Faut pas trop prendre le citoyen pour une quiche. Justifier ces inégalités fiscales par l’effort national sur la transition énergétique, est-ce vraiment bien raisonnable ? - Photo Depositphotos.com - ricochet69
Pas question, ce matin, de prendre une position tranchée sur les récents événements de ce week-end.
Certes, le « mal être » grandissant d’une population mérite une attention particulière.
De plus, dans la démocratie qui est la nôtre et dont nous pouvons être fiers, chaque citoyen a le droit (et parfois le devoir) d’indiquer ses revendications… légitimes !
En revanche, il n’est absolument pas légitime de casser… pour casser.
Nous sommes en démocratie, nous avons voté. Peu importe maintenant si certains considèrent que le choix a été « improbable » ou pas, c’est la réalité.
Soit dit en passant, le programme annoncé par Président Macron se déroule, tel qu’il l’avait annoncé ! Ça aussi, c’est un fait.
Malgré cela, faut pas trop prendre le citoyen pour une quiche. Justifier ces inégalités fiscales par l’effort national sur la transition énergétique, est-ce vraiment bien raisonnable ?
Certes, le « mal être » grandissant d’une population mérite une attention particulière.
De plus, dans la démocratie qui est la nôtre et dont nous pouvons être fiers, chaque citoyen a le droit (et parfois le devoir) d’indiquer ses revendications… légitimes !
En revanche, il n’est absolument pas légitime de casser… pour casser.
Nous sommes en démocratie, nous avons voté. Peu importe maintenant si certains considèrent que le choix a été « improbable » ou pas, c’est la réalité.
Soit dit en passant, le programme annoncé par Président Macron se déroule, tel qu’il l’avait annoncé ! Ça aussi, c’est un fait.
Malgré cela, faut pas trop prendre le citoyen pour une quiche. Justifier ces inégalités fiscales par l’effort national sur la transition énergétique, est-ce vraiment bien raisonnable ?
Tout le monde sait que cette « hausse de la taxe carburant », la goutte qui a fait déborder le vase, n’est qu’une vaste tentative afin de renflouer les caisses désespérément vides de Bercy. A défaut d’engager enfin une vaste réforme du fonctionnement de l’Etat…
En attendant, c’est aussi notre économie qui souffre et qui va continuer à s’en prendre plein les yeux.
Le tourisme, avez-vous dit ? Bien sûr, comme d’habitude, cette véritable économie, pourvoyeuse de milliers d’emplois, pourvoyeuse de richesses importantes, est, une nouvelle fois, soumise à rude épreuve.
Je remarque au passage, malgré mes nombreuses tentatives d’interviews auprès de Jean-Baptiste Lemoyne, notre chargé du tourisme au gouvernement, que personne n’a eu la courtoisie de, au moins, me répondre. Serait-ce le nouveau monde ?
A Paris, en province, ces derniers quinze jours ont coûté fort cher au tourisme. Si j’en juge par le récent communiqué publié par le cabinet MKG, la violence qui a embrasée les Champs Elysées la semaine dernière aurait coûté près de 10 millions d’euros aux hôteliers parisiens.
Une vague d’annulation sans précédent de la part de touristes craintifs (à juste titre) aurait provoqué, selon cette étude, un « manque à gagner sur le chiffre d’affaire des hôtels pouvant aller jusqu’à 20% ».
Et le cabinet se montre très pessimiste pour les réservations des fêtes de Noël et du Premier de l’An.
En attendant, c’est aussi notre économie qui souffre et qui va continuer à s’en prendre plein les yeux.
Le tourisme, avez-vous dit ? Bien sûr, comme d’habitude, cette véritable économie, pourvoyeuse de milliers d’emplois, pourvoyeuse de richesses importantes, est, une nouvelle fois, soumise à rude épreuve.
Je remarque au passage, malgré mes nombreuses tentatives d’interviews auprès de Jean-Baptiste Lemoyne, notre chargé du tourisme au gouvernement, que personne n’a eu la courtoisie de, au moins, me répondre. Serait-ce le nouveau monde ?
A Paris, en province, ces derniers quinze jours ont coûté fort cher au tourisme. Si j’en juge par le récent communiqué publié par le cabinet MKG, la violence qui a embrasée les Champs Elysées la semaine dernière aurait coûté près de 10 millions d’euros aux hôteliers parisiens.
Une vague d’annulation sans précédent de la part de touristes craintifs (à juste titre) aurait provoqué, selon cette étude, un « manque à gagner sur le chiffre d’affaire des hôtels pouvant aller jusqu’à 20% ».
Et le cabinet se montre très pessimiste pour les réservations des fêtes de Noël et du Premier de l’An.
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Alors que le tourisme parisien, après les vagues d’attentats qui ont secoué le pays ces dernières années, reprenait tout juste un peu de couleurs...
Paris, la capitale, déjà fortement endettée par la gestion calamiteuse de Dame Dalgo, risque encore de souffrir un peu plus. Selon les premières estimations, les manifestations et les dégâts engendrés représentent plus d’un million d’euros… à la charge de la Mairie !
Bien évidemment, je ne parle pas des entreprises perturbées par l’absentéisme forcé de bon nombre de salariés.
Pas plus que de la situation de plus en plus inquiétante sur l’Île de la Réunion, dont l’économie est quasi paralysée. Pour le tourisme, c’est aussi une nouvelle catastrophe.
En même temps, parce qu’il faut bien et que l’on peut rire de tout, durant ce week-end, notre Assemblée Nationale votait une loi absolument indispensable : l'interdiction de la fessée…
Moi qui navigue un tout petit peu, si je me trouve en mer avec un brusque avis de tempête, il est fort possible que je modifie mon cap initial, juste pour ne pas sombrer…
Restons sérieux !
Paris, la capitale, déjà fortement endettée par la gestion calamiteuse de Dame Dalgo, risque encore de souffrir un peu plus. Selon les premières estimations, les manifestations et les dégâts engendrés représentent plus d’un million d’euros… à la charge de la Mairie !
Bien évidemment, je ne parle pas des entreprises perturbées par l’absentéisme forcé de bon nombre de salariés.
Pas plus que de la situation de plus en plus inquiétante sur l’Île de la Réunion, dont l’économie est quasi paralysée. Pour le tourisme, c’est aussi une nouvelle catastrophe.
En même temps, parce qu’il faut bien et que l’on peut rire de tout, durant ce week-end, notre Assemblée Nationale votait une loi absolument indispensable : l'interdiction de la fessée…
Moi qui navigue un tout petit peu, si je me trouve en mer avec un brusque avis de tempête, il est fort possible que je modifie mon cap initial, juste pour ne pas sombrer…
Restons sérieux !