La profession est montée au créneau. Les spécialistes des USA et le Snav se sont émus de la situation auprès de Matignon.
Une démarche volontariste certes, mais il y a fort à craindre que cette affaire qui a pris une tournure politique tourne aussi au bras de fer entre adeptes de Villepin et Sarkhozistes, si le premier décidait d’arbitrer le conflit qui oppose l’Imprimerie nationale au ministère de l’Intérieur.
Or, l’affaire est d’autant plus rocambolesque que la semaine dernière les Fédérations CGT du Livre et des Finance qui réclament un monopole sur la fabrication de ces titres, ont écrit au Premier ministre pour l'assurer que « l'Imprimerie nationale possédait tous les moyens techniques et les savoir-faire pour débloquer en moins d'un mois la réalisation des passeports ».
France : le "politiquement correct" ne fait pas recette...
Un pied de nez au Ministre de l’Intérieur qui a décidé de démarrer la fabrication desdits passeports à partir de mai prochain. Or, en mai la saison sera fichue pour bien des producteurs sur les USA qui ont mis en exergue le "manque à gagner" évalué à "500 millions d'euro", et une saison qui s’annonce "catastrophique" avec d’ores et déjà des résa en chute de "de 30 à 40%".
La profession sinistrée depuis des mois par les cyclones, les maladies, les épidémies et les moustiques, n’avait pas besoin d’y ajouter les avatars de la politique. Faudra-t-il descendre dans la rue, brûler des voitures ou briser des vitrines pour se faire entendre ?
La question mérite d’être posée dans un pays où le "politiquement correct" ne fait pas recette et où seul les « casseurs » semblent avoir droit de cité.
Une démarche volontariste certes, mais il y a fort à craindre que cette affaire qui a pris une tournure politique tourne aussi au bras de fer entre adeptes de Villepin et Sarkhozistes, si le premier décidait d’arbitrer le conflit qui oppose l’Imprimerie nationale au ministère de l’Intérieur.
Or, l’affaire est d’autant plus rocambolesque que la semaine dernière les Fédérations CGT du Livre et des Finance qui réclament un monopole sur la fabrication de ces titres, ont écrit au Premier ministre pour l'assurer que « l'Imprimerie nationale possédait tous les moyens techniques et les savoir-faire pour débloquer en moins d'un mois la réalisation des passeports ».
France : le "politiquement correct" ne fait pas recette...
Un pied de nez au Ministre de l’Intérieur qui a décidé de démarrer la fabrication desdits passeports à partir de mai prochain. Or, en mai la saison sera fichue pour bien des producteurs sur les USA qui ont mis en exergue le "manque à gagner" évalué à "500 millions d'euro", et une saison qui s’annonce "catastrophique" avec d’ores et déjà des résa en chute de "de 30 à 40%".
La profession sinistrée depuis des mois par les cyclones, les maladies, les épidémies et les moustiques, n’avait pas besoin d’y ajouter les avatars de la politique. Faudra-t-il descendre dans la rue, brûler des voitures ou briser des vitrines pour se faire entendre ?
La question mérite d’être posée dans un pays où le "politiquement correct" ne fait pas recette et où seul les « casseurs » semblent avoir droit de cité.