Les vacances de printemps 2025, qui se sont déroulées du 5 avril au 2 mai, ont été marquées par une hausse significative de la fréquentation touristique en France.
Portée par des conditions météorologiques favorables et un calendrier particulièrement avantageux, cette période a vu une augmentation de +8 % des nuitées françaises par rapport à 2024, atteignant plus de 90 millions de nuitées, et une progression de +17 % pour la clientèle étrangère.
Découvrez les chiffres de la fréquentation touristique au printemps 2025 selon ADN Tourisme.
Portée par des conditions météorologiques favorables et un calendrier particulièrement avantageux, cette période a vu une augmentation de +8 % des nuitées françaises par rapport à 2024, atteignant plus de 90 millions de nuitées, et une progression de +17 % pour la clientèle étrangère.
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Des vacances boostées par le calendrier et la météo
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La période du 5 avril au 2 mai 2025 s’est révélée particulièrement favorable pour le tourisme intérieur, avec une progression constatée dans 80 % des destinations françaises. Le positionnement du week-end de Pâques, pendant lequel toutes les zones scolaires étaient en congés, a généré près de 11 millions de nuitées françaises, soit une hausse de 21 % par rapport à 2024. Ce chiffre est quasiment équivalent au niveau atteint en 2023. De plus, les congés dans de nombreux pays européens voisins ont amplifié cette dynamique.
Le jour férié du 1er mai, qui est tombé en dernière semaine de vacances pour la zone A, a lui aussi contribué à la hausse de la fréquentation. L’impact des conditions météorologiques a été un facteur clé : les quatre semaines de vacances ont bénéficié d’un climat souvent agréable, voire estival par moments, favorisant les courts séjours et les excursions sur l’ensemble du territoire.
Cette météo propice a permis aux différentes typologies d’espaces – du littoral aux centres urbains – d’enregistrer une hausse de fréquentation. Huit destinations départementales sur dix ont vu une augmentation, qu’il s’agisse de clientèles françaises ou étrangères.
Le jour férié du 1er mai, qui est tombé en dernière semaine de vacances pour la zone A, a lui aussi contribué à la hausse de la fréquentation. L’impact des conditions météorologiques a été un facteur clé : les quatre semaines de vacances ont bénéficié d’un climat souvent agréable, voire estival par moments, favorisant les courts séjours et les excursions sur l’ensemble du territoire.
Cette météo propice a permis aux différentes typologies d’espaces – du littoral aux centres urbains – d’enregistrer une hausse de fréquentation. Huit destinations départementales sur dix ont vu une augmentation, qu’il s’agisse de clientèles françaises ou étrangères.
Des perspectives optimistes pour l’avant-saison
Les professionnels du tourisme anticipent une poursuite de cette dynamique grâce à un calendrier de jours fériés favorable. L’Ascension, notamment, apparaît comme le pont printanier le plus attendu : 29 % des destinations interrogées s’attendent à une hausse de la fréquentation pour cette période. Les destinations littorales se montrent particulièrement optimistes. Le week-end de la Pentecôte, programmé juste après l’Ascension, devrait quant à lui maintenir une fréquentation relativement stable selon 26 % des répondants, même si les territoires de montagne affichent des prévisions plus prudentes.
Le facteur météo restera déterminant dans les semaines à venir, en particulier pour les réservations de dernière minute. Stéphane Villain souligne que « tous les territoires, du littoral aux terres intérieures, se sont mobilisés et ont pleinement bénéficié de cette période propice à l’excursionnisme et aux courts séjours ». Il note également que le calendrier de 2025 « promet un étalement plus harmonieux des flux par rapport à 2024 », ce qui pourrait permettre d’optimiser la gestion des pics de fréquentation tout en favorisant les retombées économiques pour l’ensemble des territoires. Cette conjoncture place ainsi la saison touristique de printemps 2025. sous le signe d’un retour à la normale, avec des signes encourageants pour les mois à venir.
Le facteur météo restera déterminant dans les semaines à venir, en particulier pour les réservations de dernière minute. Stéphane Villain souligne que « tous les territoires, du littoral aux terres intérieures, se sont mobilisés et ont pleinement bénéficié de cette période propice à l’excursionnisme et aux courts séjours ». Il note également que le calendrier de 2025 « promet un étalement plus harmonieux des flux par rapport à 2024 », ce qui pourrait permettre d’optimiser la gestion des pics de fréquentation tout en favorisant les retombées économiques pour l’ensemble des territoires. Cette conjoncture place ainsi la saison touristique de printemps 2025. sous le signe d’un retour à la normale, avec des signes encourageants pour les mois à venir.