Le compte à rebours est enclenché. Le 9 octobre prochain, Paris sera relié par un vol direct à Mascate, et ce, à raison de quatre rotations par semaine. Le vol partira de CDG 2A à 22h30 pour atterrir à Mascate à 7h50 le matin. Au retour, l’avion quittera Mascate à 13h25 pour atterrir à CDG à 19h30.
Une mise en place qui rendra le sultanat encore plus accessible pour la clientèle française en quête de culture, de désert et de plage.
Mais ces passagers potentiels ne suffiront pas à remplir l’Airbus A 330 bi classe qui opérera sur la ligne. Les vols en « beyond » seront également très importants. C’est même sur le reste du réseau que l’agressivité commerciale d’Oman Air se fera sentir.
A l’image des tarifs « early bird » déjà en machine avec Mascate à 403 euros, Malé à 503 euros ou encore Bangkok à 508 euros.
Une dizaine de destinations indiennes, Colombo, Amman, Dubai et Beyrouth seront proposées en connexion avec le vol de Paris.
Une mise en place qui rendra le sultanat encore plus accessible pour la clientèle française en quête de culture, de désert et de plage.
Mais ces passagers potentiels ne suffiront pas à remplir l’Airbus A 330 bi classe qui opérera sur la ligne. Les vols en « beyond » seront également très importants. C’est même sur le reste du réseau que l’agressivité commerciale d’Oman Air se fera sentir.
A l’image des tarifs « early bird » déjà en machine avec Mascate à 403 euros, Malé à 503 euros ou encore Bangkok à 508 euros.
Une dizaine de destinations indiennes, Colombo, Amman, Dubai et Beyrouth seront proposées en connexion avec le vol de Paris.
Neuf employés à Paris
La compagnie fonctionnera avec une équipe de démarrage de neuf employés à Paris, tous avec une première expérience en compagnie aérienne, complétée par quatre employés Oman Air à l‘aéroport.
La directrice commerciale locale, Rocio Jolivet vient de US Airways où elle a occupé différentes fonctions pendant plus de dix ans. Elle sera secondée par deux attachées commerciales Chanda Danh et Lina Samman, une coordinatrice des ventes et chargée de l’interline, Céline Gallina, un superviseur resa, Mohamed Morchid et trois agents de réservation.
L’ensemble sera placé, comme les marchés britannique et allemand, sous la direction commerciale régionale occupée à Mascate par Paul Starrs, ex BA.
Comment Oman Air se démarquera-t-elle des autres compagnies du Golfe ? Rocio Jolivet a sa petite idée sur la question. D’abord, le nouveau service à bord qui équipe les derniers A 330 sortis tout neuf de l’usine de Toulouse tiendra largement la comparaison avec celui des compagnies du Golfe.
Les sièges de la classe Eco par exemple auront un écran individuel, une prise ordinateur, un repose-tête et un repose-pieds et trois positions possibles. Le démarchage commercial sera axé sur le potentiel incentives et groupes.
Quant à la classe Affaires équipée de 20 fauteuils, les échanges commerciaux et industriels entre les entreprises françaises et le sultanat d’Oman laissent l’espoir de pouvoir de la remplir sans trop de difficultés…
Les vols de la compagnie sont, bien sûr, présents dans les GDS et les agences en ligne avec leur potentiel important de distribution sont déjà une aide précieuse.
La directrice commerciale locale, Rocio Jolivet vient de US Airways où elle a occupé différentes fonctions pendant plus de dix ans. Elle sera secondée par deux attachées commerciales Chanda Danh et Lina Samman, une coordinatrice des ventes et chargée de l’interline, Céline Gallina, un superviseur resa, Mohamed Morchid et trois agents de réservation.
L’ensemble sera placé, comme les marchés britannique et allemand, sous la direction commerciale régionale occupée à Mascate par Paul Starrs, ex BA.
Comment Oman Air se démarquera-t-elle des autres compagnies du Golfe ? Rocio Jolivet a sa petite idée sur la question. D’abord, le nouveau service à bord qui équipe les derniers A 330 sortis tout neuf de l’usine de Toulouse tiendra largement la comparaison avec celui des compagnies du Golfe.
Les sièges de la classe Eco par exemple auront un écran individuel, une prise ordinateur, un repose-tête et un repose-pieds et trois positions possibles. Le démarchage commercial sera axé sur le potentiel incentives et groupes.
Quant à la classe Affaires équipée de 20 fauteuils, les échanges commerciaux et industriels entre les entreprises françaises et le sultanat d’Oman laissent l’espoir de pouvoir de la remplir sans trop de difficultés…
Les vols de la compagnie sont, bien sûr, présents dans les GDS et les agences en ligne avec leur potentiel important de distribution sont déjà une aide précieuse.