L'OPA (Offre publique d'achat, Ndlr) en cours sur le Club Med pourrait bien échouer.
En effet, selon un article publié par Les Echos dimanche 11 mai 2014, BI-Invest, une société italienne d'investissement a annoncé avoir procédé à l'acquisition de 6,5 % du capital du groupe de villages de vacances.
L'opération a été effectué "à travers un véhicule « ad hoc », Stratégic Holdings", explique le quotidien économique.
L'investisseur transalpin a acheté 2 millions d'actions sur plusieurs mois. La fréquence des transactions s'est accélérée récemment. Si bien que la société a dû déclarer le franchissement du seuil de 6,5 % aux autorités boursières.
Elle viserait à monter à 9 % voire 10 % dans le capital du Club Med, d'après des informations du Corriere della Sera. Ce qui lui permettrait de s'aligner sur le niveau détenu par Fosun Property Holdings (9,5 %) et Ardian (8,9 %), les deux principaux actionnaires du groupe français.
"Côté français, on soupçonne le financier italien de parier sur l'échec de l'OPA Fosun-Ardian, vu qu'il contribue à pousser le marché à la hausse en rachetant ses actions à un cours supérieur aux prix de l'offre (18,9 € contre 17,5 €) tout en étant l'acteur principal sur le volume", analysent Les Echos.
En effet, selon un article publié par Les Echos dimanche 11 mai 2014, BI-Invest, une société italienne d'investissement a annoncé avoir procédé à l'acquisition de 6,5 % du capital du groupe de villages de vacances.
L'opération a été effectué "à travers un véhicule « ad hoc », Stratégic Holdings", explique le quotidien économique.
L'investisseur transalpin a acheté 2 millions d'actions sur plusieurs mois. La fréquence des transactions s'est accélérée récemment. Si bien que la société a dû déclarer le franchissement du seuil de 6,5 % aux autorités boursières.
Elle viserait à monter à 9 % voire 10 % dans le capital du Club Med, d'après des informations du Corriere della Sera. Ce qui lui permettrait de s'aligner sur le niveau détenu par Fosun Property Holdings (9,5 %) et Ardian (8,9 %), les deux principaux actionnaires du groupe français.
"Côté français, on soupçonne le financier italien de parier sur l'échec de l'OPA Fosun-Ardian, vu qu'il contribue à pousser le marché à la hausse en rachetant ses actions à un cours supérieur aux prix de l'offre (18,9 € contre 17,5 €) tout en étant l'acteur principal sur le volume", analysent Les Echos.
