Ce mardi 19 février 2013, Guillaume Pepy, Président de la SNCF, et Barbara Dalibard, Directrice de SNCF Voyages, présenteront les rames bleu ciel et mauve de ses TGV à bas-coût : Ouigo.
Les billets pour cette nouvelle offre à grande vitesse de la compagnie seront en vente dès mercredi 20 février 2013 sur son site web.
Si l’ensemble de la gamme tarifaire devrait être détaillé ce mardi, la Directrice de la branche voyage a déjà assuré que le prix d’entrée serait inférieur à 25 euros.
Il ne devrait pas y avoir de tarif unique mais des prix déterminés par les règles du yield management.
Les trains parcourront le réseau Sud-Est à compter du 1er avril 2013. En Île-de-France, ils partiront de Marne-la-Vallée et rejoindront Marseille ou Montpellier, via Lyon.
Les billets pour cette nouvelle offre à grande vitesse de la compagnie seront en vente dès mercredi 20 février 2013 sur son site web.
Si l’ensemble de la gamme tarifaire devrait être détaillé ce mardi, la Directrice de la branche voyage a déjà assuré que le prix d’entrée serait inférieur à 25 euros.
Il ne devrait pas y avoir de tarif unique mais des prix déterminés par les règles du yield management.
Les trains parcourront le réseau Sud-Est à compter du 1er avril 2013. En Île-de-France, ils partiront de Marne-la-Vallée et rejoindront Marseille ou Montpellier, via Lyon.
La CGT dénonce l'austérité
De bonnes nouvelles pour les passagers, mais pas forcément pour les employés de la SNCF.
Dans un communiqué diffusé lundi 18 février 2013, la CGT dénonce "la spirale de l’austérité" dans laquelle, selon le syndicat, la compagnie se serait lancée.
En effet, celle-ci a annoncé un bénéfice triplé et un endettement réduit d’environ un milliard d’euros en 2012.
L’organisation estime que l’entreprise compte "intensifier" cette "politique d’austérité" en 2013. Elle déplore que pour réussir à dégager une marge opérationnelle supérieure aux prévisions, le groupe ait sacrifié les dépenses du personnel.
"Si le versement d’une prime (364 euros brut par cheminot) peut paraître alléchant, au regard de la faiblesse des salaries dans l’entreprise, celle-ci ne résout pas les pertes de pouvoir d’achat cumulées ces dernières années par les cheminots et fragilisera le financement de notre système de protection sociale de santé et de retraite", écrit la CGT.
Dans un communiqué diffusé lundi 18 février 2013, la CGT dénonce "la spirale de l’austérité" dans laquelle, selon le syndicat, la compagnie se serait lancée.
En effet, celle-ci a annoncé un bénéfice triplé et un endettement réduit d’environ un milliard d’euros en 2012.
L’organisation estime que l’entreprise compte "intensifier" cette "politique d’austérité" en 2013. Elle déplore que pour réussir à dégager une marge opérationnelle supérieure aux prévisions, le groupe ait sacrifié les dépenses du personnel.
"Si le versement d’une prime (364 euros brut par cheminot) peut paraître alléchant, au regard de la faiblesse des salaries dans l’entreprise, celle-ci ne résout pas les pertes de pouvoir d’achat cumulées ces dernières années par les cheminots et fragilisera le financement de notre système de protection sociale de santé et de retraite", écrit la CGT.