Il y a dix ans encore confidentielle, AlUla s'impose aujourd'hui comme l'une des destinations tendance du Moyen-Orient, portée par la stratégie saoudienne de diversification touristique du Royaume dans le cadre de la "Vision 2030".
Située dans le nord-ouest du pays, AlUla combine patrimoine, culture, nature et infrastructures modernes. La destination s'organise autour d'une oasis habitée (45 000 habitants) et d'un territoire protégé, où se mêlent formations rocheuses, canyons, palmeraies et sites archéologiques majeurs.
Positionné comme un pôle culturel majeur et expérientiel premium, AlUla offre un potentiel unique pour des itinéraires intégrant :
- Sites patrimoniaux classés Unesco (Hegra)
- Archéologie et histoire des civilisations
- Paysages désertiques spectaculaires
- Expériences culturelles immersives et hébergements haut de gamme.
Au commencement, la villa antique de Dadan
Les objets trouvés sur place par les archéologues attestent d'une présence humaine très ancienne : des outils en pierre découverts sur le plateau de Harrat al-Uwayride suggèrent une occupation dès le paléolithique, il y a ... quelque 200 000 ans, faisant d’AlUla un site de premier plan pour la compréhension des premières civilisations de la péninsule arabique.
La première cité oasienne dont la mémoire nous est parvenue s’appelait Dadan. Elle a été la capitale des Dadanites à... l’âge du fer, autrement dit au premier millénaire avant notre ère, avant d’être celle du royaume de Lihyan, du Ve au lle siècle toujours avant notre ère. Sur son site, sont visibles des tombes carrées creusées dans la montagne et gardées par des sculptures représentant des lions.
Sur ce site qui fait actuellement l’objet de fouilles importantes, les archéologues ont également mis à jour d’imposantes installations défensives et deux grands sanctuaires dont l'un comprend un grand bassin cylindrique taillé dans un seul bloc de pierre.
La première cité oasienne dont la mémoire nous est parvenue s’appelait Dadan. Elle a été la capitale des Dadanites à... l’âge du fer, autrement dit au premier millénaire avant notre ère, avant d’être celle du royaume de Lihyan, du Ve au lle siècle toujours avant notre ère. Sur son site, sont visibles des tombes carrées creusées dans la montagne et gardées par des sculptures représentant des lions.
Sur ce site qui fait actuellement l’objet de fouilles importantes, les archéologues ont également mis à jour d’imposantes installations défensives et deux grands sanctuaires dont l'un comprend un grand bassin cylindrique taillé dans un seul bloc de pierre.
Hegra, premier site d'Arabie Saoudite classé à l'Unesco
Non loin de l'antique Dadan, mais au nord de l'oasis d’AlUla et de sa ville moderne, se trouve un autre site archéologique majeur appelé Hegran qui a été, en 2008, le premier site archéologique d'Arabie Saoudite classé au Patrimoine mondial de l’UNESCO.
Tout comme Dadan, l’ancienne Hegra a été prospère car située sur une étape stratégique sur la "route de l’encens" reliant le sud de la péninsule arabique aux grandes civilisations de l’Orient et de l’Occident.
Bien plus tard, Hegra sera la capitale de la province la plus au sud de l'empire romain.
Aujourd'hui, au milieu des sables dorés et des affleurements rocheux, se dressent sur le site d'antique Hegra, 111 tombeaux nabatéens monumentaux. Leurs façades, très impressionnantes, ont été sculptées directement à flanc de falaises.
Les nombreuses fouilles archéologiques menées sur place ont aussi montré que les, peuple enrichi grâce au commerce caravanier, savaient creuser des canalisations à même les rochers et forer des puits, afin de maîtriser la gestion de l'eau dans ce pays où elle est peu abondante.
Les vestiges des maisons des anciens habitants de Hegra, comme celles de Dadan, sont encore enfouies sous le sable. Mais, les fouilles se poursuivent et les archéologues sont loin d’avoir dit leur dernier mot.
Tout comme Dadan, l’ancienne Hegra a été prospère car située sur une étape stratégique sur la "route de l’encens" reliant le sud de la péninsule arabique aux grandes civilisations de l’Orient et de l’Occident.
Bien plus tard, Hegra sera la capitale de la province la plus au sud de l'empire romain.
Aujourd'hui, au milieu des sables dorés et des affleurements rocheux, se dressent sur le site d'antique Hegra, 111 tombeaux nabatéens monumentaux. Leurs façades, très impressionnantes, ont été sculptées directement à flanc de falaises.
Les nombreuses fouilles archéologiques menées sur place ont aussi montré que les, peuple enrichi grâce au commerce caravanier, savaient creuser des canalisations à même les rochers et forer des puits, afin de maîtriser la gestion de l'eau dans ce pays où elle est peu abondante.
Les vestiges des maisons des anciens habitants de Hegra, comme celles de Dadan, sont encore enfouies sous le sable. Mais, les fouilles se poursuivent et les archéologues sont loin d’avoir dit leur dernier mot.
