Le concept de workation mêle travail et vacances. - Depositphotos
Pourquoi choisir entre vacances et travail ? La libéralisation du marché de l’emploi a permis de sortir du carcan métro-boulot-dodo. Désormais place au « workation », contraction de work, « travail », et de vacation, « vacances ».
De nombreuses maisons d’hôtes dédiées, offrant un espace de coworking et le wifi en haut débit, ont vu le jour à travers le monde ces dernières années.
Ici, les travailleurs embarquent leur projet et ordinateur portable sur la route des vacances et travaillent quelques heures, avant de profiter des activités sportives ou culturelles que procure la destination.
De nombreuses maisons d’hôtes dédiées, offrant un espace de coworking et le wifi en haut débit, ont vu le jour à travers le monde ces dernières années.
Ici, les travailleurs embarquent leur projet et ordinateur portable sur la route des vacances et travaillent quelques heures, avant de profiter des activités sportives ou culturelles que procure la destination.
Un filon pour les pros du tourisme ?
Ces espaces de travail atypiques seraient apparus en Californie il y a déjà 10 ans et tendent à se développer en France.
A l’instar de The Swenson House, à Audierne dans le département du Finistère, où les actifs peuvent surfer ou profiter de cours de yoga entre deux heures de travail.
En France toujours, Mutinerie village, est installé depuis l’été dernier au cœur du Perche, en Normandie.
Autre acteur du marché, Roam, implanté à Miami, Bali, Tokyo, San Francisco et Londres, revendique 10 000 personnes accueillies depuis 2015, selon le Monde et des tarifs entre 250 à 1 500 euros la semaine.
Le marché florissant a vu naître des tour-opérateurs. Refuga, Hacker Paradise ou encore The remote experience proposent des packages incluant hébergement et activités aux actifs à travers le monde.
A l’instar de The Swenson House, à Audierne dans le département du Finistère, où les actifs peuvent surfer ou profiter de cours de yoga entre deux heures de travail.
En France toujours, Mutinerie village, est installé depuis l’été dernier au cœur du Perche, en Normandie.
Autre acteur du marché, Roam, implanté à Miami, Bali, Tokyo, San Francisco et Londres, revendique 10 000 personnes accueillies depuis 2015, selon le Monde et des tarifs entre 250 à 1 500 euros la semaine.
Le marché florissant a vu naître des tour-opérateurs. Refuga, Hacker Paradise ou encore The remote experience proposent des packages incluant hébergement et activités aux actifs à travers le monde.
Une réponse aux difficultés de recrutement ?
Si l’aventure vous tente, le workation augmenterait la productivité !
Voici un dernier argument pour convaincre votre B.O.S.S de vous laisser partir à Buenos Aires pendant un mois.
Y aurait-il derrière ce nouveau concept une solution aux difficultés de recrutement que connait l'industrie du tourisme ?
Il n'existe pas de chiffre permettant de mesurer l'impact de ce nouveau concept, mais quand on connait le lien entre bien-être au travail et productivité, il y a de quoi se pencher sur la question.
Selon l’institut de sondages américain Gallup, les structures valorisant le plus l’engagement de leurs collaborateurs tendent à booster de 21% leur productivité.
Dorénavant, le ROI (Retour sur investissement) se mesure au niveau d’épanouissement quotidien des hommes et femmes en workation.
Voici un dernier argument pour convaincre votre B.O.S.S de vous laisser partir à Buenos Aires pendant un mois.
Y aurait-il derrière ce nouveau concept une solution aux difficultés de recrutement que connait l'industrie du tourisme ?
Il n'existe pas de chiffre permettant de mesurer l'impact de ce nouveau concept, mais quand on connait le lien entre bien-être au travail et productivité, il y a de quoi se pencher sur la question.
Selon l’institut de sondages américain Gallup, les structures valorisant le plus l’engagement de leurs collaborateurs tendent à booster de 21% leur productivité.
Dorénavant, le ROI (Retour sur investissement) se mesure au niveau d’épanouissement quotidien des hommes et femmes en workation.
Publié par Caroline Lelievre
