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J'en veux pour exemple le vote de la dernière taxe anti-pollution (oui, encore une...) de la Commission Européenne qui va mettre une fois de plus les "compagnies aériennes" à contribution pour leurs émissions de CO2.
En soi, l'intention est louable : les pollueurs doivent être les payeurs. Les pollueurs ce sont, bien entendu, les compagnies. En revanche, les payeurs ce seront ... les passagers !
Vous me direz que les sommes en jeu ne sont pas énormes : entre 2 et 12 euros pour un vol, soit un surcoût de 4 à 24 euros pour un aller-retour transatlantique.
Mais on voit bien que les députés ne règlent pas souvent leur billet d'avion et voyagent aux frais de la princesse, autrement dit aux nôtres.
Bref, l'imagination, en France comme en Europe, n'est pas vraiment au pouvoir.
Dès qu'il manque de l'argent quelque part, on créé une taxe. Moyennant quoi, la sauce (les taxes) revient presque plus chère que le poisson (le billet).
Il suffit de voir l'accumulation des contributions croissantes à la sûreté, à la sécurité, à la pollution et j'en passe pour s'en convaincre.
J'ai gardé le meilleur pour la fin : l'Union européenne qui ne manque pas d'humour prétend (sans rire) que les compagnies pourront ou non répercuter le surcoût de cette taxe sur les passagers...
D'après vous ?
En soi, l'intention est louable : les pollueurs doivent être les payeurs. Les pollueurs ce sont, bien entendu, les compagnies. En revanche, les payeurs ce seront ... les passagers !
Vous me direz que les sommes en jeu ne sont pas énormes : entre 2 et 12 euros pour un vol, soit un surcoût de 4 à 24 euros pour un aller-retour transatlantique.
Mais on voit bien que les députés ne règlent pas souvent leur billet d'avion et voyagent aux frais de la princesse, autrement dit aux nôtres.
Bref, l'imagination, en France comme en Europe, n'est pas vraiment au pouvoir.
Dès qu'il manque de l'argent quelque part, on créé une taxe. Moyennant quoi, la sauce (les taxes) revient presque plus chère que le poisson (le billet).
Il suffit de voir l'accumulation des contributions croissantes à la sûreté, à la sécurité, à la pollution et j'en passe pour s'en convaincre.
J'ai gardé le meilleur pour la fin : l'Union européenne qui ne manque pas d'humour prétend (sans rire) que les compagnies pourront ou non répercuter le surcoût de cette taxe sur les passagers...
D'après vous ?