Jabal Ikmah, véritable bibliothèque à ciel ouvert
Dans les hautes falaises de grès de la vallée d'AlUla, sont également gravées dans la roche des milliers d'inscriptions en plusieurs langues, des figures humaines ou d'animaux -bovins, bouquetins, chameaux, chevaux, autruches et autres espèces - qui attestent que, tout comme le Sahara, cette région n'a pas toujours été aussi aride qu'aujourd'hui.
Non loin de l'antique Dadan, le spectaculaire canyon entouré de montagnes connu sous le nom arabe de Jabal Ikmah fait ainsi figure de véritable bibliothèque à ciel ouvert, avec plus de 300 images et textes particulièrement bien conservés. Si la majorité des inscriptions est rédigée en dadanitique, une partie l'est en nabatéen, en araméen et en arabe ancien.
Jabal Ikmah s'est d'ailleurs vu attribuer le statut de Mémoire du monde par l'UNESCO car ce site serait l'une des sources les plus importantes de l'arabe ancien écrit.
Non loin de l'antique Dadan, le spectaculaire canyon entouré de montagnes connu sous le nom arabe de Jabal Ikmah fait ainsi figure de véritable bibliothèque à ciel ouvert, avec plus de 300 images et textes particulièrement bien conservés. Si la majorité des inscriptions est rédigée en dadanitique, une partie l'est en nabatéen, en araméen et en arabe ancien.
Jabal Ikmah s'est d'ailleurs vu attribuer le statut de Mémoire du monde par l'UNESCO car ce site serait l'une des sources les plus importantes de l'arabe ancien écrit.
Une "ville ancienne" en pleine renaissance
La découverte de la vallée d'AlUla n'est pas complète sans la visite de l'extraordinaire vieille ville, entièrement bâtie en terre. Elle se trouve juste à côté de la ville moderne construite dans les années 1980.
Abandonnée depuis une quarantaine d'années, cette Vieille Ville invite le visiteur à un véritable bond dans le passé. Elle existe en effet depuis le XIIe siècle ! Bâties en briques de terre compressée, ses quelque 900 maisons -en majorité en ruines- se serrent dans un véritable labyrinthe de ruelles, à l'intérieur de murailles édifiées jadis pour la protéger contre d'éventuelles attaques.
Pour s'offrir une vue imprenable sur cette ville ancienne, il suffit de grimper -de préférence en fin de journée- au château fortifiée qui la surplombe. De là-haut, on cerne à merveille la proximité entre la ville nouvelle et la vieille ville, toutes deux blotties à proximité de l'imposante palmeraie.
Depuis peu, les maisons de la Vieille ville bénéficient d'un vaste programme de restauration s’appuyant sur des matériaux locaux et des savoir-faire traditionnels. Ont ainsi pu voir le jour aussi bien l'hôtel de luxe Dar Tentora qui allie le confort moderne au charme d'une authenticité préservée, que des boutiques d'artisanat, de souvenirs, de vêtements et de bijoux assez haut de gamme ou des cafés et des restaurants servant de délicieux plats locaux.
Tout juste prêts à être explorés, la verdoyante oasis d'AlUla et les paysages désertiques qui l'entourent sont plus qu'une simple destination tendance. Ils sont la promesse d'un récit intemporel et d'une expérience qui les beautés de la nature et l'hospitalité saoudienne.
Abandonnée depuis une quarantaine d'années, cette Vieille Ville invite le visiteur à un véritable bond dans le passé. Elle existe en effet depuis le XIIe siècle ! Bâties en briques de terre compressée, ses quelque 900 maisons -en majorité en ruines- se serrent dans un véritable labyrinthe de ruelles, à l'intérieur de murailles édifiées jadis pour la protéger contre d'éventuelles attaques.
Pour s'offrir une vue imprenable sur cette ville ancienne, il suffit de grimper -de préférence en fin de journée- au château fortifiée qui la surplombe. De là-haut, on cerne à merveille la proximité entre la ville nouvelle et la vieille ville, toutes deux blotties à proximité de l'imposante palmeraie.
Depuis peu, les maisons de la Vieille ville bénéficient d'un vaste programme de restauration s’appuyant sur des matériaux locaux et des savoir-faire traditionnels. Ont ainsi pu voir le jour aussi bien l'hôtel de luxe Dar Tentora qui allie le confort moderne au charme d'une authenticité préservée, que des boutiques d'artisanat, de souvenirs, de vêtements et de bijoux assez haut de gamme ou des cafés et des restaurants servant de délicieux plats locaux.
Tout juste prêts à être explorés, la verdoyante oasis d'AlUla et les paysages désertiques qui l'entourent sont plus qu'une simple destination tendance. Ils sont la promesse d'un récit intemporel et d'une expérience qui les beautés de la nature et l'hospitalité saoudienne.
Contact AlUla
Philip ALFONS
Responsable Marketing & Promotion
Email : palfons@articleonze.com
Téléphone : +33 (0)6 23 49 43 83
Site web grand public : www.experiencealula.com/fr/forever-revitalising
E-learning : https://fr.alulaspecialist.com/
Responsable Marketing & Promotion
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Téléphone : +33 (0)6 23 49 43 83
Site web grand public : www.experiencealula.com/fr/forever-revitalising
E-learning : https://fr.alulaspecialist.com/
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