et que, finalement, ce sont encore les besogneux, ceux qui ont bossé suivant les directives de leurs dirigeants qui paieront. Comme d'habitude !
Pendant ce temps-là, Monsieur Ferrari (il se reconnaîtra) ira sur les pistes de ski. Sans états d'âme !
Et l'APST paiera... Cqfd !